Le Paradis perdu

12 16 20 24 28 32 Empereour et roi et conte Et duc et prince, a cui hom conte Romans divers por vous esbatre 1 De cex qui se suelent combatre Sa en arrier por sainte Eglise, Car me dites par queil servise Vos cuidiez avoir paradix. Cil le gaaignerent jadiz Dont vos oeiz ces romans lire Par la poinne, par le martyre Que li cors soffrirent sus terre. Veiz ci le tens, Diex vos vient querre, Braz estanduz, de son sanc tainz, Par quoi li fex vos iert estainc Et d’enfer et

châteaux", "extrêmement belle" en parlant de Cunégonde. Même la guerre apparaît comme magnifique, "rien n'était si beau, si leste, si brillant". Le début du roman se passe dans un château, avec des personnages nobles. On a l'impression d'être sur un paradis terrestre. Voltaire fait appel à l'imaginaire et nous fait voyager dans le monde entier à travers le personnage principal de Candide. Il s'affranchit des distances. Il est transporté d'un pays à un autre sans que cela pose aucun problème de déplacement

car celui-ci « n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l’injure du temps ». La noblesse est donc à la fois la caractéristique principale des personnages mais elle commande aussi leurs actions. La présence d’un précepteur va donc dans ce sens. On peut comprendre aussi dans cette description, une image du paradis qui sera confirmée par l’exclusion de Candide qui va embrasser “la fille interdite“. En dernier lieu, les personnages

le salut. Tout d'abord, l'Eglise attire l'attention des fidèles sur la vie éternelle car les chrétiens croient en la vie après la mort. Les "élus" pourront aller au paradis alors que les "damnés iront en enfer. L'Eglise appelle donc les croyants à éviter le mal voulu par Satan et à pratiquer de nombreux rites pour gagner le paradis. Ainsi le chrétien doit sans cesse s'améliorer, essayer d'éliminer ses défauts et résister à la tentation orchestrée par le diable ou les démons. Il doit recevoir les

adultes voyeurs se prennent à rêver au « vert paradis des amours enfantines3 ». Giono nous y révèle sa nostalgie de l’enfance. Mais alors que la sienne fut pauvre, il la poétise en un âge d’or prodigue. Dans Un Roi sans divertissement, le monde des adultes est froid, triste, désespérant, gangrené par le Mal. Giono, pour achever son récit, vient se ressourcer au trésor de son enfance, période bénie de joie et d’innocence, en quelque sorte, un paradis perdu.

J'avais oublié qu'un instant pouvait durer toujours lorsqu'un rayon de soleil vient frôler mon visage devant mon écran. Je m'invente des images, je crée un paradis où nul ne peut entrer, c'est comme un monde endormi où tout n'est que rêve où la douce sensation de l'irréalité réveille l'illusion de la vraie liberté. A errer comme toujours, j'ai perdu mon chemin et face à l'horizon comme face à mon destin, j'écoute dans le silence le chant de mes pensées qui me laisse bercer par une douce musique. Touché

la liberté serait donc une absurdité puisqu’elle est sans raison, au contraire de la nature où tout à une raison et est démontrable d’une façon ou d’un autre. Aliénation (alienus = étranger) : inverse même de la liberté Un aliéné est celui qui a perdu sa liberté, qui est devenu étranger à lui-même. Il est donc frappant de remarquer que si l’aliénation est le contraire même de la liberté (dans la mesure où je me sens libre quand je suis chez moi), il pourrait sembler paradoxal que la liberté soit

monte en 2006 La Grande Parade de Py, au Théâtre du Rond-Point, ensemble de 6 spectacles dont il est l'auteur et le metteur en scène : L'Eau de la vie, La Jeune Fille, le diable et le moulin, Épître aux jeunes acteurs, Les Vainqueurs, Chansons du paradis perdu et une nouvelle création : Illusions comiques. Il reprend en 2008 La Vraie Fiancée, La Jeune Fille, le diable et le moulin et L'Eau de la vie des frères Grimm, au Théâtre de l'Odéon

envie de passer à la vitesse supérieure. Excuse-moi. Est-ce que tu embrasses les inconnus ? Non ? Donc, je me présente. Est-ce que tu as un plan ? Je me suis perdu dans tes yeux. La plus belle chose qu'il soit, c'est toi. Mais la pire, c'est vivre sans toi. La première fois que je t'ai vue, j'ai cru que j'étais au paradis mais non tu es juste un ange tombé du ciel. Tu embrasses les inconnus ? Non. Ok bah je me présente alors.

EXPÉRIENCE... C’était dans une nuit noire, alors que je marchais, que tout a commencé. Je m’étais perdue loin de mon village. J’entendais beaucoup de bruits étranges, et le noir et la peur me faisaient imaginer tant de scénarios. Et si un fou me trouvait! Je voyais déjà la scène qui se serait produite: une femme qui criait (moi) alors qu’un fou s’approchait d’elle avec un pistolet. Si elle n’obéissait pas, le pistolet tirerait... et il en serait fini de sa vie à 16 ans. Quelle