Le Mépris Comparaison

abomine, ou d'injures basses et intéressées. Sans souci de la honte qu'on lui inflige, du tort à jamais qu'on lui fait. Cette constante humiliation, qui la mériterait ? Cette atroce persévérance !Boue si méprisée, je t'aime. Je t'aime à raison du mépris où l'on te tient.De mon écrit, boue au sens propre, jaillis à la face de tes détracteurs2 !Tu es si belle, après l'orage qui te fonde, avec tes ailes bleues !Quand, plus que les lointains, le prochain devient sombre et qu'après un long temps de songerie

fidélité est tourné en ridicule dans les phrases à valeur de maximes(de proverbes)(l.48) « la constance n’est bonne que pour des ridicules », l’antiphrase ironique (l.43-44) « La belle chose de vouloir de piquer d’un faux honneur d’être fidèle »révèle le mépris e DJ pour les valeurs bourgeoises. La fidélité apparait à DJ comme un emprisonnement qui élimine toutes les autres possibilités de conquêtes. DJ ne supporte pas d’être définitivement lié à une femme d’où le rejet du reproche de Sg. quant à sa femme

Tous les matins du monde de Pascal Quiniard, Frenhaufer se révèlant ressembler a monsieur de Sainte-Colombe mar sa maestra dans son art couplée a un mépris pour l'art de cour, faisant la distinction entre le véritable art et celui fait pour d'autres. On observera la subtilité de cette citation provenant de Tous les matins du monde exprimant ce mépris "Vous faites de la musique mais vous n'êtes pas musicien.". Cette distinction fermement établie, on peut se pencher sur le reste de son propos. Il soulève

Allemagne), esprit de sacrifice, mépris du faible, obéissance absolue au chef. L'encadrement de la jeunesse est une des priorités absolues des régimes totalitaires : "Ballilas" en Italie, "Hitler jugend" en Allemagne, "Komsomols" en URSS. Plus malléables, enfants et adolescents seront les "hommes nouveaux" programmés par l'idéologie. Les principes à leur inculquer sont les mêmes : sens de la communauté nationale (ou raciale en Allemagne), esprit de sacrifice, mépris du faible, obéissance absolue

lorsqu’il s’exprime. Référence à sa supériorité sociale « titre de roi », mais Le Lion insulte grossièrement plus faible que lui avec « excrément de la terre », il apparaît donc comme un animal méprisant, allitération en « t » qui soulignent le mépris (v.1) Il est craint et respecté et sa puissance est connue de tous se qui nous est montrer au v. 16 avec « Il rugit, on se cache, on tremble à l’environ ». Sa colère est particulièrement soulignée par le lexique v.15 : « le quadrupède écume, son

entre les deux béquilles ressemble à une « cloche entre ses portants ». Personne ne s’adresse correctement à lui. Les paysans et paysannes l’injurient en criant. Ils le dévalorise en l’appelant « manant » et « fainéant ». Les paysans éprouvent un « mépris indifférent » et une « hostilité résignée » envers lui. Le Gueux est confronté aux « injures » et « aux regards soupçonneux ». Lui, il ne parle jamais. Sa seule réaction est de s’en aller sans rien répondre. Le Gueux est complètement seul et isolé ;

du sing. et des verbes d’autorité l.13, l.22, l.23, l.34 -D’où la revendication du strict statut de militaire Mokutu inscrit son action dans une opposition entre « politiciens » l.13, l.22 et militaires l.12-13 Terme péjoratif « politicien »= mépris de Mokutu pour le jeu politique Appartenance à l’armée=gage d’ « honnêteté » et d’efficacité. Caricature de son statut l.32 afin d’écarter tout soupçons d’ambitions personnelles Caractère péremptoire l.32 et l.107-108 montre la fermeté de Mokutu

MUSSET COM. LIT.GODARD Luc 1.5 Commentaire Littéraire - On ne badine pas avec l’amour, II, 5 (Musset) Alfred de Musset est un poète, dramaturge et écrivain français appartenant au romantisme (mouvement se déroulant de la fin du XVIIIe s. au milieu du XIXe.). La scène que nous allons étudier se trouve dans sa pièce de théâtre « On ne badine pas avec l’amour  ». Elle est composée de trois actes et est écrite sous le genre du Proverbe lorsque Musset n’avait que 24 ans. Elle est publiée en 1834

d'un élève, l'auteur élabore ce qui pour lui est l'idéal humain. Ensuite, à partir d'une véritable rencontre qu'il a fait à Rouen, Montaigne compare le monde européen des Portugais, avec le nouveau monde, celui des indiens. L'auteur établit une comparaison entre les rites guerriers : il met en évidence le fait que les Indiens tuent puis mangent leurs ennemis tandis que les Européens les torturent avant de les tuer les maximes : 1. Les thèmes et le système" Quoiqu’il n’y ait presque qu’une

de ses proches, dont La Bruyère a dû terriblement souffert. Nul, dans sa situation, ne s’en serait sorti indemne. À propos de la moquerie, La Bruyère propose une maxime touchante : « elle est celle qui se pardonne le moins ; elle est le langage du mépris, et l’une des manières dont il se fait le mieux entendre ; elle attaque l’homme dans son dernier retranchement, qui est l’opinion qu’il a de lui-même ; elle veut le rendre ridicule à ses propres yeux, et ainsi elle le convainc de la plus mauvaise