Le Génie Selon Kant

toutes les œuvres ne sont pas belles et certains artistes revendiquent le non esthétique. Toutes fois quand nous pensons a quelque chose de beaux, nous nous représentons la plus part du temps un effet de la nature et non une œuvre d’art. Le philosophe Kant propose donc la définition suivante : »une œuvre d’art ce n’est pas la représentation d’une belle chose mais la belle représentation d’une chose »la beauté de l’art si beauté il y a, ne repose donc pas dans la beauté du modèle mais dans la façon de

différence entre l’artiste et l’artisan devient plus marquée. Au 18e siècle, on parle désormais deBeaux-Arts pour désigner exclusivement les productions de l’artiste. L’artiste n’est plus alors un artisan particulièrement habile mais un homme doué de génie et capable de créer un inédit porteur de sens. Nous distinguons habituellement l’artiste de l’artisan -même si l’un et l’autre disposent d’une technique ; mais on dit du premier qu’il produit des objets, souvent associés à une fonction, à une utilité

Chap. 1 : « concevoir dans sa tête » → avoir une intention, avoir opéré des choix. - « son propre but » - « dont il a conscience » → ce n'est pas qq chose d'ext. - « qui détermine comme lois son mode d'action » Kant, Critique de la faculté de juger; paragraphe 43 : Kant distingue l'art de la nature plutôt par leur mode de production respectifs que par les propriétés de leurs produits. L'art, dit-il est un « faire », la Nature un « agir » ou un « causer ». L'art est une production par liberté

afin que les connaissances s’en suivent. René Descartes a émis une théorie à propos de la connaissance de soi et des autres choses. Le philosophe français et père du rationalisme croit que les connaissances proviennent de la raison et non des sens. Selon lui, les sens sont trompeurs. Alors, il est facile d’en douter. Le philosophe propose que les connaissances ne puissent pas être déterminées par un fait qui n’a pas été vérifié. En considérant une citation célèbre du philosophe soit : «Je pense donc

« Le génie de l’artiste le dispense t-il de tout apprentissage ? » On raconte la chose suivant : que dans le génie, les moyens d’expressions retrouvent leur simple place de moyens et leur finalité est l’expression de l’individualité. Un philosophe, dans un de ses textes, a souhaité faire échouer l’idée que le génie d’un travail, que le génie accomplirait tout comme un artiste classique. Entre autres, Nietzsche ou Boileau soutiennent l’idée que le génie est une superstition, car le génie travaille

quoi il ne saurait y avoir art ou oeuvre d'art. On serait automatiquement tenté de faire ici référence à la beauté ; pourtant, comme l'a bien vu Kant dans sa Critique de la faculté de juger, la beauté est essentielle à l'expérience esthétique ou aux caractères esthétiques d'un objet, mais non à proprement parler à l'oeuvre d'art ; Kant estime même que la beauté serait à la rigueur seulement prédicable de la nature, en tant notamment que quand nous jugeons belle la nature, ce jugement est

traditionnelle de l’art de 1922 mais sera pourtant considérée art donc évolution de l’art s’élargie Définir l’art serait-il condamné à l’échec face au renouvellement permanant de la production artistique ? L’art est considéré comme tel selon le contexte culturel, mais ne serait-ce pas ôter aux objets artistiques toute valeur interne et les faire dépendre de la perception ou de l’usage ? Dès qu’un objet est exposé au regard, leur valeur semble de fait tributaire des opinions et des émotions

Ce texte d’Alain interroge, comme l’indique la première phrase de l’extrait, sur ce qui fait la différence entre l’artiste et l’artisan. On pourrait y voir une opposition entre l’art et la technique de manière générale, le savoir-faire et le génie, le produit et l’œuvre d’art (voire chef-d’œuvre), ou encore entre l’utile et le beau. Précisons tout de suite que c'est le point de vue d’Alain, qui sépare dans une certaine mesure l'acte créateur et l’acte de production technique. Car cette opposition

déterminisme physique, l’art quant à lui suppose l’intervention d’un agir qui est libre qui réalise dans l’œuvre une fin qui préexiste à cette œuvre. On peut reprendre ici la distinction que Marx faisait entre l’architecte et l’abeille, le premier agissant selon un plan ou une idée tandis que la seconde, quelle que soit la complexité de son activité, agit mécaniquement. Mais, sans même évoquer le fait que certaines productions de la nature nous semblent animées d’une finalité (ex : les organismes animaux et

question, c´est bel et bien "soi-même". Qu´entends-tu par là ? De qui exactement parles-tu quand tu dis "moi" ? Le "moi", c´est le conscient ? l´inconscient ? les deux ? le corps ? l´âme ? La question "Peut-on se connaître soi-même ?" impose le postulat selon lequel la connaissance de soi n´est pas une étape obligatoire au sens où l´on peut vivre et mourir sans s´être connu. Il faut donc que tu mettes à la lumière les différentes raisons qui font qu´un individu ne peut pas se connaître entièrement, et ensuite