Le Mépris Comparaison

être humain Aucun doute, pour lui ce sont des hommes l. 46 « ils » (assemblée) l. 37 « ces indigènes » (cardinal) l. 65 « mais d’une catégorie inférieure » (Sépulvéda) Vocabulaire dépréciatif Opposition des autres : - l’intervenant ne les nomme pas (mépris) - le cardinal repose le débat - Sépulvéda joue sur les mots et tente de reposer son argumentation sur une nuance : implicitement il assimile la nature des Indiens à celle des animaux l. 8 « le renard est rusé » Vocabulaire de l’animal Conclusion :

peut être confronté à plusieurs difficultés comme par exemple se contenter de faire un catalogue des différences sans dégager d’universaux ; ce travaille se rapporterait plus à une étude ethnologique, à savoir une étude de l’altérité sans point de comparaison. Un autre piège pour l’anthropologue serait de généraliser « son » particulier à tous les particuliers. Dans ce sens, nous touchons à une des problématiques essentielles de ce domaine à savoir l’ethnocentrisme. Effectivement, l’anthropologue est

des grands du royaume Le souffre douleur des courtisans : chiasme ''mépris de toute part/ Tout homme l'humilie'' → il éprouve un sentiment de honte, visible avec l'exclamation ''abjection' !' Le jouet des grandes dames: débauche du royaume dans l'enjambement ''une reine, une femme jolie/ demie nue et charmante'' Il voudrait être avec elles : verbe au conditionnel → dont il voudrait bien Rabaisser au statut d'animal → comparaison à un chien 2) La vengeance du valet La satire contre les courtisant:

de 25 ans a rejoint la Chine pour lancer son affaire à Shanghai. Un bureau de liaison entre l’Algérie et la Chine sur l’import export. « La langue peut parfois être une barrière pour la formation mais l’anglais vient toujours au secours. Et en comparaison à l’université algérienne, le sérieux, l’assiduité et les moyens performants sont de mise contrairement à l’université algérienne » expliquera-t-il. Le problème de bibliographie sera le point noir mentionné par la majorité des étudiants rencontrés

Soldats, fusillez-moi ce vieux ! Tuez-moi cet enfant ! Qu'est-ce que cette femme ? C'est la mère ? tuez ! Que tout ce peuple infâme Tremble, et que les pavés rougissent ses talons ! | 40 | Ce Paris odieux bouge et résiste. Allons ! Qu'il sente le mépris, sombre et plein de vengeance, Que nous, la force, avons pour lui, l'intelligence ! L'étranger respecta Paris : soyons nouveaux ! Traînons-le dans la boue aux crins de nos chevaux ! | 45 | Qu'il meure ! qu'on le broie et l'écrase et l'efface

profanes du cerf à ses ongles sacrés. La reine aussi est divinisée v38. Ce mépris aussi à cause du tutoiement, le roi se trouve sup : pluriel de majesté v35.Violence physique ⇒ vengeance de l’affront, attitude irrévérente du cerf. Le roi appelle les loups pour qu’ils le mettent à mort et l’offre en sacrifice à la reine défeinte (v36-38). Ds ce vers les verbe « immoler » à une connotation religieuse. Le roi montre son mépris pour le cerf qu’il juge tllmt inférieur à lui qu’il ne s’abaissera pas à le

un savoir et non à une personne. La méthode proposée par Jacotot s'appuie sur le fait que l'on sait déjà quelque chose sur laquelle on va pouvoir s'appuyer pour apprendre quelque chose de nouveau. Par comparaison avec ce que l'on sait déjà, on peut définir ce qui est nouveau. Cette comparaison est ici tout d'abord visuelle, puis verbale. La méthode de Jacotot se décompose en trois étapes : voir, décrire, comparer. La maître même s'il est ignorant peut vérifier le savoir de l'élève en lui demandant

et Gauitier développe une scène pour elle même de façcon autonome, comme un petit récit, ensuite il explique la comparaison. -le refus de se compromettre, de s'avilir L'auteur s'adresse aux poêtes qui s'exhibent vers 3 et 7 dans tout le reste il s'adresse aux lecteurs Insistance sur la deuxième personne occurences, effets refus d'être comme ces gens mépris du public isolement anaphore du pronom je à la fin du poème - la condamnation du public

: Types : - tragique - narratif - didactique -argumentatif Le Chêne et le Roseau II) Deux personnages opposés 1) Le Chêne Incarne l’orgueil. Usage de vers longs quand il parle de lui + mépris envers le roseau + comparaison hyperbolique (« mon front, au Caucase pareil »). 2) Le Roseau Discret, réservé (peu de paroles). Ironie vis-à-vis du Chêne + sûr de lui. 3) Une opposition marquée Antithèse : « tout vous est aquilon, tout me semble zéphir ». « Cependant » :

inconnues", "femmes folles", "féroces", "haïr". La périphrase de la première et seconde ligne souligne la colère et le mépris tout en mettant en valeur l’interlocuteur. C’est lui qui fait la loi sur son île et il ne veut pas être inportuné par les Hommes de Bougainville. Cette idée est renforcée par l’emploie du « nous » qui s’oppose au « tu » (européen) montrant une nouvelle fois du mépris. L’utilisation de l’impératif « écarte…ton vaisseau » (l 1-2), « va dans ta contrée » (l 27) met en valeur la volonté