Le Langage Libertin

Molière, Dom Juan, 1665, acte V scène 1 (p. 119) Dom Juan, noble libertin, se moque de la morale et de la religion devant son valet Sganarelle. Son père Dom Louis l’a sermonné, en vain : il continue à séduire les femmes et à narguer ses victimes. Ainsi, après avoir tué le Commandeur, il en défie la statue ornant le tombeau. A la fin de l’acte IV, le statue du Commandeur s’anime et invite Dom Juan à souper. Juste après cette scène, Dom Louis revient. Introduction : Le père en colère est une

l’intermédiaire des échanges entre les personnages. C’est un texte spécifiquement conçu pour la représentation théâtrale, le spectacle. C’est pourquoi on désigne souvent le théâtre comme « l’art de la représentation ». Le texte théâtral est un élément du langage théâtral qui combine jeu dramatique et texte. La pièce commence avec une conversation déjà en cours : cela donne au spectateur l'illusion de la réalité, étant donné que celui-ci n’a aucune impression de « temps mort », Molière rentre directement

de Dom Juan. Chaques actes et scènes ont un rapport avec les femmes. Lorsque Molière nous fait rencontrer son personnage, ce dernier se trouve face à une situation peu glorieuse. En effet, ayant séduit Don Elvire au couvent puis épouser, en bon libertin qui se respecte, il souhaite poursuivre sa quête vers d'autres proie. Il est donc contraint de fuir sa femme et les frères de cette dernière. Dom Juan est donc, du début jusqu'à la fin de l'oeuvre, en position de fugitif, et ce, à cause des femmes

comparable à celle donnée dans l'Odyssée par Achille lors de la descente aux enfers). Marin Marais lui se comporte comme un libertin qui ne recherche que le plaisir autant par son envie de paraître à la cour que sa recherche d'un plaisir sexuel " j'ai vu d'autres visages ". Grâce à sa relation avec Madeleine de Ste Colombe, il arrive à joindre tout ce qui contribue à former ce côté libertin: la relation sexuelle puisque celle-ci s'offre à lui comme si c'était naturelle. Et l'apprentissage musical dans la

mouvement qui est un mvmnt de différenciation càd que je perçois tt ce qui me rend unique en me comparant avec autrui. Certes nous avons des yeux, un regard, mais les yeux sont bleus, les miens sont verts. Nous avons le langage mais ne disons ø les mêmes choses de la même façon. Il y a donc la différenciation en + de l’identification . Il existerait un ordre du moi mais un ordre qui ne correspondrait

plusieurs personnages, qui présentent sa face débauchée, souvent sous forme d’un vieillard hideux, et sa face lumineuse. On le retrouve ainsi accompagné de « l’orphelin vêtu de noir » de la Nuit de décembre. Il est à la fois le pur Coelio et le libertin Octave dans les Caprices de Marianne. Fantasio se réalise en devenant le bouffon du roi dont il a revêtu les habits. Dans Lorenzaccio, c’est Lorenzo lui-même qui se dédouble avec sa face d’idéaliste et sa face de débauché, le crime étant la seule

opposées : de façon active, quand une personne cherche à s’imposer à une autre par des moyens qui vont de la manipulation violente à la persuasion douce ; de façon passive, quand quelqu’un cherche à attirer une personne vers soi ou, comme le dit le langage populaire, à « la prendre dans ses filets ». La manière active est qualifiée de virile, la seconde de féminine. Séducteur d’un côté, séductrice de l’autre. A priori, on pourrait penser que les deux positions sont également représentées, mais, lorsqu’on

cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII. Sommaire   [masquer]  1 Contexte 1.1 La codification du langage 2 La variété de la littérature française du XVIIe siècle 2.1 Le Baroque 2.1.1 Une sélection d'écrits baroques en français (aventure) 2.1.2 Une sélection d'écrits baroques en français (comique) 2.2 Le Courant précieux 2.3 Le Libertinage 2.4 Le registre

|le Comte veut exercer son droit de cuissage sur Suzanne, fiancée de Figaro, le | | |jour même de ses noces (rq : le Comte est devenu libertin). | | |La Comtesse (Rosine) a perdu émotionnellement ce qu’elle a perdu socialement en ce| | |faisant appeler ainsi

Lettres portugaises- Guilleragues (1669) * Popularisé avec les Lettres Persanes- Montesquieu (1721) * Apogée avec La Nouvelle Héloïse- Rousseau (1761) et Les liaisons dangereuses- Ch. De Laclos (1782)Dernier va diffuser le personnage du Libertin (interprété au théâtre Don Juan- Molière) XIX Triomphe du roman et de la bourgeoisie. Développement du roman historique Notre Dame de Paris (Hugo) – Cinq Mars (Vigny) Deux grands mouvements qui marquent la production romanesque : Réalisme