Le Libertinage Conclusion

irréligieux. Sganarelle n'est pas que complice et confident de Dom Juan, il est également hypocrite en dénonçant le libertinage ( être affranchi de la morale commune et surtout de la religion ) de son maître. En effet, il n’hésite pas a critiquer Dom Juan sur la vie qu'il mène. Dans cette pièce, Molière a décider de « dénoncer les vices du siècle «. Il en fait une réflexion sur le libertinage et ses excès. La grande originalité de Dom Juan de Molière c'est l'aspect religieux qu'il y a entre eux deux. Dans

majorité des ouvrages des Lumières, qui les poussaient à libérer leurs esprits, à s’affranchir de toute doctrine religieuse. C’est alors que le libertinage rentre en jeu et décrit une toute nouvelle approche à la vie. Au début, le libertinage était un mode de vie où les Hommes avaient des droits de liberté de pensée, de culte, ainsi que d’expression. Le libertinage était donc représenté comme une opposition aux préjugés, aux superstitions et aux dogmes de la religion. Ce mode de vie devait permettre aux

s’occupe des choses pour lui. On a dès cette première scène l’apparition des deux futurs ennemis mais on pense au début qu’ils sont complices. III) Tirade de Lorenzo 1-libertinage On voit donc que Lorenzo tient un discours libertin. Cette tirade s’oppose à la morale. Il liste les plaisirs de la débauche et du libertinage. Il apparait en premier lieu comme une espèce de Don Juan : « Quoi de plus curieux pour le connaisseur que la débauche à la mamelle ? ». Le terme « connaisseur » nous montre

Personnage qui occupe soudain une grande place dans la partie II et surtout vers sa conclusion. Il ne réapparaîtra, si on peut dire, que vers la fin des LD pour être salué comme un héros au moment où la société parisienne hue Mt . •••••••••I••••••UN REGARD SUR UN AUTRE LIBERTIN : a) sans sortir du petit cercle que fréquente Valmont , Laclos, avec Prévan, nous offre une vue plus large sur ce monde : nous y croisons , la Maréchale qui servira involontairement la tactique de Mt 205, deux comtesses

l’Académie de Châlons sur Marne. Il n’est donc pas inutile de s’interroger sur la portée féministe de l’unique roman de Laclos, qui par son caractère sulfureux fit la notoriété de son auteur. Cette œuvre épistolaire, dont le thème principal reste le libertinage, peut-elle être considérée comme une œuvre féministe, c'est-à-dire une oeuvre qui défend la cause des femmes en dénonçant la place qui leur est faite dans la société et en revendiquant pour elles un certain nombre de droits et d’avantages déjà accordés

pièce) ; impiété aussi lorsqu’il jouera la comédie de la dévotion religieuse (avec Elvire, avec son frère ou avec son propre père). Le débauché A ce libertinage de pensée s’ajoute un libertinage des mœurs (mais le libertinage intellectuel ne débouchait pas obligatoirement sur la liberté sexuelle : Gassendi était très vertueux). Ce libertinage de mœurs aggrave l’impiété de Dom Juan. Car pour la conscience chrétienne, le désir sexuel (cf la référence à la « bête brute », au « pourceau d’Epicure » :

noire et brassard », -il a du mal à réaliser la mort de sa mère, -sentiment de culpabilité et marques implicites de l’affectif. C) Une relation au monde qui annonce la fin -un monde perçu par les sens, -désir inconscient d’échapper au monde Conclusion : rapport au monde absurde rapport entre l’Homme et le monde qui n’aurait pas de sens prédéfini, rapport moderne au réel. Ouverture de la carrière littéraire de Camus qui met en scène sa philosophie par ses écrits littéraires. Jacques le fataliste

personnages vus dans les textes du corpus, vous direz si le libertin est forcément un monstre froid et calculateur, attentif à son seul plaisir.* Intro : Au XVIIème siècle, apparaît un mouvement culturel très caractéristique de cette époque : le libertinage. Le libertin est un personnage indépendant, sûr de lui, sans craintes et revendique même ses propres pensées. Mal vu par la société, il n’écoute que lui et la philosophie de l’anticléricalisme. A l’affut de nouvelles conquêtes plus difficiles les

l’hypocrisie : « des larmes et des soupirs » (l 64), la flatterie « cent hommages » (l 61), la corruption « l’innocente pudeur d’une âme qui a peine à rendre les armes » (l 64-65). Hypocrisie, corruption et flagornerie : tout cela au service de son libertinage et de son ambition. (Un langage hyperbolique et métaphorique à la fois) : D’autre part, son discours est dynamique et brillant. Il recourt à la métaphore et à l’hyperbole : «  s’ensevelir pour toujours dans une passion » (l 44), « d’autre mondes

Juan, un mythe moderne Annexes - Le téléfilm de Bluwal - Sujet de dissertation : Le rôle de la comédie est-il uniquement de faire rire ? : barème et proposition pour une correction - Complément sur la représentation du surnaturel - Le libertinage de mœurs - Le libertinage d’esprit - Paroles de critiques sur la pièce - Paroles de metteurs en scène - Théâtre baroque et pièces machines 1 Séance I- Présentation du personnage de Dom Juan Support - La pièce dans sa globalité - Mise en scène de Bluwal Déroulement