Le Pain Sens Maconnique

Les loges de Saint Jean Dans les rituels maçonnique, il est écrit : - « Comment s’appelle votre loge ? - La loge de Saint Jean, T( V( » En effet, Les loges dites bleues sont également appelées « Loges de Saint Jean » La tradition maçonnique impose un à deux banquets d’Ordre par an, aux solstices célébrant la Saint Jean d’été et la Saint Jean d’hiver. Pourquoi ? Pourquoi St Jean ? Pour tenter de répondre, en partie du moins, à cette question, nous allons nous appuyer sur des sources

s'il rappelle à 5 reprises l'équerre de la rectitude morale, est pour moi, principalement l'illustration de cette germination. La troisième est que la musette du compagnon compte cinq outils supplémentaires. Et que l'utilisation de ses 5 sens, la contemplation de la beauté, la familiarisation avec les arts libéraux vont l'aider à mieux appréhender le monde qui l'entoure et à en tirer les leçons pour améliorer le travail et le polissage de sa pierre, afin de mieux l'intégrer dans l'édifice

SCHIBBOLETH Les significations du mot sont tressées avec sa fonction de mot de passe mais ce sont les sens du mot qui lui donnent sa pleine activité. Dans le récit biblique à la fin du conflit entre les tribus Galaad et Ephraim ,les vainqueurs (ceux de Galaad) demandaient aux vaincus, qui voulaient traverser le Jourdain ,pour rentrer chez eux: "Prononce donc Schibboleth!" Or les Ephraimites connaissaient le mot mais étaient dans l'incapacité de prononcer le « schi » et disait « shi »

se choisit pas. Les problèmes écologiques le montrent éloquemment : dans l’écosystème, tout est lié à tout. Par extension, le mot « solidarité » s’applique à l’attitude responsable consistant à aider les personnes qui en ont le plus besoin. Les deux sens sont liés : le second suppose le premier. Le souci d’aider les plus démunis et les exclus de la société repose sur la conscience d’un lien réel fort, fondé dans l’humanité et dans la citoyenneté comme ne peut être absolument étranger à un autre homme

Histoire des Agapes et des Banquets maçonniques Parmi les originalités des rituels maçonniques, une des plus singulières est l’importance – en tout cas dans le passé – accordée aux Travaux de Table, aux Banquets ou aux Agapes. En effet, les travaux associés, comme le dit un rituel, à la « Mastication » ont toujours été associés à la tradition des loges. Par ailleurs, ils attestent de l’extraordinaire plasticité des rituels. Alors, la seule ambition de mes propos est de vous apporter quelques

changement d’état, nous sommes donc, mes Frères, des alchimistes en puissance. Mais contrairement à la chimie ou il suffit de reproduire dans les mêmes proportions et mêmes conditions pour avoir le même résultat, l’alchimie comme le travail maçonnique est propre à chacun. Même si l’initié devenu apprenti a reçu tous les éléments, symboles et savoir, le résultat de sa quête sera propre à chacune de ses expériences vécues, et chaque alchimiste, chaque F.M. y trouvera se qu’il cherche selon le

attentivement ce décor et ces objets, dont la signification m’échappe en grande partie. Le souffre, le sel et le mercure se rapportent à l’Alchimie et me soufflent que je dois ce soir opérer sur moi-même une transmutation pour passer du Profane à l’Initié. Le pain et l’eau me renvoient aux provisions dont les anciens Egyptiens munissaient leurs morts pour leur voyage vers l’au-delà. J’ai par contre du mal à comprendre pourquoi le coq voisine avec le crâne, la faux et le sablier, c’est à dire la Mort vers laquelle

qui me semblait être les conditions nécessaires et indispensables pour prétendre à l’initiation maçonnique. Ce soir, j’aimerai vous entretenir des compagnons par le biais de cette planche qui pourrait s’appeler : “pré mentalité du compagnon”. Aussi étrange que cela puisse paraître, l’origine du mot compagnon est tirée de Compagnie-sodalitas – gens qui boivent et mangent ensemble, gens qui partagent le pain et le vin. J’en déduis facilement que le compagnon seul n’est rien, comme n’est rien un convive

remonter le temps pour vous livrer le cheminement et les réflexions qui m’ont amené à venir frapper récemment à la porte de cette Respectable Loge. Il y a une dizaine d’années, un collègue de travail m’a abordé et interpellé sur les valeurs humaines, le sens du partage, et sur bien d’autres repères et valeurs de vie. Lors de cet échange « discret », il m’a confié avoir observé mon comportement au quotidien, ma relation avec autrui, quels étaient mes repères de vie, etc... C’est au cours de cette discussion

réflexion est en premier lieu et au sens propre du terme, une petite pièce permettant d’arrêter sa pensée sur quelque chose pour l’examiner en détail. Mais ce réduit est avant tout un endroit  d’isolement, de recueillement, un sas, ou le profane doit philosophiquement mourir. Lorsque je suis rentré dans cet endroit, nonobstant qu’il y faisait froid, l’ambiance était particulière, une ambiance de mort ! Posés sur la table, plusieurs objets : I.      Du pain et de l’eau II.     Du soufre, du