Le Heros Racinien

carnavalesque chez lui. Son œuvre est la littérature populaire qui se nourrit des œuvres du Moyen Âge. Il invente des nouvelles historiques avec les personnages des chansons de geste ex. « Roland » Il transforme tout ce qu’il touche. Il fait des parodies des héros de l’époque comme Pantagruel. Il a le souci de montre l’éducation suivant le modèle d’un esprit humaniste mais avec la satire et la parodie. Il critique tout et il réécrit des choses pour tout rompre. Il change les sens des mots. Il se moque de l´église

plus tard, « un monstre éternellement dévorant, éternellement ruminant »14. Et lorsque les feuilles jauniront, l’automne s’installera aussi dans l’âme de Werther pour arriver progressivement à l’hiver et à la mort. Miroir fidèle des sentiments du héros, elle évolue avec lui, l’attire ou le repousse selon ses espoirs ou ses craintes. Le monde extérieur n’existe pas en dehors de lui. Il n’y a donc rien d’étonnant que la religion subisse les mêmes fluctuations. Nous avons déjà dit que Werther, en bon

enjambements : « la vue / De ce sacré Soleil dont je suis descendue » - « d'un père insensé / Le sacrilège voeu ». La scène 6 de l'acte IV de "Phèdre" nous montre que la jalousie est, pour une âme passionnée, un cruel supplice, d'autant plus que les héros raciniens peuvent avec lucidité scruter impitoyablement leurs coeurs pour y discerner toutes leurs raisons de souffrir, toutes les nuances de leur douleur.

marquise. Son nom tout d'abord, provient sans doute du personnage principal du roman éponyme de l'abbé Gérard, Le comte de Valmont, ou les égarements de la raison (1774). Ce caractère s'il a, comme on l'a signalé des points communs avec Lovelace, héros de Clarissa Harlove,(scène du viol...) n'est pas non plus sans rappeler le séducteur libertin des Egarements du cœur et de l'esprit de Crébillon fils, Versac. Pour preuve ces quelques extraits qui pourrait très bien correspondre à Valmont. "Adoré de

Anciens, chez Racine. Il faut comprendre tragédie, chez Corneille comme le cas de conscience posé au héros (le dilemme cornélien, dans le Cid en 1637) ou encore comme la fatalité, ainsi Phèdre par ex. victime d’une malédiction familiale et abattue, écrasée dès l’acte I en ouverture de la pièce. Enfin, il faut retenir que pour le critique Roland Barthes, ce qui fait l’essence du tragique racinien c’est que l’action ait cédé la place à la parole : puisque le sort est scellé, il n’y a plus qu’à avouer

marquise. Son nom tout d'abord, provient sans doute du personnage principal du roman éponyme de l'abbé Gérard, Le comte de Valmont, ou les égarements de la raison (1774). Ce caractère s'il a, comme on l'a signalé des points communs avec Lovelace, héros de Clarissa Harlove,(scène du viol...) n'est pas non plus sans rappeler le séducteur libertin des Egarements du cœur et de l'esprit de Crébillon fils, Versac. Pour preuve ces quelques extraits qui pourrait très bien correspondre à Valmont. "Adoré de

TRAG ÉDIE DU D ÉSIR ET ÉCHEC DU DIVIN. Analyse dramaturgique et proposition de mise en scène sur la scène six de « L’Amour de Phèdre », Sarah Kane, 1996. 2 TABLES DES MATIÈRES Introduction ......................................................................................................................................... 3 1. De Racine à Kane ou l’apparition d’une tragédie déstructurée ...................................................... 5 A) L’évolution du mythe, d’Euripide à Sarah

monarque autoritaire et ambitieux qui cherche a satisfaire son besion de gloire. Il resemble beaucoup à Atrée. Qui a tué son frère pour prendre son pouvoir. Finallement on éprouve de la compassion vis-à-vis de se personnage. Puisque, comme tous les héros raciniens, il doit se soumettre à la volonté divine et sacrifier sa fille pour accomplir son devoir de monarque. Iphigénie est amoureuse d'Achille, elle est tentre et gentille, pure et vertueuse. Elle accepte de se faire sacrifier et suit la volonté de

Introduction : Dans sa tragédie Phèdre, créée en 1677, Racine montre les ravages de lapassion amoureuse. Phèdre, l’épouse du héros Thésée, tombe amoureuse de son beau-fils Hippolyte. Cette passion, considérée comme incestueuse, va provoquer le malheur de Phèdre et de son entourage. Dans la scène 3 de l’acte 1, Phèdre apparaît pour la première fois. Elle est décrite comme très malade, épuisée. Oenone, sa servante, inquiète de l’état de santé de sa maîtresse, tente de lui arracher des aveux. Après

l’Homme à se laisser vivre passivement, ne pouvant récolter que temporairement les fruits de ses entreprises, et se rapprocher du mode de vie de la bête.Seulement, cette capacité à se représenter sa situation le rend beau, à la manière d’un héros tragique racinien. C’est aussi cette faculté à se savoir faible qui lui donne son humanité. Il échappe à l’illusion d’une supériorité à la nature. Comment se savoir misérable pourrait donner à l’Homme son humanité, sa grandeur ? Cette grandeur peut-elle masquer