Le Juge Pénal Face Au Principe De Légalité

Procès : procès évoque idée d'un combat entre deux parties qui s'affrontent devant un juge avant d'un coté un demandeur ayant pris l'initiative de saisir la juridiction compétente et de l'autre coté un défendeur qui tente de résister : obtenir du juge qu'il règle le litige, au moyen d'un acte solennel, le jugement. Pour parvenir à ce jugement, une démarche réglementée doit être observée : pour permettre au juge de trancher, chaque parties du procès doit accomplir une succession d'actes tout au long

1 : LES SANCTIONS PENALES Les sanctions pénales viennent frapper les auteurs d’infractions, que l’on appelle délinquants. Il existe trois types d’infractions : - crimes - délits - contraventions Les sanctions pénales sont celles les plus connues. Ce sont les sanctions pénales qui correspondent le mieux à une sanction punition. Toutes les sanctions ne sont pas toujours des punitions. Toutes sanctions ne sont pas toutes des punitions, mais les sanctions pénales peuvent évoquer la

soit signé par plusieurs personnes au sein d’un même service juridique. Le nombre d’auteurs n’est donc pas un critère pertinent, ce qui importe c’est la position réciproque de ces auteurs et des destinataires de leur acte. Si les auteurs sont face à face et qu’ils cherchent à régler leur propres relation juridique, c’est un contrat. Pour les distinguer ce qui est importants c’est le contenue de l’acte. L’acte unilatéral est celui qui traite de la situation des personnes étrangères à son édiction

2ème année. o Résume de cours o Recueil de sujets Réalisé par : Cyrille HOUNDJE Mail : Cymas25@yahoo.frSite : http://benin-espoir.e-monsite.com PROCEDURE PENALE I- RESUME NOTION GENERALE La procédure pénale a pour objet la réglementation du procès pénal. Elle détermine l’organisation et la compétence des différentes juridictions appelées à trancher les procès répressifs. Elle fixe aussi les règles qui doivent être suivies et les formes qui doivent

est plus intrinsèquement complexe. Si l’Etat ne respecte pas le droit, il sera peu enclin à se condamner lui-même. Cette distinction privé/public est reprochée d’être trop rigide. Par exemple en droit Pénal lorsqu’une infraction est commise, le ministère public qui représente l’Etat. L’infraction Pénal est commis par un particulier par exemple un vol contre une victime qui est bien souvent un particulier. Doit-on donc considérer ce délit rentrant dans le droit public ou le privé. On voit que la distinction

la souveraineté nationale par les membres du parlement ». C'est-à-dire que le CE ne s’est pas rattaché au critère mais au principe de la nature de l’activité parlementaire et à son lien avec la souveraineté nationale et donc au principe de la séparation des pouvoirs. A la base un acte d’une autorité parlementaire n‘était pas considéré comme unilatéral et donc connu par le juge administratif. Le CE aurait pu se raccrocher au critère organique, mais ne l’a pas fait, car il s’est raccroché à la séparation

A - La naissance du juge Loi des 16 et 24 août 1790 : Séparation des fonctions judiciaire et exécutif. "Les juges ne pourront à peine de forfaiture troubler de quelque manière que ce soit les opérations des corps administratifs ni citer devant eux les administrations pour raison de leur fonction" Au même moment, aux US, la séparation des pouvoir est interprétée en sens inverse. Qui jugera alors les litiges dans l'administration ? Théorie du ministre-juge. L'instruction de ces réclamations

Tribunal  des  conflits  le 8 février 1873​ :  “la  responsabilité,  qui  peut  incomber  à  l’État  pour  les dommages causés aux particuliers par le   fait  des  personnes  qu’il  emploie  dans  le  service  public,  ne  peut  être  régie  par  les  principes  qui  sont établis dans le Code civil, pour les rapports de particulier à particulier”​ .   D’un  point  de vue juridique, le service public en droit français est fondamental. Dans la politique  française,  le  service  public  a  une  dimension 

JEAN PIERRE : Semestre 4 (2011-2012) Chapitre 4 : Les contrats administratifs SECTION 1 : Les critères du contrat administratif I/ Les contrats entre personnes publiques TC, UAP, 1983 : Un contrat conclu entre 2 personnes publiques revêt en principe un caractère administratif. Il s’agit d’une présomption réfragable c'est-à-dire que la présomption sera renversé lorsque le contrat eu égard à son objet ne fait naître entre les parties que des rapports de droit privé. CE, Bureau d’aide sociale

2) L’obligation imposée au juge : l’interprétation stricte de la loi pénale. Les auteurs du 18ème Siècle se méfiaient du juge pénal d’où cette volonté de faire en sorte que la loi encadre strictement son rôle. C’est cette raison qui conduit le législateur révolutionnaire de 1791 à adopté le principe des peines fixes (une infraction vaut telle peine le juge n’a pas de liberté). Pour illustrer cette méfiance, pour Montesquieu les juges ne devraient être « que les bouches qu’ils prononcent les paroles