Le Langage Libertin

comprendre Valets stéréotypé, simplifiés : Toinette : elle œuvre en faveur du maitre, elle est intelligente, elle maitrise le langage pour tromper les Diafoirus et éviter le mariage à angélique avec qqn qu’elle n’aime pas Le malade imaginaire : Argan= se croit toujours malade et abuse des médécins L’avare :arpagan Dom juan, Molière Don juan / Sganarelle : Don Juan est libertin et Sganarelle argumente contre le libertinage Simple : le rapport maitre / Valet => costume, maquillage… Farce/ Commedia

Dom Juan (Molière) Petit résumé du livre : Don Juan, libertin impénitent et blasphémateur, séduit toute jeune femme passant à portée d’yeux, noble ou paysanne, vertueuse ou peu farouche. C’est la conquête qui l’intéresse véritablement : une fois le cœur de la belle ravi, il se lance sur la piste d’une nouvelle proie. C’est ainsi qu’il ravit à son couvent Elvire, et provoque sa malédiction lorsqu’elle se sait bernée. Irrespectueux envers son père, impie et fier de l’être, Don Juan sera finalement

l’aventure collective hasardeuse, avait néanmoins accepté de l’émanciper (il n’avait pas 25 ans) et il avait reçu un faible acompte sur l’héritage maternel, 630 livre. DON JUAN Cette pièce relate la vie d'un personnage infidèle, séducteur, libertin blasphémateur, être de l'inconstance et du mouvement. Dom Juan, jeune noble vivant en Sicile accompagné de son fidèle valet Sganarelle, accumule les conquêtes amoureuses, séduisant les jeunes filles nobles et les servantes avec le même succès. Seule

contenu. La scène première de l’acte 1 se compose d’un portrait dévalorisant de Dom Juan effectué par son vallet Sganarelle durant une conversation avec Gusman. Puis, la scène se poursuivra par le portrait du valet par lui-même via son langage naturel ainsi que son langage comique.Tout d’abord, le portrait du maitre par son vallet. En premiers lieu, l’impie. Dans cette scène, Sganarelle donne un portrait peu flatteur de son maitre a Gusman. Dans celui-ci il évoque le fait que Dom Juan est un grand séducteur

et de mélodrame populaire, Edmond Rostand s’est inspiré du poète libertin du XVIIe siècle, Cyrano de Bergerac, et l’a transformé en un vaillant mousquetaire au brillant esprit, vivant un amour impossible. Cette œuvre en vers, au moment où s’affirment les courants symboliste1 et naturaliste, est déjà un peu anachronique à son époque : un an avant, le théâtre de l’Œuvre créait Ubu roi d’Alfred Jarry, pièce « moderne » au langage anti-romantique au possible – elle commence par un retentissant

revendications des femmes. Elle tient aussi du registre comique par ses personnages contemporains issus de la vie quotidienne, ces personnages qui se laissent diriger à côté de personnages plus nobles, ses passages où les actions sont vives et où le langage est proche de celui de la conversation. Dans l'acte II scène 3, la déclaration d'Octave est ambiguë. Il ne cherche pas à trahir Coelio mais lorsqu'il fait l'éloge de Marianne il parle en son propre nom. En plus, il a compris que Marianne l'aime

Mme de Volanges. Laclos fait donc de ce roman une œuvre magistrale en sachant tirer sens et profit de toutes les caractéristiques de la forme épistolaire. Les lettres maîtrisent l’intrigue, elles reflètent les jeux sournois menés par les deux libertins et offrent à ces derniers la possibilité de mettre leurs plans à exécution. Elles possèdent différentes facettes, se posant comme lettre d’information, lettre analytique, lettre de confidence ou lettre d’action. Elles imposent le ton du roman, informent

lui faire une leçon de morale. «je trouve fort vilain d'aimer de tout coté comme vous faites». DON JUAN répond a Sganarelle en argumentant a travers une long tirade, il justifie son infidélité de façon structuré et avec enthousiasme donc comment le libertin définit ici le libertinage amoureux. 1Er partie, l'argumentation justifiant son comportement a l'égard des femmes. Et 2eme partie, la relation entre amour et conquête guerrière. I) Argumentation justifiant son comportement a l'égard

cause de ces trois unités, la tragédie est chargée de récits : les actions se passent ailleurs, à l’entracte ou dans les coulisses.  Le spectateur l’apprend par les récits qu’en font les personnages. La tragédie doit aussi respecter la bienséance; le langage sera noble, le style soutenu.  Toute familiarité et tout comique est exclu.  On ne montre pas de réalisme vulgaire, pas de duel, pas de combats ou suicides. Le sujet doit être emprunté à la légende, l’histoire ou la Bible. Les héros doivent être des

tant que responsable de spectacles à Versailles et auteur de pièces à succès comme Les Fourberies de Scapin ou L’Avare. Pourtant, certaines d’entre elles sont sévèrement critiquées voire censurées. C’est le cas de Dom Juan mettant en scène un héros libertin qui, non content de défier la morale sociale, s’en prend aussi à certaines valeurs religieuses. C’est ce qu’on peut voir dans le spectacle offert par les dernières scènes de la pièce au cours desquelles Dom Juan doit répondre à l’invitation de la