Le Gout Du Néant

penser au néant de son existence, à sa mortalité inexorable) ; Baudelaire n’est plus dupe de ce que la vie lui offre comme divertissements (flatteries, plaisanteries, femmes, richesses), il sait qu’il est déjà un « cadavre hébété » en puissance "La Cloche fêlée" : cloche = métaphore de l’inspiration poétique ; celle de Baudelaire est fêlée, mourante qd il est en proie au spleen "L’Horloge" : poème qui ne cesse de scander (« Souviens-toi ») la fuite du temps, la mort proche, l’avidité du Néant ; Baudelaire

la poésie : « Mais non les pâquerettes…folles » (l.34-35), aux plaisirs de la vie : « le verre d’eau », « les pâquerettes », « le murmure du ruisseau ». Elle lui fait renoncer progressivement à tous ses sens, à tous ses besoins physiologiques : le goût / la soif : « l’eau »(l.28), l’ouïe : « murmure du ruisseau »(l.36), l’odorat : « Sens une dernière fois, cette odeur »(l.40). Marguerite lui fait faire tous ces renoncements au moyen de l’emploi d’impératifs exhortatifs : « Ne te laisse pas apitoyer »

cinq sens et de la notion du temps « plus de jour, plus de nuit » -la vue : « renonce aussi aux couleurs » -toucher : « mains gluantes, mains implorantes, bras et mains pitoyables, ne revenez pas, retirez-vous » + n'est pas sensible aux morsures -goût « soif » (verre d'eau) -ouïe : « j'absorbe leurs voix » « entend pas » -odorat « oublie son odeur » Renonce au pouvoir « renonce aussi à cet empire » Renoncement aux sentiments, plus de pitié « ne te laisse pas apitoyer par le mendiant qui te

sanitation: sanitation Le but du traitement de l’eau eau à la CBGN est d’obtenir une eau ayant les caractéristiques chimique, physique et bactériologiques requises pour la qualité des boissons, en éliminant les impuretés susceptibles d’affecter affecter le l goût et l'aspect du produit. Cette eau traitée trai est utilisée pour la préparation des sirops, la fabrication des boissons, le rinçage des bouteilles soufflées et pour la sanitation. Plusieurs étapes interviennent de l’eau brute à l’eau traitée : Une

douleur ! ô douleur ! Le Temps mange la vie, Et l’obscur Ennemi qui nous ronge le coeur Du sang que nous perdons croît et se fortifie ! (L'Ennemi - FdM - X) ou du Goût du Néant : Le Printemps adorable a perdu son odeur ! Et le Temps m’engloutit minute par minute, Comme la neige immense un corps pris de roideur ; (Le goût du Néant - FdM - LXXX) Et l'on pourra y trouver une correspondance avec le terrible tableau que Goya avait peint sur un mur de sa maison : Saturne (Chronos) dévorant un

la ville, pour ne pas attirer l’attention. Thérèse va à Argélouse, en train, chez son mari et sa petit fille Marie Thèrése avait falsifié (vervalst) plusieurs ordonnances pour les médicaments prescrits à Bernard. Bernard devait prendre des gouttes de Fowler, rémède contre l’annémie et bon pour le cœur. Ce médicament contient de l’arsénic et est dangereux à haute dose. Thérèse avait augmenté les doses. Le pharmacien qui se doutait de quelque chose avait appelé le docteur Pédemay qui avait prescrit

chacun méritent d'être lues et entendues alors ce qu'il reste à faire c'est lire et apprendre à en sortir du plaisir mais aussi de la culture. Thème choisi : La fuite du temps Poèmes choisis : _Baudelaire, Les fleurs du mal -Le goût du néant. p177 -réversibilité p 61 -L'ennemi p 31 _Apollinaire, Alcools -Le pont mirabeau p 23 -Mai p 120 -Automne malade p 159 Biographie Baudelaire  Fils d’un homme des Lumières très tôt disparut (son père avait 62 ans à sa naissance)

(" parfum ") • v. 14 : auditive (" chant ") Il y a un simple point virgule entre les 2 quatrains, il n’y a pas de rupture et de continuité. v.6 : symétrie de construction : « arbre singulier » : exotisme « fruits savoureux » plaisir des sens, goût. La population est caractérisée par la santé du corps et la santé morale. Il donne à l’homme une force physique et donne à la femme une beauté morale. Il est misogyne, il dit donc que la franchise n’est pas courante chez la femme selon lui. Les

du manuel.EXERCICES Voir pp. 299 et suivantes du manuelEXERCICE 2 : « Le goût du néant » (FM, Baudelaire). Morne esprit, autrefois amoureux de la lutte, L'Espoir, dont l'éperon attisait ton ardeur, Ne veut plus t'enfourcher ! Couche-toi sans pudeur, Vieux cheval dont le pied à chaque obstacle butte. Résigne-toi, mon cœur ; dors ton sommeil de brute. Esprit vaincu, fourbu ! Pour toi, vieux maraudeur, L'amour n'a plus de goût, non plus que la dispute ; Adieu donc, chants du cuivre et soupirs de la

Elle change souvent de meublés. Il lui arrive aussi de changer de nom. Sujet en fuite, sans racines - Cosmopolitisme : sujet d’aucune province, proche des émigrants - Culture de bric et de broc conjuguée à d'assez solides bases classiques. - Goût également pour le moyen âge : il fréquente la bibliothèque Mazarine pour y consulter des textes médiévaux. Va revendiquer, avec une certaine complaisance, son statut d’émigrant et d’apatride, de bâtard et de métèque, dans une époque où commencent