Le Modèle Harrod Domar

dans un modèle dont la structure relève de la théorie de l’équilibre général (le modèle walrasien, ou sa version sophistiquée Arrow-Debreu). Il faut remarquer plusieurs points : - nulle référence ici à la concurrence parfaite. Un modèle de concurrence imparfaite peut très bien être qualifié de néoclassique ; - la structure du modèle Arrow-Debreu à laquelle je fais référence correspond grosso modo à l’idée qu’on va rechercher les conditions d’équilibre (et de stabilité) dans un modèle où l’on

permet de stabiliser les marchés financiers de ces pays, qui deviennent ainsi moins volatiles. Elles permettent donc d’améliorer la sécurité financière de ces pays. B) L’épargne et la croissance équilibrée chez les postkeynésiens. - Le modèle de Harrod. Harrod distingue 3 types de croissance : - Le taux de croissance effectif de l’économie dépend du rapport entre l’épargne constatée et le coefficient de capital. (Equation fondamentale de la croissance). Cette équation est obtenue à partir de Epargne

« pourquoi la croissance ? » revient à vouloir mettre en lumière les facteurs et causes de la croissance pour aboutir à l’inévitable constat de sa complexité. Pour cela il faut étudier les facteurs principaux de la croissances, la difficulté des modèles théoriques de croissance et deux autres facteurs de croissances souvent ignorés à tort. Les premiers économistes à s’être intéressés à la croissance ont tout de suite observé des facteurs principaux. Pour les économistes pionniers et leurs successeurs

(investissement = renonciation à la consommation) et de la division du travail (liée chez Smith à l’accumulation du capital). Pouvaient aussi être évoqués : la théorie de l’état stationnaire associé au déclin des investissements (Smith, Ricardo) ; le modèle de Lewis (investissement et décollage économique , le principe de la « génération sacrifiée ») ; Nurkse et les cercles vicieux du SD (faible E = faible I = faible pté = faible R = faible E etc.). 2) L’investissement, une triple nécessité : -

capital jusqu'à la limite ([pic]) où un investissement n’apporte plus aucun gain de productivité (rendements marginaux décroissants). A ce point, on arrête d’investir et la croissance est stoppée (= état stationnaire). [pic] Autres équations du modèle de base : (2) [pic] (3) [pic] [pic] [pic] (4)[pic] l’investissement ne peut provenir que de ce que l’on a épargné. (5) [pic] y [pic] f(k) [pic] y1

croissance endogène a pour objet d'expliquer la croissance économique à partir de processus et de décisions microéconomiques. Elle est apparue en réponse aux modèles de croissance exogène, en particulier le modèle de Solow, qui fondait la croissance économique sur le progrès technologique, mais n'expliquait pas l'origine de ce progrès. Le premier modèle de croissance endogène a été publié par Paul Romer en 1986, dans un article intitulé Increasing Returns and Long Run Growth1. Cette théorie a été développée

en situation de monopole. Par contre au moment de bénéficier du brevet, si quelqu’un triche, celui qui copie n’a fait aucun investissement donc c’est un gain total et l’autre n’a aucun retour sur investissement. CHAPITRE 2 : LES MODELES DE LA CROISSANCE Quel modèle mettre en place en France pour avoir une croissance régulière ? Il faut harmoniser les facteurs de la croissance. Sur quoi peut reposer aujourd’hui la croissance ? I/ Les théories traditionnelles de la croissance Il faut distinguer

décroissants dans l’agriculture, comme le supposait D. Ricardo. 3- Le modèle néo-classique de R. Solow R. Solow élabore en 1956 un modèle de croissance qui fait figure de référence dans les études économétriques, car il permet l’intégration du progrès technique dans un cadre néo-classique. Il reprend l’idée propre aux classiques d’une convergence vers l’état stationnaire en l’absence de progrès technique. Les principales hypothèses du modèle sont les suivantes. - Le produit national est donné par une

développement économique comme succession d’étapes 1 - ROSTOW et « Les étapes de la croissance économique » 2 - Les critiques à la théorie de ROSTOW B - Le rôle du capital dans le « décollage » 1 - Les conséquences d’une insuffisance de capital 2 - Le modèle HARROD-DOMAR 3 - L’analyse des sources de la croissance 4 - Du capital pour financer le « décollage » III - Accumulation du capital et industrialisation A - L'approche de la « croissance équilibrée » 1 - La théorie de la « croissance équilibrée » - les

..................... 16 Conclusion des théories à prix et salaires fixes.................................................................... 18 B/ LES PROLONGEMENTS NEOCLASSIQUES ............................................................ 19 Le modèle Offre globale/Demande globale (OG-DG)......................................................... 19 La courbe de demande globale.............................................................................................. 20 Une critique radicale par