Le Mépris Comparaison

leur noblesse et richesse à travers leurs habits, leurs cheveux lisses et frisés et leurs regard. Lord Bernard, à droite, se tient de côté avec sa main gauche mise sur sa hanche. Sa main droite serre sa veste de soie et il nous donne un regard de mépris et de fierté. Son grand frère, John, à gauche, avec son habit en or, semble plus calme mais en tenant debout sur une marche, il nous montre son pouvoir et qu’il est impressionnant. Les couleurs dominantes sont jaune dore et bleu qui désignent les

société, les tracas de la vie mondaine. Il est d'ailleurs naturel à l'esprit romantique qu'on se confie plus aisément à un lac qu'à un ami en chair et en os. C'est bien là le signe, à la fois, du mépris des romantiques pour l'univers social et du goût de ces poètes pour la méditation.   3) Comparaisons entre le héros romantique et héros traditionnel Le héros traditionnel tient le rôle principal dans une histoire (film, théâtre, livre...) tout comme le héros romantique mais contrairement à celui-ci

cette ville. (accroche avec contexte littéraire) Cependant, très vite il désenchante, et devient nostalgique de son pays natal, l’Anjou. Ce sonnet très connu « Heureux qui comme Ulysse… »met d’ailleurs en avant ce mal du pays. Il effectue une comparaison entre la ville italienne et sa province française, à l’avantage de cette dernière. (présentation du texte). Il choisit ce moyen pour nous faire partager sa déception devant Rome, et sa tristesse d’être loin. De quelle manière exprime-t-il ses

que”, “droits”, “déclaration solennelle”, “membres du corps social”, “leurs droits et leurs devoirs”, “institution politique”, “citoyennes”, “principes”, “constitution”. L’énumération “l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de la femme” est un constat qui provoque “des malheurs publics et de la corruption des gouvernements”. Cela prouve que le texte à une valeur argumentative et juridique .L’énumération “naturels, inaliénables et sacrés”présente également

Eastwood. Il en va de même pour le burlesque muet avec les films de Chaplin et de Keaton. Mais par là même ce pose le pose le problème de la comparaison. En effet, si on assure cela soit nous les avons tous vu et par la même nous parlons à notre propre nom ou alors nous l’avons entendu par la bouche d’une célébrité reconnue et confiante. La comparaison nous permet de voir les différences et ressemblances de deux ou plusieurs films mais il ne nous permet pas de sortir de l’aporie du sujet, en bref

friandises“, p.49 l.5-10). Le panier est exprimé comme étant beaucoup plus important que de la simple nourriture. Il entraîne du mépris, de la jalousie (“Tous les regards étaient tournés vers elle. Puis l’odeur se répandit, élargissant les narines, faisant venir aux bouches une salive abondante avec une contraction douloureuse de la mâchoire sous les oreilles. Le mépris des dames pour cette fille devenait féroce, comme une envie de la tuer, ou de la jeter en-bas de la voiture, dans la neige, elle

différente. Il y a le champ lexical de la souffrance : « dégoût », « lâcheté », « haine », « douleur », «je n’aboutis à rien » et celui du sentiment : « dégoût », « mépris », « lâcheté », « la peur ». L’auteur utilise ces champs lexicaux pour insister sur la puissance des sentiments que Caligula exprime pour la première fois. Il y a une comparaison : « la nuit est longue comme la douleur humaine » : cette dernière montre qu’il connait cette douleur. Caligula a, tout au long de sa vie, le besoin de

___■ Sa supériorité par rapport aux autres : _____● Cf. ci-dessus : elle a la prétention de s'être donné sa propre éducation = elle se suffit à elle-même + ______..modèle unique puisqu'elle n'a pas connu le même "moule" que les autres. _____● Comparaison avec les autres pour montrer sa différence et sa supériorité : _______- Sa différence avec les autres femmes : _________▪ 1° mot = « mais » = terme d'opposition : elle construit son portrait en opposition aux autres _________▪ « qu'ai-je de commun

qu’elles |- « le plaisir que je me promettais| |- « mon cocher...la voiture de |lettres » |ont pu être contre moi » |fut troublé par l’idée de cet amour| |Valmont » |- « être livrée au mépris et à |- « un moment d’erreur que je |que vous vous obstinez à me croire | |- « cette même fille...à faire scène |l’insulte » |voudrais racheter du reste de ma|» | |» 377

L’Angleterre est plus progressiste que la France par rapport à la liberté d’écrire. L7 : « Il y a je ne sais quoi de turc » : Préjugé culturel ironique. L9 : Argument d’opposition. L’auteur nous montre des contrastes. Antithèse : Crime ; Infâme ; Mépris ≠ Tant d’honneur ; l.4 désigne la censure « inquisition littéraire » métaphore parallélisme entre l’homme et l’Eglise. La censure est dénoncée car la liberté d’expression est revendiquée par Voltaire, garantissant que la liberté individuelle