Le Paradis perdu

peur et que cette peur est violente car elle se manifeste physiquement avec le froncement des tempes. C’est une réaction que tout monde a quand on a peur : c’est donc naturel. En outre cette peur le conduit à frôler la folie. La citation « je me vis perdu, allant à l’aventure dans cette brume » prouve bien que le narrateur n’est plus lui-même, il devient une autre personne. Il se croit un aventurier partant à l’aventure. Sa situation ne lui fait plus peur. Il est puissant. Celui-ci pense même à se sauver

» insiste sur la facilité de Picasso (« comme il passe partout »). // Sur une assiette bien ronde en porcelaine réelle une pomme pose // Face à face avec elle un peintre de la réalité // Et la pomme en tournant évoque le pommier le Paradis terrestre et Ève et puis Adam //C‘est alors que Picasso qui passait par là comme il passe partout // Quelle idée de peindre une pomme dit Picasso majuscules Les rares majuscules employées permettent, malgré l’absence de strophes, de

« croire encore » → doute sarcasme contre lui-même « espoir cruelle » → il part mais il est perdu Vers11 : « un ennui » l'auteur s’ennuie donc synecdoque et allégorie il se résume à son mal être. Vers 13 à 15 : Voyage à haut risque L'appréhension : « et » faute de français → anacoluthe. Adversatif et à travers l'adverbe « peut-être ». Rêve utopique : « fertile îlot » rêve de perfection, paradis terrestre imaginaire. Aventure dangereuse ou périlleuse (vers 13 et 14) : graduation orage

obligations. Ces banques provoquent donc une chute brutale des valeurs boursières. Par conséquent les ménages sont de plus en plus timides à investir sur le marché financier. Ils ont vu leur pourvoir d’achat diminuer à grande vitesse (bourse française a perdu 60% en un an). Donc la consommation des ménages est en régression, les entreprises investissent de moins en moins et deviennent de plus en plus fragile. Ce qui ne favorise pas la croissance du pays. II- La propagation de la crise par la trialisation

« elle éveille parfois, dans un aune qui dort ». On peut observer du vers 10 au vers 13 que la nature a un comportement maternel avec la jeune femme. En effet, la nature la « bercés »V10 comme si c'était un enfant, « pleurent »V11 comme si elle avait perdu un être cher et « s'inclinent »V12 comme pour la consoler. Mais il y a un contraste entre la jeune femme et la nature. En effet, la nature est noire, sombre puisqu'il fait nuit alors que la jeune femme est blanche. Ce contraste de couleurs permet d'insister

seule fois et discrètement par Valentine comme le lieu de la perdition : « je repartirai pour Paris, je battrai les chemins comme je l’ai déjà fait une fois, je deviendrai certainement une fille perdue, moi qui n’ai plus de métier 2. » Pour Augustin, Paris, « c’est la ville déserte, ton amour perdu, la nuit interminable, l’été, la fièvre... » Bourges surtout est vilipendée de manière plus appuyée. Alain-Fournier en décrit les abords de la La Bibliothèque bleue, qui n’est guère connue aujourd’hui

pour créer une œuvre d’art. Selon eux, les drogues permettaient la libération de tous les dons imaginatifs perdus dans l’esprit du poète et l’opportunité d’examiner sa propre âme à la recherche de quelque chose de nouveau. Sommaire 1) Biographie 2) Les drogues 3) Les effets de la drogue sur l'organisme 4) Le club des haschischins 5) Matinée d’ivresse 6) Les paradis artificiels 7) Conclusion 8) Définitions 9) Sources de notre TPE

L’impact des préjugés nobiliaires est tel qu’il freine le progrès. La philosophie de Pangloss, optimiste et providentialiste, cautionne l’ordre social et ignore le réel. Confronté aux horreurs du monde, Candide, tel Adam chassé du paradis, cherche à retrouver le bonheur perdu, lors de son expulsion du château. Tant qu’il reste fidèle à ses modèles anciens issus de l’idéologie aristocratique, il demeure attaché à ses illusions. Une fois ces illusions abandonnées, Candide est prêt à voir le monde tel

à d’autres personnes que lui, mais, petit à petit, il va s’enhardir. Pourtant, il ne mûrit pas et garde son esprit naïf, inconscient et infantile. George Milton Son nom : Milton est une allusion directe au poète John Milton qui a écrit « Paradis Perdu ». Il est petit, vif, brun de visage, avec des yeux inquiets et perçants. Ses mains sont fortes, ses bras minces et son nez fin et osseux. L’auteur le compar à une petite fille et le décrit comme nerveux, mélancolique, brusque, malin, bavard, réaliste

empreintes, sur la neige, de l'oiseau et du lièvre ; étangs couverts de glace, ou voilés de chaude brume d'été ; assurément vous me donnâtes autant de joies que j'en pouvais contenir. Dois-je nommer mon école une école ? Non, mais une sorte de rude paradis où des anges ébouriffés cassaient du bois, le matin, pour allumer le poêle, et mangeaient, en guise de manne céleste, d'épaisses tartines de haricots rouges, cuits dans la sauce au vin, étalés sur le pain gris que pétrissaient les fermières... Point