Le Positivisme Formaliste

du déterminisme et du volontarisme ont-elles marqué  toute l'évolution de la discipline durant les XIXe et XXe siècles, du romantisme populiste de Herder et Schlegel à l'école « réaliste » russe de N. Bielinski, en passant par Mme de Staël et le positivisme de V. Cousin et H. Taine.     En outre, cette même période s'est trouvée déchirée par l'antagonisme philosophique, propre aux sociétés libérales, entre l'affirmation de l'individu et de son autonomie indispensable et les risques de destruction

langage juridique et le langage juridique scientifique. Le langage proprement juridique exprime des sensations. Le positivisme et le jusnaturalisme. Positivisme : les deux différents droits doivent être séparés, sans les juger. C’est une activité de connaissance. Jusnaturalisme : le savant de droit peut connaître mais aussi évaluer et dire ce que le droit devrait être. Le positivisme a des inconvénients, il est cynique, trop réaliste voir fataliste. Il est complice de la barbarie et peut même la légitimer

jurisconsultes, à ces admirables stoïciens exprimant en un si beau langage ces principes d'équité qui ont mérité le nom de raison civile de tous les peuples. Mais combien ces belles théories étaient-elles emprisonnées dans une législation capricieuse, formaliste, étroitement ridicule et basée sur le système de la plus égoïste personnalité, c'est-à-dire sur l'esprit le plus opposé à celui du christianisme qui est un esprit de fraternité universelle »; ÉDOUARD LABOULAYE, Histoire de la propriété foncière

droit, droit anthropologique… pousse à s’interroger. * Approche positiviste Le juriste étudie objectivement (scientifiquement) et exclusivement les règles émanant des autorités publiques habilitées selon ce que la constitut prévoit. Pr le positivisme le Dt : ens des règles obligatoires dont l’inexécution est sanctionnée. Ces règles sont 1 construction, elles sont choisies, imaginés par l’autorité habilitée. Cette autorité pose 1 règle et l’assortie d’1 sanction en cas de violation. Selon cette

Section 3 De la scolastique au thomisme 29 §1. Le naturalisme scolastique 29 §2. Thomas d’Aquin 30 §3. Les doctrines volontaristes des XIVeme et XVeme siècles 32 Chapitre 3 Les écoles modernes du droit naturel et la genèse du positivisme juridique 35 Section 1 La pensée juridique au « Grand Siècle » : raison, morale et liberté 35 §1. Matrice commune et variantes à l’anglaise 35 §2. L’Etat de Nature et nature de l’Etat- l’école moderne du droit naturel 38 Section

notarial » (Art. 1317). C'est l'acte qui a été reçu par un officier public (ex: notaire, huissier, officier de l'état civil) dans le seul lieu d'exercice et avec les solennités requises (précisions dans la loi). Le non-respect des formalités dans un acte formaliste est sa nullité ou l'inoposabilité au tiers. Section 2: Les faits juridiques: Le fait juridique est tout ce qui n'est pas un acte juridique. Cependant, dans certains cas la « frontière » entre actes et faits en ambigüe. C'est le cas du « quasi-contrat »

contenu = un modèle, des fondations. La compréhension de la littérature : la forme de l’expression A partir du milieu du XVIIIe, littérature = usage esthétique du langage écrit  déf formaliste de la littérature comme utilisation singulière du langage, bien coupée de l’utilisation commune. Les formalistes ont posé comme critère de littéralité (appartenance à la littérature) la défamiliarisation ou l’étrangeté = la littérature renouvelle la sensibilité linguistique des lecteurs par des procédés

de Sainte-Beuve, ses adeptes et ses adversaires I.1.6. La critique historique d’Hippolyte Taine La Nouvelle critique et ses trois courants principaux : I.1.7. Le courant d’inspiration freudienne I.1.8. Le courant d’inspiration structuraliste et formaliste I.1.9 le courant d’obédience marxiste II/ TENDANCES ACTUELLES OU NOUVEAUX CHAMPS DE LA CRITIQUE LITTERAIRE II.2.1. les post-structuralismes II.2.2. les autres tendances III/ LES ENJEUX DE LA CRITIQUE LITTERAIRE III.3.1 Sur le plan littéraire III

légitimité de l’ordre juridique ? Cette question renvoie à plusieurs problématiques, Le droit est-il d’origine divine ? Le droit doit-il être fondé sur la nature humaine ou plutôt sur un contrat passé entre les membres de la collectivité ? Le positivisme dit que l’origine du droit ne doit pas être abordé par les juristes ceux-ci doit juste s’intéresser aux différentes lois. Elles furent abordées en philosophie du droit mais aussi en histoire du droit. Rapport entre le droit et la religion est la

radicalement différentes, et renvoient à des pensées complètement différentes de la littérature. Ainsi, comme on le verra, Woolf conteste le modèle réaliste au nom de « life itself » -le cœur de la vie, qu’il faut saisir-, tandis que les attaques formalistes de Pour un nouveau roman s’efforcent d’expulser toute trace d’humanisme et d’illusion vitaliste de la prose narrative. De ce point de vue là, la sorte d’alliance objective entre Robbe-Grillet et les grands modernistes (Woolf, Faulkner, Joyce, Kafka)