Le Juge Et Le Législateur

règles de droit nées de l’acte judiciaire » (Pascale Deumier), la place et le rôle du juge n’est pas équivalent en tout lieu et en tout temps. Le juge, est une personne physique ou une juridiction essentiel pour trancher des litiges en application de normes juridiques ou selon l’équité. Son activité se manifeste notamment par le rendu de décision que l’on peut qualifier d’acte juridique. Le rôle du juge à évolué au cours du temps, son pouvoir s’est considérablement renforcé au fil du XVIIIe

Section 2 – L’autorité de ces sources § 1 – L’autorité morale de la DUDH § 2 – L’autorité des autres outils internationaux de protection des droits de l’homme Chapitre 3 – La loi Section 1 – La compétence du législateur Section 2 – Les limites à la compétence législative § 1 – Une limite supérieure § 2 – Une limite inférieure Chapitre 4 – La jurisprudence Section 1 – La jurisprudence du Conseil constitutionnel § 1

première vue, la règle de droit est plus obligatoire que la règle de bienséance. Les sanctions des unes et des autres sont différentes. Derrière la règle de droit, il y a l'État donc la force publique, ce qui n'est pas le cas de la règle de bienséance. Le juge peut intervenir sur les règles de droit. Mais la frontière est assez poreuse. On observe une tendance à faire basculer certaines règles de bienséance dans le droit. Cette tendance est encore plus accrue aux USA. Ex: en 2009, en France, loi sur l'interdiction

qui vont appliquer le droit civil et pénal, c’est le principe d’unité du principe civil et pénal. Section 1 : l’organisation de la justice civile en première instance La cour de cassation est à la foi une juridiction civile et pénale. Le législateur a fait des juridictions qui ont que des compétences civiles. Le système repose sur une distinction entre les juridictions a compétence générale et a compétence spécialisé. Compétence générale : juridiction don les compétences porte sur plusieurs

contrats qu’il s’agit de moderniser et de l’ambition du législateur français de le rendre plus accessible, cette question prend tout son sens. La division tripartite des contrats entre les contrats consensuels, les contrats formels et les contrats réels n’existeraient plus au profit des deux premières catégories. On se rapprocherait alors de l’objectif de simplification du législateur. Cependant se cap n’a pas été franchi. Ni le législateur ni le juge n’a réussi à s’affranchir pleinement des conceptions

des sources nationales, européennes, internationales… Les sources de droit sont très diverses (2600 lois, 23 000 décrets, 7000 conventions internationales, 22 000 arrêts de la cour de cassation…). Le système juridique français est complexe. Le législateur n’est pas la seule entité qui crée du droit en France mais aussi des entités supranationales (la France est membre de l’UE, d’organisations internationales) => respect des normes juridiques des organismes auxquels on a adhéré, parti intégrante de

comme conséquence que le droit positif tend à se calquer sur ce droit idéal qui lui servirait en quelque sorte de référence. Ensuite toute disposition qui serait contraire au droit naturel serait injuste et s’il advenait que malheureusement que le législateur édicte des règles contraire au droit naturel alors tout individu pourrait refuser de s’y soumettre avec les conséquences que cela implique. La déclaration de droit de l’homme de 1789, inspiré de cette doctrine du droit naturel. Dans cette déclaration

la loi du 16 juillet 1993 En vertu de l’article 12 et 14 de la Constitution, le droit pénal est une matière réservée au législateur fédérale. C’est la loi qui détermine les incriminations, les peines et les procédures. L’arrêt de la Cour d’Arbitrage de 1992 : Les communautés et les régions peuvent intervenir dans des matières réservées seulement si le législateur fédéral donne une habilitation, une autorisation spéciale et expresse. Loi du 8/8/80 : Les communautés et les régions ont

chargée de veiller au respect des droits fondamentaux des citoyens, mais comme un instrument à la disposition des plus hautes autorités de l’Etat (Président de la République, Premier ministre, Présidents des Assemblées) pour contenir la démesure du législateur. Mais même s’il n’a pas fait l’objet de modifications majeures depuis son instauration en 1958, le Conseil a progressivement tendu vers la juridictionnalisation. L'annexion du Préambule de la Constitution de 1958 (incluant alors la Déclaration de

Senat Article 17(art. L. 332-1-1 [nouveau] du code de la propriété intellectuelle)Mesures d'instruction ordonnées par le juge indépendamment de la saisie-contrefaçon, en matière de droit d'auteur et de droits voisins Cet article précise qu'en matière de droit d'auteur et de droits voisins, le titulaire de droits peut demander au juge d'ordonner la production d'éléments de preuve détenus par la partie adverse sans nécessairement solliciter préalablement une saisie-contrefaçon (cf. supra). Sur