Le Gallicanisme Parlementaire

légat, un évêque ; au mieux pour recueillir la soumission du roi, au pire, pour l’excommunier. Philippe le Bel répond par la convocation du pape devant un conseil œcuménique, étant donné que le concile prime sur le pape dans une logique de gallicanisme religieux. Guillaume de Nogaret est chargé de ramener le pape pour le traduire devant ce concile et va essayer de s’emparer du pape : ce sont les violences d’Anagni. Cela se solde par un échec mais, un mois plus tard, Boniface VIII meurt. Son successeur

envoyer un légat, un évêque ; au mieux pour recueillir la soumission du roi, au pire, pour l’excommunier. Philippe le Bel répond par la convocation du pape devant un conseil œcuménique, étant donné que le concile prime sur le pape dans une logique de gallicanisme religieux. Guillaume de Nogaret est chargé de ramener le pape pour le traduire devant ce concile et va essayer de s’emparer du pape : ce sont les violences d’Anagni. Cela se solde par un échec mais, un mois plus tard, Boniface VIII meurt. Son successeur

autorité donc effectivement il ne peut plus imposer son autorité sur le roi de France. Il se développe un mouvement : gallicanisme politique. Le roi affirme ainsi son indépendance à l’égard de la papauté, son indépendance et celle du royaume. La France est soumise à l’autorité du pape pour le spirituel mais pour le temporel elle st soumise au roi. Puis se développe le gallicanisme ecclésiastique, l’Eglise de France se considère comme plus indépendante de Rome, elle marque sa propre spécificité par

au pouvoir royal. Louis XV a affirmé l'absolutisme monarchique, il lui faut également opérer des réformes notamment relatives aux impôts et, en 1770 le contrôleur général des finances souhaiterait créer un impôt unique fondé sur la terre. Les parlementaires étant des privilégiés, ils refuseront probablement cette réforme. Le Chancelier (ministre de la justice) fait une proposition en évoquant la réforme de la Justice car le sytème est archaïque, c'est la réforme de Maupeou de 1771-1174 réalisée par

les sujets du roi qui doivent obéir au roi. Et le roi n'a pas a tenir compte des intérêts particuliers des corps intermédiaires : • •l'église organisation située entre l'état et les sujets, prend position contre la politique royale, apparaît le gallicanisme : l'église est au service de l'état et le chef de l'église est le roi. • •la noblesse qui se caractérise par une volonté d'indépendance dans les duels. La monarchie à l'égard de la noblesse va interdire les duels, car le duel est une façon de s'affirmer

en trois étapes et sur trois plans différents : La coopération économique avec le plan Marshall et la création de l'OECE La coopération diplomatique et militaire avec le pacte de Bruxelles et le pacte atlantique La coopération politique et parlementaire avec le conseil de l'Europe Section 2 : la coopération économique : le plan Marshall et l'OECE $1 : la situation politique de l'Europe Au sortir de la guerre les européens sont incités à coopérer en vue de bénéficier de l'aide économique

siècle 3 Table des Matières Introduction. Chapitre Premier. La propriété foncière. Sa répartition. La population de la France. Chapitre II. Les paysans et l’agriculture. Chapitre III. Le clergé. Chapitre IV. La noblesse. Chapitre V. Noblesse parlementaire et noblesse administrative. Chapitre VI. La petite industrie. Les métiers et les corporations. Chapitre VII. L’évolution commerciale au XVIIIe siècle. Chapitre VIII. L’évolution industrielle au XVIIIe siècle. Chapitre IX. Les classes ouvrières

sont lieutenant de Dieu, atteinte au pouvoir du Roi est commettre un sacrilège, même si les rois sont païens (odmi pottent adeo … ) Mais en contradiction avec une partie de la pensée chrétienne, en particulier Thomas d’Aquin. Position typique du Gallicanisme. -La monarchie est absolue, personne ne peut désobéir au roi et personne ne peut lui astreindre. Le Prince est cependant soumi à la justice et au droit naturel de la religion chrétienne. Il doit donc respecter la religion, mais personne ne peut

vassaux, ce n'est pas le cas. Il doit avoir une armée permanente. La monarchie a marqué son indépendance par rapport à l'Eglise. Elle l'a marqué lors de conflits violents, et progressivement, la monarchie française a reconnu une théorie : le gallicanisme. En 1438 : cette décision reconnaît que c'est le roi qui choisit les évêques. La religion est la grande crise du 15ème siècle. C'est le choc aussi des idées nouvelles de la Renaissance. Elle se traduit par des guerres civiles, des guerres entre

« bonne et juste ». Cette victoire marque la fin de la théocratie pontificale dans sa forme la plus active (début XIV°). Dans ce conflit est né la 1ère réunion des futurs Etats Généraux, mais surtout naissance d’une importante doctrine = le gallicanisme : - dans son expression politique = il existe une liberté particulière de l’Eglise de France dont le Roi, et non le Pape, est le protecteur naturel. - Dans son expression religieuse = proclame la supériorité du concile œcuménique