Le Législateur Et Le Principe De Non Rétroactivité De La Loi

- le droit du travail Le droit pénal : le mot pénal vient du latin « paena » qui signifie paix. Autrefois, il s’apellait le droit criminel. Cela c’est complexifié, les « infractions » = interdictions posées par le droit pénal et reprimées par la loi. Les infractions se classent selon trois catégories : * Les crimes (Cour d’assise). On y trouve les homicides volontaires et involontaires, les infractions terroristes, les ? Droit = ensemble de régles destinées à ragir la société mais

selon les rédacteurs le rôle que doit avoir la loi, le rôle que doit avoir le législateur (disposition du code civil = valeur législative) et le législateur doit faire preuve de modération, le législateur doit être sobre de nouveauté = il ne doit pas vouloir tout changer, il doit garder les acquis d’une législation antérieure qui était bonne et il ne doit pas avoir l ‘ambition de vouloir tout régler, Portalis expose qu’il est illusoire que le législateur puisse tout prévoir et tout régler. _ Le juge

nationales du droit en France comme au Gabon sont d’une part la loi et le règlement (§1) et d’autre part la coutume, la jurisprudence et la doctrine(§2). §1 :La loi et le règlement : Au Gabon, l’initiative des lois appartient concurremment au gouvernement et au parlement.(art. 53 consti.gabonaise). La loi au sens strict est la règle émanant du parlement alors que les actes émanant de l’exécutif s’appellent des règlements. La loi a la particularité d’etre abstraite, générale et de s’appliquer

rétroactivité est de nature à porter des conséquences manifestement excessives : 1) En raison des effets que cet acte a produits et des situations qui ont pu se constituer lorsqu’il était en vigueur D’une part, la cour de cassation a soutenu la solution retenue

: vise une situation et non pas des individus Les sanctions : dommages et intérêts, obliger par la force, prison Dichotomie (soit l’un soit l’autre) Règles impératives ou supplétives  La règle imposée à nous indépendamment de notre volonté 1 S0.0580.2 un102.02.73 455102.73 455.73 l127.24BT/F11 8ETBT1420.(t)-3j[(Dr)7(t)-19.5u20.2f 165QB36>] TJl1(e)64(o  Règle par défaut, si on n’a rien prévu la loi prévoit pour nous ce qui va arriver comme le testament — loi qui s’applique lorsque l’individu

CEDH, Malige c. France, 23 septembre 2009, req. n° 68/1997/852/1059 Conseil constitutionnel, décision n° 88-248 DC du 17 janvier 1989 n° 88-248 DC portant sur la loi modifiant la loi n° 86-1067 du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication Conseil constitutionnel, décision n° 2005-527 DC du 8 décembre 2005 portant sur loi relative au traitement de la récidive des infractions pénales CEDH AFFAIRE MALIGE c. FRANCE (68/1997/852/1059) ARRÊT STRASBOURG 23 septembre 1998 (…) EN DROIT

Elle ne doit pas viser une personne déterminée. Elle s’oppose à la décision individuelle, la décision de justice est-elle une règle de droit ? Non, car la règle de droit est impersonnelle. Ce caractère général et impersonnel conduit à distinguer les sources de droit en fonction de leur spécialité. Assez régulièrement des lois vont fixés des principes généraux qui vont être précisé par des décrets et des arrêtés. 2nd critère : la sanction. La violation de la règle de droit est toujours sanctionnée

commettre un déni de justice Aux terme de l'art 5, il ne peux pas légiférer, prendre la place du législateur ou rendre des arrêts de règlements → le cas qu'il tranche ne peux pas le rendre commun au d'autres Aux termes de l'art 1351, l'autorité de la chose jugée est relative, autrement dit une décision ne tranche qu'un litige particulier → la présomption que ce que le juge a dit est vrai, vérité que la loi impose. Elle est relative parce qu'elle ne vaut qu'entre les parties d'un litige donné. Question

A – La Constitution du 4 Octobre 1958 La Constitution est une loi fondamentale qui a été approuvée par référendum lors de l'accès au pouvoir du Général de Gaulle. Elle a été écrite par Michel Debré. On y trouve un préambule avec docs juridiques qui ont une force positive, la DDHC de 1789, une charte de l'environnement, et les droits fondamentaux (liberté d'expression, le droit de propriété, le droit à la sureté, le principe d'égalité entre tous les citoyens). Dans la Constitution, on trouve

contracte un crédit pour financer le local dans lequel il a ouvert la galerie d’art. Avant, le taux d’intérêt était de 4%. Le 1er octobre dernier, une loi est venue élever le taux d’intérêt à 5,5%. L’article 2 du Code civil indique que la loi n’a point d’effet rétroactif. Alors, si Monsieur Jean a contracté son crédit avant la modification de la loi, il y a tout lieu de penser que le taux d’intérêt de ce crédit restera sans la modification. Le crédit s’étale sur 10 ans, donc on peut penser que pendant