Le Mépris Comparaison

nous remarquerons que certains personnages sont admirables par les valeurs qu’ils nous transmettent. Puis nous verrons qu’ils peuvent cependant provoquer de l’empathie et de l’apitoiement chez le lecteur, qui ensuite, vont nous mener à un certain mépris et à une déception. Enfin nous parlerons de l’évolution du jugement du lecteur. Tout d’abord, nous pouvons souligner que certains d’entre eux nous transmettent des valeurs nobles, ils tiennent le rôle de modèles suscitant l’admiration malgré

introduite par « il est donc juste que » vers 5/6 par le poète qui parle de lui au présent d’énonciation : « on ouvre son cœur » # « mon cœur ni ne… » / « on désire » # « je la désire ». B. La fragilité de l’amourStrophe 3 : comparaison de l’amour à une branche d’aubépine vers 13/14( « comme »)Opposition entre les vers 15/16 et 17/18 · « tremble », « nuit », « pluie », « gel » # « soleil », « feuilles vertes » · rythme saccadé, vers 15 court, « la nuit » détachée en début de vers

Comparaison entre Clélia et la Sanseverina Ressemblances Au niveau du milieu social : Les deux héroïnes du livre viennent d’un milieu aisé. En effet, Gina Del Dongo est issue d’une famille de nobles, elle est la sœur du marquis Del Dongo. Elle devient par la suite la comtesse Pietronera. Après sa rencontre avec le comte Mosca, elle passa un accord avec celui-ci et devint dès lors la duchesse Sanseverina. Elle héritera par après de sa fortune. Quant à Clélia Conti, elle aussi, est issue

premier temps Baudelaire crée une allegorie de la beauté , ceci est visible grace a l'utilistion du pronom personnel " je " qui introduit une personnification dans ce poéme . Cette Beauté apparait fière et méprisante en effet le champs lexical du mepris est bien present : " je hais le mouvement qui déplace les lignes " v7 , " je trône sur l'azur " v5 , " jamais je ne pleure et jamais je ne ris " v8 . Ce qui nous permet d'introduire notre thème , la femme : Baudelaire pose l'image de la Beauté

de cette société pervertie et en s'adaptant parviendra à en gravir les échelons. Cependant dans ce monde déluré, un homme, le Père Goriot, est l'emblème même du désintéressement. Il se sacrifie pour ses filles, qui en retour ne lui offrent que le mépris. Rastignac, touché par le dévouement de ce père pour ses filles et voyant comment ces dernières le traitent, comprend cependant que malgré lui il devra s'adapter aux coutumes de ces gens et agir comme eux pour parvenir au sommet. Ce livre est un

opposés Le Chêne => l’orgueil Usage de l’alexandrin quand il parle de lui v.7- 8, vers allongés encore par l’enjambement v.8-9(≠ octosyllabes réservés au roseau v.4-5-6). « mon front, au Caucase pareil » : comparaison hyperbolique. Condescendance du chêne pour le roseau. Compassion, mépris, il lui offre sa protection : « arrêter les rayons du soleil » ; « à l’abri du feuillage » ; « je vous défendrais de l’orage » => il se croit plus fort que le soleil et l’orage. Opposition renforcée par une

et un après catastrophique ( bientôt l.11) b) Lexique qui fait référence aux indiens d’Amérique dans la protase du premier paragraphe « habits de peaux » (l.1) , « plume », « coquillage » (l.2) , «  leurs arcs et leurs flèches » (l.3) … en comparaison avec l’Europe dans le reste du texte : « propriété » (l.10), « travail », « esclavage » (l.12) … et qui met en avant un aspect très péjoratif de celle-ci. c) Vocabulaire spécifique du secteur économique : « moisson » (l.12) « métallurgie et agriculture »

apôtre qui selon la tradition, a présidé l'Eglise de Rome dans laquelle il est mort martyr durant la persécution de Néron; et Jupiter est une divinité qui gouverne la terre et le ciel, c'est le Roi des Dieux. v. 5 : Au vers 5, le système de comparaison entre Jupiter la divinité et le Pape se met en place. C'est d'abord la divinité qui est citée, ce que l'on comprend grâce au mot "Olympe" dans le second hémistiche, qui est traditionnellement le domaine des dieux dans la mythologie grecque. Sa 1ère

mots à la rime « contraires », « impies », végètent ».   à Trois situations négatives, des circonstances peu favorables : · St.1 : imprécision, tps troublés : « les haines et les scandales / Tourmentent le peuple agité ! » v.6-7 · St.2 : incroyance, mépris (« impies » v.11, « insulte » v.18) · St.3 : stagnation, absence de progrès (« On le raille » v.25, «  Ce que la foule n'entend pas » v.27, « ses contempteurs frivoles » v.28, « maint faux sage » v.29)   à Trois tableaux de sociétés en difficulté

leur amour était basé sur leur différence culturelle et sociale et cela profitait surtout au narrateur en effet, cette phrase à la p.47 « Elle m’attend encore … Qui l’aurait épousée (Sylvie) ? Elle est si pauvre ! » nous indique qu’il a presque du mépris et qu’il la considère comme un acquis et jamais il n’aurait pensé que la littérature puisse la lui prendre comme cela … Le parc est d’autant plus important pour le narrateur car il espère peut être trouver à l’intérieur la solution pour réparer son