Le Paradigme Classique

productive s’appuyant sur un paradigme (= représentation du monde, manière de voir les choses, modèle cohérent de vision du monde qui repose sur une base définie qui peut être un modèle théorique ou un courant de pensée) accepté par un groupe de la communauté scientifique, * La science révolutionnaire (terme utilisé par Kuhn), remplacement d’un cadre par un autre à la suite de réfutations répétées et de découvertes croissantes d’anomalies. Exemples de paradigmes : * Géocentrisme de Ptolémée

Les keynésiens : une grande famille? 1ère partie Quand les « keynésiens » sont évoqués au grand public, c’est le plus souvent pour les opposer aux libéraux, fréquemment aux néoclassiques et plus rarement aux classiques. Cette classification, généralement employée pour défendre un point de vue idéologique, est appauvrissante. Avertissement : si je vais devoir faire référence à des travaux attribuables à des auteurs d’obédience keynésienne (finalement plus que ce que je ne l’imaginais au début),

il était orienté plus vers une vision technique des choses, avec notamment le développement d’équations, comme cela a été le cas dans son travail avec Lucas à propos de la théorie keynésienne. Cependant, malgré qu’il soit un économiste néo-classique, Lucas ne s’empêchait pas de communiquer avec des néokeynésiens, tout en restant pour autant critique envers eux. A propos de sa recherche Le travail de Lucas s’est axé au début dans l’élaboration de modèles simples d’offre et de demande, formalisant

expérimentale, de la neuropsychologie, de la neurophysiologie et des neurosciences cognitives relatives à cette question ont permis d’émettre l’hypothèse d’une spécificité des systèmes de traitement et de reconnaissance des visages. Le modèle classique rendant compte des différents processus qui aboutissent à la dénomination d’un visage est celui de Bruce & Young (1986), modèle dont l’architecture est proche de celle des modèles structuraux de reconnaissance d’objet. Il s’agit d’un modèle qui repose

Le paradigme de complexité rédigé par Edgar Morin est un chapitre extrait d’un livre intitulé « introduction à la pensée complexe », Paris, Edition de seuil, 2005.Ce texte présente la question de la complexité qui est parfois présente dans la vie quotidienne. Alors qu’au début du XX siècle la science délimite l’individuel du singulier, le roman présente les êtres singuliers dans leur contexte et dans leur temps. C’est ainsi que la vie quotidienne présente les rôles sociaux des individus tout en

Chapitre 2 : Quelques repères d’histoire de la pensée économique Paradigmes : croyance, tout n’est pas vrai, mais il faut y croire On va voir aujourd’hui les essentiels paradigmes, on va les illustrer sur la différence de la valeur, qu'est-ce que la valeur ? Et que doit faire l’état ? Les grandes croyances • Les libéraux : classique et néoclassique • Interventionnistes : les keynésiens • Les marxistes Question essentielle : Comment ils considèrent la valeur et que doit

« Dedans -Dehors » 2. Représentations de l’entreprise et définitions des rôles des acteurs. 3. B. Les approches théoriques de l’entreprise (ci - après). - Les auteurs de la pensée classique : domination de la pensée rationnelle - Les auteurs de la théorie des organisations : l’École des relations humaines - Les auteurs de la théorie systémique de l’entreprise et les développements actuels --------

l’on à des ouvriers qualifiés) Tradition -mœurs, coutumes codes, « conseil des sages » Bureaucratie -Règles, procédures impersonnalités du pourvoir, définition des faits : formalisation générale. Les dimensions de l’organisation chez les classiques. -pourquoi rationalité substantielle : Déf : Une façon de faire et pas une autre (si ca marche pas c’est la manière de faire qui est pas bonne) -3 façons de construire la théorie des organisations: => Modernes -rationalité limitée -contingence

....................................... 56 3.2.1. 3.2.2. PARTIE 2 : Les démarches et méthodologies d’évaluations ................................. 59 1. Fondements théoriques : paradigmes d’évaluation .................................................................. 60 1.2. Paradigme de la science classique .................................................................................... 62 Perception du phénomène à évaluer et de la réalité ............................................

sciences économiques Université de Montréal Il est inutile de rappeler à Roger Dehem, auteur d'une Histoire de la pensée économique parue chez Dunod en 1984, que le développement et la croissance furent une préoccupation centrale des économistes classiques. Lorsqu'Adam Smith, dans sa Richesse des nations de 1776, considère la rente comme le revenu obtenu de la propriété des ressources naturelles en général, et non pas seulement agricoles, il pose un jalon essentiel de cette «théorie» dite du développement