Le Non Conformisme

la cohésion est forte. Plus la cohésion est fort plus le sentiment de sécurité est important ; Très forte cohésion peut affaiblir la pensée du groupe. II L'influence Sociale A) Le conformisme Influence = Modification de comportement et d'attitude qui intervient dans une relation à l'autre. Conformisme = Modification de croyance ou de comportement par laquelle un individu répond à divers type de pression d'un groupe en cherchant à se mettre en accord avec les normes ambientes par l'adoption

considéré En général ce sont les lois explicites / implicites qui définissent notre comportement La norme sociale est une échelle de référence prescrivant la façon dont les sujets doivent percevoir, penser, sentir ou encore agir  Non fixes et non figées  Dépendantes du groupe social, de la culture ou de l’histoire  Pas innée, s’impose par transmission sociale La normalisation correspond à la formation des normes dans les groupes  La normalisation dans les situations d’ignorance

|Auteur de la fiche lecture : |Mots-clés : groupe – écoute active – dynamique de groupe – | |Annick Monnier |conformisme – leadership – | |Académie : Versailles | | |Relecteur(s) : Maguy PEREA |

copains => le lien social rend le travail supportable  contrôle et apprentissage => pression sociale sur les individus  exutoire  adaptation Les aspects négatifs :  la baisse de productivité parfois  rumeur  conflits  résistance  conformisme : forte pression de la part du groupe donc les individus sont très conformes par rapport au groupe => lieux de résistance aux changements Le groupe secondaire c’est l’équipe de travail = le groupe créé par l’entreprise pour réaliser une partie

livrent les différentes fractions de la classe politique (pour les suffrages) et les différents médias (pour l’audience), « l’opinion publique » serait une création destinée à légitimer et à imposer des choix a priori  L’individu serait bien victime non pas d’une domination exercée par la majorité de la population mais plutôt d’une domination qui émanerait du pouvoir politique et du pouvoir médiatique qui interprètent, créent et transforment à leur guise cette opinion publique et conditionnent le comportement

par ses propres caractéristiques psychologiques et sociales. [pic] Le conformisme (influence majoritaire) C'est lorsqu'un individu change son comportement pour le mettre en adéquation avec le comportement d'un groupe majoritaire. Il existe trois aspects importants du conformisme qui permettent de le dissocier des autres formes d'influences sociales : - Le conformisme est un phénomène intra-groupe. - Le conformisme renvoie à une pression implicite (le groupe n'a pas une volonté explicite

représente effectivement une obligation interne qui serait donc morale mais opposée à l’obligation juridique ou une contrainte. La morale, elle, est l’ensemble des règles de conduite soumises à aucunes conditions -aussi bien pour les actions permises ou non- qui sont universellement valable. Le mot «tout» évoque la totalité sans exception alors que le mot «sans» exprime une absence, une exclusion. La justice n’est pas toujours morale. On peut être condamné Pour Kant, le devoir est une nécessité

Léon et Emma. Nous montrerons que les détails réalistes sous-tendent une satire du milieu décrit et du conformisme qui lui est rattaché. Ainsi, nous insisterons dans un premier temps sur le souci de précision décelé dans l’ensemble de l’extrait ; nous consacrerons une deuxième partie à la vie réglée du milieu social présenté. Enfin, nous nous attacherons à démontrer la critique du conformisme et de la bourgeoisie. I – Cet extrait est avant tout une description fort précise de ce que pouvait

La révolte : Nadja, André Bretton « Le surréalisme, tel que je l'envisage, déclare assez notre non-conformisme absolu ». C’est ce que dis Bretton dans son Manifeste en 1924. Pour lui, le surréalisme permet de sortir de se conformisme constant qui règne dans cette société. On le voit d’ailleurs très bien dans son roman surréaliste, Nadja. Bretton va se révolter contre diverses institutions. André Bretton dit de la littérature réaliste qu’ « elle est faite de médiocrité, de haine et de plate

principale Browning veut montrer que si ces hommes ont souscrit au massacre de masse, ce n’est pas par idéologie, par fanatisme, ni par antisémitisme viscéral. L’origine est plutôt à rechercher dans la docilité, la soumission à l’autorité, le conformisme de groupe, ou encore le contexte de brutalité ambiante. Ainsi il ne fait pas de la Shoah un évènement unique dans l’Histoire, je veux dire par là qu’il n’exclut pas que des groupes sociaux, pour les divers facteurs exposés ci-dessus, ne basculent