Le Lac Lamartine Problématiques

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que puisse se proposer l’homme, c’est le plaisir de créer quelque chose qui ressemble à la nature ». Friedrich Hegel, « Introduction à l’esthétique ». « Le sublime lasse, le beau trompe, le pathétique seul est infaillible dans l’art ». Alphonse de Lamartine, « Confidences ». « Le travail constant est la loi de l’art comme celle de la vie ; car l’art, c’est la création idéalisée ». Honoré de Balzac, « La Cousine Bette ». « L’art c’est le reflet que renvoie l’âme humaine éblouie de la splendeur du beau

point, de ne pas clore mais de maintenir l’ouverture. Une énumération assez aléatoire des mots et des formules les plus saillants dans les articles de ce fascicule rend compte de ce qui pourrait être considéré comme la ligne de crête de cette problématique : changement, dynamique, hybridité, multiculturalité, diversité, émergence, pluralité, quête identitaire, poétique de l’alliance, ouverture, poétique de récupération, créolisation, nomadisme, écriture décentrée, postmodernité, croisement, mélange

il est légitime d’étudier, après Baudelaire, un Rimbaud symboliste, est-ce qu’il n’en est pas moins légitime d’examiner ici le cas Lautréamont, poète inclassable ? Il paraît que la deuxième question porte sur la pertinence d’aborder une telle problématique, et la première sur la possibilité de l’aborder. Évidemment, la première partie de notre travail a déjà justifié la pertinence d’étudier dans une même perspective Baudelaire, Rimbaud et Lautréamont, « Trois Grâces » de la poésie moderne. Or sur

de la chanson-objet culturel et interculturel, à travers une perspective identitaire, un choix psycho et socioculturel, avec une méthodologie et des pratiques pédagogiques. Pour des raisons d’ergonomie, nous n’avons pas élargi notre étude à la problématique de l’interculturalité des chansons relevant d’autres aires que celle de la francophonie. Il serait pourtant intéressant de confronter des corpus de chansons issues des différentes cultures maternelles des apprenants étrangers, avec des corpus du

Fleurs du Mal, p. 39 et suiv. 69. Cf. T. Bassim, La Femme dans l'oeuvre de Baudelaire, Neuchâtel, La Baconnière, 1974. 70. M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe!, Plon, 1967,p. 100. 71. Mon coeur mis à nu, III, Pl. I, p. 677, Sur la problématique baudelairienne du naturel, voir les analyses de J.-P. Sartre, G. Blin et F. Leakey. 72. Voir notamment les chapitres X à XII du Peintre de la vie moderne, Pl. II, p. 713 à 722. 73. C'est ce drame que Baudelaire reconnaît dans Wagner (Pl. II,

guerres civiles. Il finira par apprendre que sa tante Mahan est morte « de la malaria et d’une fièvre de cheval.»8 Johnny chien méchant d’Emmanuel Dongala complète cette présentation des ouvrages de notre corpus. Ce roman fait aussi état de la problématique des enfants-soldats de l’Afrique subsaharienne en général, du Congo, en particulier, région la plus perturbée par les guerres civiles. Il est donc nécessairement question de l’aventure et de l’initiation dans cette narration. Nous suivons à

démonologie doctrinaire est plus abstraite, tandis que la démonologie populaire propose des images plus concrètes du diable. Elles se sont également contaminées l’une l’autre. « L’élaboration culte doit, en premier lieu, proposer et résoudre des problématiques abstraites relatives à la nature, l’origine, la fonction, les limites de la figure démoniaque qui devient, de la sorte, vague et générique, servant aussi le but d’exercer, par son intermédiaire, un pouvoir constant. Le démon des classes inférieures

élèves du monde contemporain ; ils prennent en compte le fait que les élèves issus du collège ont déjà parcouru à grands traits la trame générale de l’histoire. La nouvelle rédaction du programme d’histoire de seconde reprend l’articulation et la problématique générale du programme précédent. Sa réécriture a voulu intégrer les enseignements tirés de sa mise en œuvre dans les classes depuis 1996, afin de le mener plus sûrement à son terme. Ce programme choisit donc toujours de privilégier l’étude de quelques

ses représentations. Dans la représentation du travail, on a des éléments psychosociologiques a prendre en compte. 3. La réduction du temps de travail : La réduction du temps de travail est une question d’actualité mais c’est aussi une problématique ancienne qui date de l’industrialisation. On la trouve chez Marx qui dit : «  la richesse est liberté, elle est du temps disponible et rien de plus. Là où les hommes travaillaient 12 heures, ils n’ont travailleront que 6 et c’est cela les richesses