Le Positivisme Formaliste

son obsession « d’héritage ». À travers la haine viscérale, de l’étranger de l’étrangeté, de l’altérité, de l’umheilich. À travers le fétichisme (écrivons-le plus lisiblement : foetichisme) que R.B. a contribué plus que tout autre, plus qu’aucun formaliste, à éclairer, à tourner. Le petit-bourgeois, à qui R.B. a infligé une blessure narcissique sévère, c’est avant tout le foetichiste, l’envers matriarqué du patriarcat, le dévot, le conformiste, le gentil pervers, défenseur, comme dit Lacan, de « la

technique moderne dans tous les domaines de la vie. Avec la technologisation, tout devient techniquement possible. Cette partie se terminera par une analyse qui consiste à montrer que la rationalité technologique répond aux caractéristiques du positivisme, du pragmatisme et du capitalisme. De plus, nous ne manquerons pas de montrer que la productivité qui consiste à rechercher plus d’efficacité est caractéristique de la rationalité technologique. Enfin, nous arrivons au dernier point de notre parcours

n’hésitent pas à reporter l’annulation dans le futur. Alors qu’en légalité pure, si on se reportait à la pure légalité formaliste (1e étape), l’illégalité remonte au jour du vice donc il faudrait annuler l’acte depuis ce jour-là. C. Récursif Ns ramène à l’image de la boucle, du cercle, du va-et-vient, de l’aller-retour. Cette thèse s’oppose d’une part au positivisme classique (Kelsen) pour lequel la validité est unidirectionnel, pour lequel la validité emprunte un chemin ascendant (de

en avant sa théorie de l'inconscient Ex : La science des rêves ( 1902 ) --> Nouveau modele politique : Marxisme , Anarchisme --> il se developpe avec l'anarchie de la pensée russe. --> Penseur qui souhaite le retour à la monarchie --> Esprit positivisme, qui a foi en la science, est critiqué Léon Bloy, Huysmans, Claudel --> Foi en la science , forme de misticisme Ex : Les 3 villes , Les Evangiles de Zola --> Ere médiatique : les historiens la date de 1836. Mais dans cette période ( 1870 - 1914

juridique : elle est immanente, elle sanctionne des comportements extérieurs, visibles (meurtres, vols..). C)Qu'est ce qu'une norme constitutionnelle ? Une norme constitutionnelle : pourquoi obéit-on à cette constitution ? D'après les formalistes : il n'y a rien au dessus, c'est un projet. Toute société dans laquelle les droits ne sont pas garantit et les pouvoirs ne sont pas séparer n’a point de constitution. Cependant, la constitution n’est pas supérieure à la déclaration des droits

la DDHC et sur la D universelle des droits de l'homme. Le positivisme : il n'y a de droit que posé par des homme, même un coutume suppose d'être constaté par un juge. ces auteurs qui défende l'artificialité du droit. Même dans le pire des cas il y aurait tjrs un droit meilleur. Certains ont dit que ces théorie auraient permis de justifier n'importe quel droit : tout les droit deviendrait légitime. Mais c'est une erreurs : car le positivisme se pose sur le droit et non la justice, il y a des lois injuste

développe : * Sociologie, anthropologie, ethnologie, psychanalyse (grande remise en question) Structuralisme : structure de texte, organisation ; ex : structure de toutes les œuvres Racine : A a tout pouvoir sur B A aime B, qui ne l’aime pas Formaliste : on s’intéresse à la forme Mouvement L’Oulipo (l’ouvroir de littérature potentielle) Les oulipiens partent du principe que toute poétique obéit à des règles qui n’entravent pas la création mais la stimulent. On obtient ainsi une littérature « potentielle »

A – Le courant idéaliste 1 – La philosophie grecque 2 – Le droit romain 3 – La philosophie chrétienne 4 – Le droit naturel moderne B – Le courant positiviste 1 – Le positivisme légaliste et normativiste 2 – le positivisme sociologique II – L’impact des courants de pensée sur le droit positif sénégalais A – L’influence du positivisme juridique B – L’influence de l’idéalisme juridique Section II – Les sources de la règle de droit I – La classification des sources du droit A – Les sources supra nationales

question c’est déjà en partie y répondre. Il nous semble que l’on peut retenir trois de ses idées principales pour les repenser au sein du monde contemporain : celle de placer le droit avant la communauté, celle de sortir du fameux « cul de sac » d’un positivisme trop strict et enfin l’idée de faire de l’individu, et non de l’Etat souverain, le but de la communauté et le bénéficiaire ultime du droit international. Tous ces jalons posés par H. Lauterpacht en 1937 imprègnent de toute façon notre compréhension

au rang d'occasions). En pensant à l'évolution ultérieure (la substitution des lois aux causes, et ce qui s'ensuit), on pourrait dire que l'ontologie discontinuiste d'Ockham (les individus séparés dans l'étendue) est indirectement à l'origine du positivisme et de l'expérimentalisme. Au défaut de communication directe entre les substances individuelles, les systèmes classiques (Spinoza, Leibniz, Malebranche, Berkeley) suppléent par la communication commune de ces substances avec une cause unique des