Le Mépris Comparaison

critique de l'intolérance de cette population française ≠ anglais : liberté de culte : l.22-23 - débat de liberté : malgré les bonnes intentions : kerkabon et les autres : mépris envers l'ingénu : ils le prive de ses liberté en croyant faire son bien MAIS le huron résiste et se défend : arguments de fait (l.10) + de comparaison avec les Anglais + symétrie (l.4-5) + langage (l.12-13) + droit (l.25-26) + son libre arbitre (l.24) => ne convainc personne : ironie de la dernière phrase

A travers le sonnet, Joachim Du Bellay émet une opinion sévère sur les courtisans. Il exprime son mépris envers ces personnages en forçant une allitération en [R], notamment dans la première strophe où il exprime une prise de position violente. L’utilisation de la 1ère personne «JE ne saurai regarder d’un bon œil» au vers 1, puis «ME dépite» au vers 12 en témoigne. L’expression «regarder d’un bon œil» est employée de manière négative et les rimes «dépite» et «hypocrites» renforcent le dépit et

___■ Sa supériorité par rapport aux autres : _____● Cf. ci-dessus : elle a la prétention de s'être donné sa propre éducation = elle se suffit à elle-même +______..modèle unique puisqu'elle n'a pas connu le même "moule" que les autres. _____● Comparaison avec les autres pour montrer sa différence et sa supériorité : _______- Sa différence avec les autres femmes : _________▪ 1° mot = « mais » = terme d'opposition : elle construit son portrait en opposition aux autres _________▪ « qu'ai-je de commun

paragraphe ; Voltaire faire le constat de la puissance de l'Angleterre, il fait ensuite dans un second paragraphe, le rappel de l'anecdote qui fit gagner à l'Italie sa guerre contre la France (l'histoire du négociant). Il réalise ensuite un suite de comparaison, dans les paragraphes 3-4-5, respectivement avec le citoyen Romain, les nobles Allemands, et les nobles Français. Sa stratégie argumentative : Dans le premier paragraphe, il associe la grandeur et la richesse avec le commerce dès la première

anéantir tout scrupule chez Rastignac. Dans un premier temps on peut observer son sentiment à l’égard du travail comme nous le montre la question rhétorique « Vous travaillerez ? » qui est en réalité une fausse question donnant de l’impertinence à son mépris. D’après lui, le travail est synonyme de médiocrité et les expressions aux termes familiers et dépréciatifs « Maman Vauquer » et « des gars à la force d’un Poiret » renforcent le caractère méprisable. Il énonce également le reniement des valeurs familiales

les bienfaits de sa société, soumis aux obligations de l’Eglise, sans force ce décision. Le vieillard : discours franc et violent mais à portée philosophique, mépris des européens, inquiétudes pour son pays, scandalisé par la perversion de sa société. Les thèmes : Nature, société et bonheur : Cette œuvre permet la mise en comparaison de l’état de nature et de l’état de culture par l’opposition de l’aumônier à Orou ou bien celle du vieillard tahitien à Bougainville. En effet le Tahitien mène

triomphe du héros 1. La foule Procédés et exemples Interprétations Hyperbole « interminable défilé des assistants » l 5, « un peuple » l 6, métonymie « des mains » l6 « aux compliments » l 7 «d'autres personnes » l19, «pleine de monde» l21 Comparaison hyperbolique «La foule coulait devant lui comme un fleuve» l19 Absence de noms propres + métaphore «2 haies de spectateurs» l30 + métonymie «des mains» l6 Qualifient la foule et donnent impression de masse Renforce cette impression

une main squelettique tenant une fau (symbolisant la mort omniprésente pour les anciens combattants. Les deux hommes : il y en a un qui tient une canne dans sa main ressemblant à une prothèse et un autre donnant un timbre au mendiant comme signe de mépris. Analyse Plastique Les formes du tableau sont simple, souvent courbe. Couleur : chaude (rose, rouge, jaune, orange, ocre). Il n’y a pas de ligne de force mais une impression de mélange, chaos. Intention de l’artiste L’intention de Dix est de

Introduction : - Il s’agit d’un poème écrit par Chassignet, homme de loi catholique qui a vécut entre 1571 et 1635. Il est extrait de Mépris de la vie et consolation contre la mort, qui est son unique oeuvre. - La vie est vue comme un passage avant la mort. L’auteur souligne la fragilité de l’existence humaine dans un paysage naturel changeant par le biais d’une structure argumentative, persuasive, au service de la chrétienté. I . Volonté argumentative II . Aspect de mouvement comme principe

mélancolie sombre et angoissée. Il semble « las de cette existence désordonnée » (Léon Lafoscade). Il a par dessus tout le sens du langage, de l’image, et c’est là-dessus que Marianne le raille : « Bien dit. Aviez-vous préparé d'avance cette comparaison ? Si vous ne brûlez pas le brouillon de vos harangues, donnez-le-moi, de grâce, que je les apprenne à ma perruche. » I, 1). Tombe-t-il ou non amoureux de Marianne. Si c’est le cas il y renonce pour tenir sa promesse à Coelio ; mais il est