Le Légal Est Il Légitime

puissance, elle, va être obtenue avec la force, alors que la domination sera obtenue par le consentement. Pour Weber, la domination désigne la chance de trouver des personnes qui s’y soumettent. Dans la relation de domination, le pouvoir politique est légitime et il apparaît normal pour les individus d’obéir. Il y a le pouvoir d’injonction qui repose sur la possibilité de recourir à des sanctions. On évoque l’idée d’une contrainte qui, si, elle n’est pas respectée, va entraîner une sanction. Le pouvoir

observe le droit ». Nous pouvons donner à ce terme plusieurs significations. Il est à la fois celui qui agit conformément à la justice, à l’équité, mais représente également ce qui est conforme à la justice, à l’équité, ainsi que ce qui est fondé ou légitime. De ce fait, le terme « juste » ne renvoi pas uniquement à la question de loi et de justice. Qu’est-ce qui permet d’affirmer qu’une loi est juste ? Pouvons-nous affirmer que

possible, est-il légitime. •être : Du latin esse, « être ». 1) Verbe : exister, se trouver là. En logique, copule exprimant la relation qui unit le prédicat au sujet (exemple : l'homme est mortel). 2) Nom : ce qui est, l'étant. 3) Le fait d'être (par opposition à ce qui est, l'étant). 4) Ce qu'est une chose, son essence (exemple : l'être de l'homme). 5) Avec une majuscule (l'Être), l'être absolu, l'être parfait, Dieu. •légitime : Qui est naturellement juste, fondé. "Légitime" a un sens plus

née des deux époux. Cependant, avant la naissance de la fille, Monsieur Y, l’amant de madame X, avait reconnu l’enfant devant l’officier d’état civil. C’est par acte du 5 octobre 2001 que monsieur Y assigne les époux afin de contester la paternité légitime de Monsieur Z et de voir sa reconnaissance validée. Le tribunal de grande instance, après avoir constaté que les époux avaient refusé de faire un examen de comparatif de sang, a déclaré la demande de monsieur Y recevable. Les époux n’étant pas satisfait

profiter simplement d'un des effets légaux du mariage. APPIETO demande la nullité du mariage, parce que la mariage contracté par des époux dans le but de conférer à un enfant commun la légitimité n'est pas valable. Parce que si le mariage est nul faute de consentement, lorsque les époux ne ce sont prêtés à la cérémonie qu'en vue d'atteindre un résultat étranger à l'union matrimoniale il est également nul lorsque les conjoint ont cru pouvoir limiter les effets légaux et notamment n'ont donné leur consentement

recherchés. La légitimité doit-elle être reconnu ou s’impose-t-elle comme une évidence ? Plan : I – Le distinction entre la légitimité et la légalité. Tout d’abord, il convient de préciser que ce qui est légal n’est pas forcément juste, donc la loi n’est pas nécessairement légitime. En effet, le légal désigne ce qui est prévu et conforme à la loi, la législation. Il s’agit d’une convention écrite qui résulte d’un consensus, d’une volonté rationnelle de s’accorder, de définir des principes moraux communs

existent effectivement (code civil, pénal, de la route). Le droit naturel est le droit tel qu'il est inscrit dans la nature, il préexiste aux lois. On découvre le droit naturel et on crée le droit positif. Le juste c'est ce qui est positif ou ce qui est légal. Une convention est un pacte passé entre les hommes. Elle est le plus fréquemment créée par l'homme, elle a donc un caractère contingent voire arbitraire. Une convention change d'un pays à un autre ou encore d'une époque à une autre. Par exemple

conditions du conflit. Qu’est-ce qui peut amener à désobéir ? La différence entre le légal et le légitime, c’est-à-dire entre le droit positif et le droit naturel Le droit positif : Il dit ce qui est permis ou non. C’est la loi qui parle. Il délimite ce que les lois permettent et ce qu’elles interdisent. Il indique la borne dans les faits à ne pas franchir. Bref, le droit positif définit ce qui est légal c’est-à-dire ce qui est conforme aux lois écrites. Le droit positif repose dans

c'est-à-dire le refus de se soumettre à la loi. La légalité est le caractère de ce qui est légal, conforme aux lois. La légitimité est quant à elle fondée sur la reconnaissance, et s’appuie sur des valeurs universelles. La désobéissance civile n’est donc pas légale mais peut-être légitime. Face à cela, on peut se poser bien des questions : « Un pouvoir est-il toujours légitime ? » « Peut-on désobéir à un pouvoir légal ? » « Jusqu’où peut aller la désobéissance civile ? » Nous tenterons donc de trouver

l’accepte-t-on alors ? ⋄ Le pouvoir doit être légitime pour être accepté. Un pouvoir politique n’est pas toujours légitime ; mais pour qu’il puisse s’appliquer durablement, la légitimité est nécessaire. Légitimité# légal  Légalité = on respecte strictement la loi (juridique) Le légitime peut ne pas être légal : tout ce qui est légal, n’est pas forcément légitime non plus ← Le régime de vichy : tous les pouvoirs sont accordés à Pétain : c’est légal mais pas légitime (ce qu'on ressent) Le pouvoir politique