Le Gallicanisme Parlementaire

présente le roi de France comme le premier défenseur de l’Église de France. Le roi parvient donc, en cette réunion, à couper l’Église de France de la papauté. Naît ainsi une nouvelle idéologie, qui va renforcer l’unité du royaume pour des siècles : le gallicanisme (idée qu’il existe une Église de Gaule). L’Église de Gaule fait partie de l’Église universelle, mais de façon indépendante. Le pape n’est pas content et rappelle que l’Église est une, et que c’est lui qui en est à la tête. Dès novembre 1302, Boniface

procédure consiste en ce que la chambre de communes (la basse) met le chancelier en accusation et c’est la chambre des lords (la haute) qui va juger le chancelier. On peut voir la l’origine d’un mécanisme essentiel, celui de la responsabilité parlementaire (cad une mise en cause du pouvoir exécutif du gouvernement devant le pouvoir législatif (cad devant l’assemblée)) il faut une responsabilité du gouvernement devant l’assemblée. Cette procédure ne dit pas s’il s’agit d’une responsabilité politique

public. Le roi de France va reprendre ces dispositions, au XVIème siècle le Roi ne veut plus que le droit canon s’applique directement dans le royaume. Nous avons là une politique qui date du début du XIVe siècle. Une politique que l’on nomme le GALLICANISME, le roi de France ne reconnait aucune autorité au pape. Il se proclame le chef de l’Eglise de France. Anglicanisme même chose en Angleterre. Le roi de France va donc reprendre, de sa propre autorité les dispositions du concile de LATRAN. Toutefois

pour payer des impôts. Scrutin indirect (les électeurs élise des candidats qui eus même élise des candidats aux états généraux) mode d’élection plus démocratique que les précédents, plus démocratique que les modes d’élection des futures assemblée parlementaires. En revanche au niveau de la représentation des ordres le système était très inégalitaire sur les 1315 députés noblesse et clergé = la moitié. Comme le tiers états pouvait compté sur le bas clergé il était majoritaire en voix. Processus révolutionnaire

pouvoir directement de Dieu. PLB calomnie le pape pour s’attirer le soutien du peuple. Finalement envoie délégation s’emparer du Pape mais le Pape meurt. Successeur de Boniface, Clément V est effacé : PLB acquiert indépendance. 2. Le gallicanisme Doctrine française en faveur d’un contrôle royal et non papal de l’Eglise. Clergé français méfiant à l’égard du Pape. Roi fait passe sous sa tutelle Eglise française. Schisme affaiblit l’Eglise. Charles VI ne reconnaît plus aucun des

Philippe Le Bel (1285-1314). Les légistes royaux vont essayer de limiter l’influence de la justice ecclésiastique. Circonstances : Philippe le Bel s’oppose ouvertement avec le Pape Boniface 8. En même temps, né en France un mouvement « le Gallicanisme ». Le Gallicanisme est une doctrine qui tend à affirmer les prétentions du roi de France sur l’Eglise du royaume. En outre, elle affirme l’indépendance : du roi de France par rapport au Pape et de fait, du temporel par rapport au spirituel. de l’Eglise

compétences des inquisiteurs. Certains crimes deviennent de la compétence du roi, ce sont les cas privilégiés : les crimes de sang, les violes… Le roi peut administré l’église en France, puisque le roi est empereur dans son royaume. Ca s’appel le Gallicanisme. Il arrive même à s’attribuer la compétence de certains crimes religieux, comme le jugement des sorcières. L’appel comme d’abus est crée : c’est l’appel des jugement ecclésiastique. Cet appel est reconnu par le pape. Les tribunaux du roi vont

différentes pensées. Les jésuites accordent beaucoup d'importance à l'action. Ils exercent leur autorité sur les classes "dynamiques", la haute bourgeoisie et l'aristocratie. Le jansénisme, figé dans un profond pessimisme, séduit la bourgeoisie parlementaire, en déclin, car progressivement privée de ses pouvoirs. Les écrivains de l'époque se rattachent généralement au type d'école qu'ils ont fréquenté : Racine, Pascal, La Fontaine, au jansénisme ; Corneille prend parti pour les jésuites. Les principaux

coup d’Etat etc. 2)-on préfère en général une séparation souple (le système américain est cependant plutôt rigide). Il y a un pouvoir d’influence réciproque, ce régime souple donne naissance au régime parlementaire. L’influence ne peut exercer le pouvoir exécutif sur le législatif pour le faire céder (le pouvoir de dissolution de l’assemblée que détient le gouvernement). A l’inverse, il y a une influence du parlement

seraient donc les subordonnés du pape. Or, une telle conception où l’Eglise affirme son primat sur l’Etat va à l’encontre de la souveraineté royale, comme le montre le conflit entre Philippe le Bel et Boniface VIII qui contribuera au développement du Gallicanisme. Paragraphe 1, le conflit entre Philippe le Bel et Boniface VIII… Ce conflit s’étend de 1296 à 1303, et il oppose deux fortes personnalités que tout oppose. Boniface VIII est un homme de 80 ans élevé dans les idées de la théocratie pontificale