Le Malin Génie

monde sensible n'existe pas, que mon corps n'existe pas. → Par ces deux exemples universels, Descartes vient de suspendre le monde sensible et son corps. Les « épouvantails méthodologiques » = Artifices méthodologiques = Dieu Trompeur = Malin génie. Il reste une réalité à mettre en doute, c'est la réalité rationnelle. Le monde tel qu'il est présenté par le physicien, chimiste, biologique sont des idées scientifiques, lois scientifiques. Ce ne sont pas des empirismes. (=rien concret, que

de Descartes « je pense donc je suis » est fondé grâce à deux méthodes : celles du doute et celle du malin génie. Par exemple Descartes doute sur un sujet, Descartes pense et donc si je doute, je pense et je pense, je suis. Pour Descartes, même si on est dans l’impossibilité de connaître les choses, nous sommes sur que nous doutons, donc de penser et donc d’exister. Pour la méthode du malin génie, Descartes fait une hypothèse qui sert à évaluer psychologiquement la valeur du doute. Une connaissance

sais que je sais Le doute hyperbolique (méthodique) : 1. Première certitude (je pense donc je suis) Une seule idée résiste aux hypothèses du malin génie et au rêve éveillé : * Descartes compare cette idée au point d’Archimède Cette idée ouvre la porte à la connaissance JE PENSE DONC JE SUIS Je suis : qui suis-je un homme Faux, on ne sait pas (malin génie) Je pense + je suis je suis un homme Faux, saut logique Je pense + je suis je suis une substance pensante Vrai, aucun saut logique 2. Deuxième

(a+b)²=a²+2ab+b², mais deux doutes s'insinuent. D'abord les mathématiciens peuvent s'être trompés (cf Euclide – Lobatchevski) + un malin génie, un Dieu trompeur, peut malicieusement nous fourvoyer en nous faisant croire que 2+2=4. Vérité indubitable : Le monde autour de nous s'effondre. Je ne peux plus faire confiance ni aux sens ni aux sciences. Néanmoins la solution apparaît : un malin génie peut bien s'amuser à me tromper, s'il essaie de tromper ma pensée c'est bien que cette pensée doit être quelque chose

fameux Naudet avait des allures de gentilhomme, (…) Pour le reste un spéculateur, un boursier, qui se moquait radicalement de la bonne peinture. Il apportait l’unique flair du succès, il devinait l’artiste à lancer, non pas celui qui promettait le génie discuté d’un grand peintre, mais celui dont le talent menteur, enflé de fausses hardiesses, allait faire prime sur le marché bourgeois. Et c’était ainsi qu’il bouleversait ce marché en écartant l’ancien amateur de goût en ne traitant plus qu’avec l’amateur

l’existence d’autrui, mais il éprouve la sienne au sein de la liberté du doute : « […] Il n’est en mon pouvoir de parvenir à la connaissance d’aucune vérité, à tout le moins il est en ma puissance de suspendre mon jugement. » Cette solitude face à un Malin Génie qui peut le tromper entièrement est sa seule puissance. C’est parce que Descartes lui se sait être un individu, différent des autres, qu’il peut douter de leur existence sans douter de la sienne ; et c’est parce qu’il s’isole des autres qu’il peut

précise et incontestable, il est possible que l’homme se trompe sur toute chose, dont l’existence de Dieu. Descartes, encore insatisfait par son doute, a décidé d’aller une étape plus loin. Il soumit une hypothèse disant qu’il existait peut-être un malin-génie qui s’amusait à le tromper sur toutes ses opinions et ses croyances. Par conséquent, ce moyen a rendu son doute méthodique exagéré et hors-proportion. À cet instant, son doute est tellement hyperbolique que Descartes a hésité d’abandonner sa recherche

la vie était un grand rêve ; c’est le « malin génie » de Descartes, un esprit malin perturberait l’esprit de l’homme. Rien ne prouve le contraire. Le sujet est emprisonné dans ses représentations. C’est ce que l’on nomme le solipsisme. Formule célébrissime de Descartes : « Je pense donc je suis ». C’est le cogito, la certitude indubitable que l’on existe. En effet, soit aucun Malin génie n’existe, et j’ai raison de penser que j’existe ; soit un Malin génie existe mais pour qu’il me trompe il faut

ne peut être claire et distincte qu'au moment même où je la pense. Dès que j'arrête d'y penser, que je tente de la lier à d'autres choses, le malin génie peut intervenir. Descartes va y parvenir en analysant les pensées. Il distingue trois types de pensées : les idées, les volontés et les jugements. Les volontés et les jugements sont des actes. Le malin génie peut donc les fausser. Les idées, elles, ne sont que des représentations. Descartes les distingue entre idées innées, idées adventices (venant

dépressif -rapide fortune : rejeté gradat°>prob,résoudre,effort,acharnmt >50K jeunes dans sa position, métaphore araignée -génie ou corruption :il refuse le génie car rare >on pli ss le pouvoir du génie, accepte corruption >se glisser comme une peste métap° maladie contagieuse, méthode sournoise proposition de la voie la plus répréhensible, Vautrin est oratoire, malin, ingénieux B- Persuasion force de persuasion, parallélisme>vous y avez flairé le luxe… la parisienne question>que ferez