Le Paradis perdu

spécificités que sont l’exigüité, la finitude, la maritimité, l’isolement la variabilité. Autant de caractéristiques qui démontrent sa vulnérabilité ainsi que la difficulté de la définir précisément. Objet de représentations mythiques, tantot vu comme un paradis perdu, ou un lieu étrange, à part, elle est indissociable depuis plusieurs décennies du phénomène touristique. Le tourisme, que l’on peut définir comme l’activité de voyager pour son plaisir dans un lieu autre que celui ou l’on réside habituellement

tryptique » ; qui est composé d’un panneau de droite, un panneau de gauche, un panneau centrale et d’une prédelle. On trouve les tryptiques dans des églises derrière l’hôtel, son utilité est pour prier et représenter la passion du christ marie le saint du paradis. Il commence à peindre ses plus célèbres œuvres dix ans après le premier conflit (1930 ; 1940), il peint des toiles illustrants les horreurs de la guerre : (mutilations, retour des soldats blessés, champs de bataille etc.……) et enfin Dix achève

« étalée », « trébuchée ». Le plan en damier de la ville devient un ensemble de croix, de fardeaux. ->les cancrelats (« hannetons », « puniase » : son peuple rampe devant les occidentaux, accusés de porter malheur « gris-gris » ->l'image des « paradis [...] perdus » ->thème de la pourriture et maladie : métaphore d'un corps malsain, lépreux, rongé par le mal « rognée », « réduite ». La sexualité est atteinte par ce pourrissement : le soleil des Antilles est « vénérien », les îles « grêlées de petite

l’espace. Mobilisant un imaginaire religieux (« Madones », « oracle », « miracle », « saints », « âmes perdues », le poète associe la dégradation de la plaine à une déchéance morale : à travers une image où l’espace et ses éléments s’animent (au moyen d’une personnification : « tout se plaint »), il attribue la dégradation de l’espace à une perte des valeurs morales : « ainsi que des âmes perdues ». Le poète compare les éléments de l’espace à des âmes qui errent dans un cimetière sans trouver de

désir pour l'un va être besoin pour l'autre, le besoin se transforme souvent en désir. III. Le désir comme manque Désir et souffrance : Aristophane : le Banquet Mythe de l'âge d'or perdu, le désir comme expression d'un « paradis perdu » Le désir naît d'une nostalgie, il est recherche d'un objet perdu. Le désir est moteur de l'existence : il faut combler le désir pour procéder à des tâches civilisationnelles. La réunion des hommes permet l'apaisement et la survie. Le désir est

n’est alors que le reflet de nos qualité, de nos sentiments sous formes idéalisée. L’imperfection de l’homme, source de malheurs ne repend par contrastes la perfection divine. Mais les religions ne sont pas seulement synonymes d’un Olympe, d’un Paradis, d’un Walhalla, d’un Nirvana ou d’une quelconque destination ésotérique. Mais c’est à travers l’évocation d’un monde supérieur, d’un ordre transcendant que l’homme arrive à se situer dans le monde et à organiser son espace. La religion est alors

qu'il favoriserait une coexistence pacifique, mais aussi bon en soi, c'est-à-dire juste, en tant qu'il respecterait la dignité et la liberté proprement humaines. Tel est l'examen que nous nous proposons de mener. I. Les sociétés sans État : un paradis perdu ? L'État, c'est d'abord pour les sujets que nous sommes cette organisation de la vie commune qui, sur un territoire donné, institue des lois ainsi qu'un appareil administratif et judiciaire pour permettre une cohabitation harmonieuse de chacun

fils de la soeur de monsieur le baron et d’un bon et honnête gentilhomme du voisinage, que cette demoiselle ne voulut jamais épouser parce qu’il n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers, et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l’injure du temps. Monsieur le baron était un des plus puissants seigneurs de la Westphalie, car son château avait une porte et des fenêtres. Sa grande salle même était ornée d’une tapisserie. Tous les chiens de ses basses-cours composaient une

successeurs « le vrai Dieu » par Rimbaud, « le premier surréaliste » par Breton ou encore « le plus important des poètes » par Valéry. PRINCIPALES ŒUVRES : _La fanfarlo (1847)_ Exposition universelle (1855) Les fleurs du mal (1857) Les paradis artificiels (1860) Le peintre de la vie moderne (1863) Mon cœur mis à nu (1864) L’art_ romantique (1869)_ PRESENTATION DE L’OEUVRE Courant littéraire et culturel: Le contexte culturel est constitué des Parnassiens, c’est un groupe

l'expérience universelle. TABLEAUX PARISIENS :tentative et échec de la communion humaine,inspiration sociale et trésors de charité ds le cadre de la ville mais échec.eevoque sentiment moderne de solitude ds l'illusoire communauté urbaine. LE VIN: "paradis artificiel" selon RUFF ds l'édition de 1861 le vin est un des "efforts désordonnés et condamnables de l'homme pour échapper aux exigences de sa condition"  FLEURS DU MAL :  "jeux d'un artiste se plaisant à pousser jusqu'à l'exces les audaces d'un certain