Le Maçon Et Le Monde Profane

blé qui doit mourir en terre pour que germe l’épi de blé porteur de nombreuses graines. Les Ephraimites, sont devant le fleuve qui les sépare d’un avenir prometteur, de leur nouvelle vie. Le fleuve est la limite entre l’ancien monde porteur de mort, et le nouveau monde, la nouvelle vie. Le Compagnon devra voyager et être confronté à chaque fois à un tuilage qui vérifiera la véracité de ses origines. S’il passe, il sera admis à connaître de nouvelles choses qui le perfectionneront , mais s’il ne

nouvelle naissance Après plus un demi-siècle de vie de profane, j’ai’ souhaité vivre autre chose qu’une vie de plus orientées sur des valeurs matérialistes influencée par l’évolution de l’environnement et des technologies. J’ai souhaité me perfectionner, pour moi et aussi pour me tourner et m’ouvrir vers les autres en partageant des valeurs plus spirituelles et non dogmatiques qui sont celles de la maçonnerie Profane je suis entré dans le cabinet de réflexions, une alcôve obscure

de part et autre de la porte du temple et les deux rangées horizontales qui se font faces et sur lesquelles les francs-maçon prennent place. Tout récipiendaire qui entre dans une loge maçonnique doit obligatoirement passer entre les deux colonne situées à l’occident, celles ci marquent, symboliquement, pour tout francs maçon, la frontière entre le monde profane et le monde sacré. Les colonnes se différencient entre elles par le nom quelles portent et par leur emplacement. L’une, celle du nord

dans un ouvrage. L’objectif du travail n’est-il pas d’inviter chaque maçon à réfléchir par lui-même, pour avoir sa propre connaissance des choses. Le travail consiste donc à se former soi-même. Ainsi, tel l’Apprenti dont le premier travail est de dégrossir la pierre brute, l’homme lui-même est le résultat de son propre travail. Car en travaillant, il transforme la nature et par là se transforme lui-même. Le franc-maçon recherchera donc par un travail sur lui-même les forces nécessaires à son

frères, la chance d’avoir à vous présenter, ce qui est pour moi l’un des plus forts et des plus émouvants moments de nos tenues : la chaine d’union. Je suis devenu maçon guidé par un curieux cocktail, mêlant désir de trouver une voie nouvelle dans ma quête spirituelle et l’envie d’expérimenter cette relation particulière que maçons et profanes appellent la fraternité. C’est de cet appel à une grande spiritualité sur l’amour fraternel que je me propose de travailler. Mais qu’est- ce que la fraternité 

sur le rideau que l’Apprenti lit à haute voix lorsqu’il est conduit par les deux surveillants devant le miroir, durant son passage au grade supérieur et aussi toujours dans le Rituel, la première partie de ce thème est la condition à laquelle nous Maçons, pouvons parvenir à chercher à se connaître pour faire de nouveaux progrès dans la Franc-maçonnerie. Prenons tout d’abord la première partie de ce Thème qui est “ “Si” tu as un vrai désir, du courage et de l’intelligence...” A première vue, elle

des dalles alternativement blanches et noires est là pour nous rappeler que : tous les maçons répandus sur la surface du globe ne forment entre eux qu’une famille de frères . Le pavé représente l’union étroite qui doit régner entre les Frères et Sœurs Maçons liés entre eux par la vérité, la justice et l’harmonie. Le pavé mosaïque nous rappelle que l’humanité est composée d’hommes et de femmes et que les Maçons de l’ordre maçonnique international du Droit Humain ont prêté serment sur la constitution

est évocatrice : il faut voir, écouter, comprendre, mais, parmi les vérités ainsi découvertes, aucun ne doit être divulguée inconsidérablement. Plus tard, Apula écrira dans l’Ane d’Or : « Nul danger ne pourra jamais me contraindre à dévoiler aux profanes les choses qui m’ont été confiées sous le sceau du secret ». il en fut ainsi pour l’enseignement ésotérique de tous les mystères anciens, pour ceux d’Isis et des Pyramides, pour ceux d’Eleusis où l’on célébrait le culte de Déméter, de Perséphone

Vingt ans de Maçonnerie ou la profession de foi d’un Maçon ordinaire 29 mai 1989. C’est la date exacte, il y a vingt ans, où je recevais la Lumière. Vingt ans d’un chemin tout à la fois très personnel et marqué par la rencontre avec plusieurs organisations maçonniques et de nombreuses personnalités. Un chemin moins linéaire et moins codifié qu’on ne me l’avait laissé entrevoir ou que même je ne l’avais imaginé au départ. Les motivations Après vingt ans les motivations ont-elles changées 

tous les maçons l’on entendu au moins une fois dans leur vie maçonnique. Un symbole peut représenter un sens courant et en deuxième lecture un sens spirituel, sacré qui permet de faire le joint entre le visible est l’invisible entre le profane et le sacré. Une nouvelle voie s’offre ainsi à l’initié où a celui qui à soif et faim d’une recherche quand aux mystères de la vie, le symbole donne la possibilité d’accéder à la Connaissance. L’équerre est l'outil du compagnon de métier, du maçon opératif