Le Mépris Comparaison

genre : roman (autobiographie partielle) * Détermination du sujet : il raconte essentiellement les malheurs du héros, Daniel Eyssette, surnommé Le Petit Chose. Daudet s’inspire des souvenirs d’une jeunesse douloureuse : humiliations à l’école, mépris pour le petit provençal, expérience de répétiteur au collège et enfin coup de foudre pour une belle jeune femme. * Les personnages principaux : Daniel Eyssette: le héros du roman dit « le petit chose » ; Jacques Eyssette : frère du héros (deux

forces surnaturelles. Il vise à susciter essentiellement l’étonnement, l’effroi, l’admiration. Appliqué à des thèmes romanesques, théâtraux ou poétiques modernes, il se signale par tous les procédés de l’agrandissement : pluriels, superlatifs, comparaisons et métaphores hyperboliques ; mise en mouvement de foules, espaces aux dimensions cosmiques, évocations surnaturelles. [Exemple auteur : Victor Hugo] Le registre lyrique Le mot « lyrique » qualifiait dans l’Antiquité les textes destinés à

univers viril. (l. 1-5)2. Un caractère rêveur. (l. 5-8)3. Le contraste entre Julien et les siens. (l. 8-11)II. La brutalité comme communication filiale et représentation sociale (l. 12-25)1. La marginalisation de l’homme d’esprit. (l. 12-14)2. Le mépris et la véhémence d’un père. (l. 14-22)3. Le retour d’une réalité honnie. (l. 23-25)I. La marginalisation d’un héros intellectuel (l1-11)1. La description d’un univers viril. (l. 1-5)· Utilisation de : “sa voix de stentor” (ligne1): impression de voix

lecteur sur la réalité qui l’entoure. Afin d’y répondre, nous étudierons pourquoi il est important d’aller à la découverte de contrées qui font rêver, puis comment ces lieux deviennent le support de l’utopie afin de permettre enfin par comparaison la critique de la réalité. Un voyageur qui parcourt des terres étrangères est d’abord surpris par tout ce qui est nouveau ou différent : paysages, végétation, habillement, architecture, coutumes. Et cela ne cessera pas de l’étonner

les années 1930 et Imène nous propose une comparaison entre les autochtones et les pieds-noirs et nous expose leur différence sur tous les plans, à commencer par la religion mais aussi les habits, les mets, les constructions (architecture des habitations)… Dans A quoi rêvent les loups (Benhamlaoui), on est en 1990 et le terrorisme bat son plein.Nassim a établi une comparaison entre les habitants de Hydra, riches, « intouchables » et qui inspirent du mépris et de la haine, et ceux de la Casbah, pauvres

Mortsauf : mère et religieuse ? - Une anonyme : jamais le nom ou le prénom de Mme de Mortsauf ne seront cités : elle deviendra « mon inconnue » à la fin du passage. - Une mère : nombreuses allusions à la mère à travers comparaisons et métaphores « se posa près de moi par un mouvement d'oiseau qui s'abat sur son nid ». : une atittude protectrice Mme de Mortsauf est le lys dans la vallée ?? - La pureté incarnée Mme

étudiés en lectures analytiques : 1/ Montaigne, Essais (1588) « Le monde n’est qu’une branloire pérenne… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p. 367. 2/ Chassignet, Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort (1594) « L’eau change tous les jours… », Bordas, Textes et Perspectives 1ère, p.368. 3/ Chassignet, Le Mépris de la vie et Consolation contre la mort (1594) « Mortel sonnet », document photocopié. 4/Corneille, L’Illusion comique (1636),acte V,sc 5, Bordas, Textes et Perspectives

Va-t-elle découvrir le monde ? ¤ Le monde extérieur est devenu une référence permanente. C’est un motif de comparaison. Les chinois se passionnent pour les stars américaines. L’Amérique est un idéal et un adversaire privilégié. ¤ Absence de rancune envers tous sauf le Japon. ¤ Elle a un goût forcené pour la hiérarchie dans les classements, JO etc. ¤ En Europe elle voit juste l’Allemagne. Mépris pour le monde musulman. ¤ Pour le capitalisme chinois : Investir= Installer sur place une main d’œuvre

qui se terminera par une catastrophe. De part la description que Jules Verne nous donne à travers le personnage de Quinsonnas il semblerait que les femmes ne trouvent plus leur place dans cette société et il semblerait même qu’il éprouve du mépris envers elles, « elles ne valent plus ni le regard d’un artiste ni l’attention d’un amant ». La femme est devenue une machine ne servant qu’à « la propagation de l’espèce humaine ». Pourtant dans le chapitre dix il fait les éloges d’une écrivaine qu’est

de plainte. Est-ce là cette gloire et ce haut rang d'honneur Où le devait monter l'excès de son bonheur ? Alcandre : Cessez de vous en plaindre. A présent le théâtre Est en un point si haut que chacun l'idolâtre, Et ce que votre temps voyait avec mépris Est aujourd'hui l'amour de tous les bons esprits, L'entretien de Paris, le souhait des provinces, Le divertissement le plus doux de nos princes, Les délices du peuple, et le plaisir des grands : Il tient le premier rang parmi leurs passe-temps Et