Le Monologue De Thésée

d’un taureau et Ariane finit par s’unir à Dionysos. La petite fille du Soleil, Phèdre « la brillante » est maudite. Elle s'éprend de son beau-fils, Hippolyte, et, le trouvant insensible, l'accuse auprès de son époux, Thésée, d'avoir voulu la séduire, puis se donne la mort. Thésée, furieux, invoque la vengeance de Poséidon, qui envoie un monstre marin contre son fils innocent. Ce mythe de Phèdre a inspiré, du moins d'après les œuvres qui nous restent, deux grandes tragédies dans l'Antiquité, une

principaux repérages  Le texte à commenter fait partie d’un corpus qui se rattache à un objet d’étude (le personnage de roman ; le texte théâtral et sa représentation…) et à une problématique liée à cet objet d’étude (le portrait dans le roman ; les le monologue…). Il faut donc prendre en considération ce corpus et lire attentivement le texte afin d’en percevoir rapidement le contenu global et l’intérêt. 1- Le paratexte Le paratexte donne des indices indispensables et précieux qui permettent de connaître

(pas d’action au sens courant duterme). Les personnages ne font que parler, et surtout le personnage principal. En fait,c’est cela le sujet de la pièce : le débat d’idée, la joute verbale entre Alceste et tous sescontradicteurs.II.Une argumentationa. Thèse-résumée dans la tirade : « l’ami du genre humain n’est point du tout mon fait » =définition étymologique et littérale d’un misanthrope, ennemi du genre humain.-Résumée dans le titre de la pièce : Alceste = celui qui est désigné par le titre(Misanthrope

Littérature québécoiseLittérature québécoise Semaine 9Plan de la séance 1. Présences 2. La chanson québécoises (60-70) 3. Étude des Belles-sœurs 4. Citer le texte de théâtre 5. Dissertation critique (théorie) 6. Au programme au prochain cours 7. Devoirs1. Présences2. La chanson québécoise2. La chanson québécoise • La chanson québécoise naît avec Félix Leclerc. • Elle prend véritablement son essor à partir des années 1960.2. La chanson québécoise Félix Leclerc Raymond Lévesque Lien : Chanson «

des amis, ou entre des ennemis". Dans Phèdre, Hippolyte, Thésée et Phèdre ont en effet des liens de parenté, et sont donc considérés comme des amis, bien qu'Hippolyte ait été exilé loin de sa belle-mère par elle-même pour des raisons qui semblent être, au premier abord, la haine. Quant à la douce et belle Aricie, si elle est censée être une "ennemie de guerre", elle se trouve devenue "amie", et même amante, d'Hippolyte. Ainsi, le fils de Thésée, jeune, fougueux et sincère, veut suivre les traces de

regard: "il la trouva", "Elle lui déplut", "qu'il avait vue", "Il l'avait mal regardée" - On a une description subjective de Bérénice qui n'est pas très sympatique. 2) Péjorative - Une véritable argumentation sur la laideur de Bérénice: la thèse "il la trouva franchement laide'' -Arguments: "il n'aima pas comment elle était habillée", "Cela lui fait mal augurer de celle-ci qui portait un nom de princesse d'orient sans avoir l'air de se considérer dans l'obligation d'avoir du goût.", "Les

poser : au vu de l’histoire littéraire, ce jugement est-il complètement légitime, ou non ? Il faut toujours partir de l’idée que l’auteur de la citation (ici Stendhal) n’a ni raison, ni tort ; il prend simplement position. Il faut identifier la thèse : Stendhal utilise la métaphore traditionnelle du miroir pour désigner la représentation, la mimésis. Mais à cette métaphore succède une autre : celle du chemin, de la promenade le long d’un chemin. Un chemin désigne un espace assez ordinaire et neutre

Montesquieu, y énonce sa thèse de manière explicite. Il déclare que la peine de mort est absurde et inhumaine. Il essaie d'en convaincre le lecteur par l'absurde. Il le prouve par des exemples concrets qui démontrent que malgré ces punitions et la menace de mort, les vols et autres crimes n'ont pas disparus. J'accuse est un autre texte explicite. Celui-ci est écrit par Zola qui expose lui aussi, clairement son avis concernant l'affaire Dreyfus cette fois, à l'aide d'un monologue délibératif. L'idée qu'il

du temps intérieur correspond à l’accélération de l’épidémie : le rythme de la vie individuelle se calque sur celui de la vie collective. A la défaite de l’amitié succède celle de l’amour. Bérenger n’a plus de recours qu’à lui-même. Un monologue ambigu Le monologue cesse d’être ici une convention théâtrale pour devenir la traduction nécessaire de la situation dramatique. Bérenger est désormais le seul à savoir et à pouvoir parler. Il faut se garder d’interpréter cette scène finale comme une nouvelle

Séance 2. Premières confidences du narrateur. Dominante : expression écrite. Objectifs : - comprendre pourquoi le narrateur reste énigmatique. Pourquoi Hugo a-t-il dressé un tel portrait ? - distinguer les notions : journal intime, monologue intérieur, récit autobiographique. - être capable de rédiger un paragraphe argumenté. Supports : les chapitres 1 à 5. I – Portrait du narrateur - Ce travail gagne en qualité lorsqu’il est préparé au préalable par les élèves. 1 - Quelles