Le Pouvoir Reglementaire Des Ministres

l’Etat français reste un Etat très centralisé et il entend tout gérer. Il y a un réel envahissement du droit public. L’Etat intervient partout. Face à cet interventionnisme étatique, on constate une avalanche de textes (textes législatifs, textes règlementaires). Le droit public concerne les personnes publiques, c'est-à-dire l’Etat, les collectivités territoriales et les établissements publics. Ce cours servira à mettre en valeur les spécificités de ce droit. A / Quelle est la place du droit public

Droit Constitutionnel Le Premier Ministre : chef du gouvernement "Toi c'est les jambes, moi c'est la tête". Tels sont les propos attribués à Nicolas Sarkozy à la veille de la nomination de François Fillon à Matignon. Quant à François Fillon il a lui-même affirmé en juin 2008 "Peut-être qu'un jour les esprits ayant évolué, le pays ayant changé, on pourra aller jusqu'à un vrai régime présidentiel et à ce moment-là le Premier ministre deviendra un vice-président". De Jack Lang à Edouard Balladur

pas être invoqués de la même manière. Pour entrer en vigueur, les règlements communautaires doivent être publiés au Journal officiel des Communautés européennes ; tout administré va donc pouvoir immédiatement s’en prévaloir. Leurs dispositions vont être invocables à l’appui d’un recours pour excès de pouvoir contre un acte administratif (arrêt CE 22 décembre 1978, Syndicat viticole des Hautes-Graves de Bordeaux) Concernant la question des directives communautaires, elle est beaucoup plus délicate

centralisé, toutes les décisions administratives seraient prises à Paris dans les ministères. Dans ce cadre, il n’y aurait plus d’institutions régionales, départementales, communales, ni de préfet, qui serait doté d’un pouvoir de décision. Les autorités locales n’auraient qu’un pouvoir d’informations et de sollicitation de l’autorité centrale. Un système exclusivement centralisé présente deux inconvénients majeurs : - c’est un système qui est très lourd à gérer. En effet, l’autorité centrale, qui

à une institution tel que la cour des comptes. 3) Les conceptions politiques de l’organisation administrative. a) La centralisation. La centralisation renvoie à une organisation administrative où tous les pouvoirs de décisions sont concentrés en un lieu unique. Cette centralisation politique et administrative convoque la notion de centre d’impulsion unique c'est-à-dire que les décisions publiques émanent d’une institution unique, en l’occurrence l’Etat, et

services publics administratifs (SPA) - objet économique : service publics industriel et commercial (SPIC) EX trammway ➽ administrations centrales ➙ certains services administratifs de l'Etat sont classés sous la responsabilité directe du ministre membre du gouvernement = administrations centrales ■ art 21 C° dispose que "le gouvernement dispose de l'administration et de la force armée" cad que l'administration est subordonnée au gouvernement qui lui impose sa volonté ■ donc essentiel

Objectif : concilier les pouvoirs exorbitants de l’administration avec les droits des administrés. Définition : ensemble des droits et obligations de l’administration. I/ Droit administratif et administration Définition du terme « administration » Le mot administration est polysémique. Étymologiquement, le mot administration dérive du latin «administrare» qui signifie servir. Dans le dictionnaire, le 1er sens est synonyme de gestion. Le 2ème sens : c’est la fonction qui consiste à appliquer

des problèmes de Constitutionnalité. Il indique donc le sens des texte constitutionnels(Affaires des signatures des ordonnances en 1986 avec Mitterrand). Arbitre, qui assure le fonctionnement régulier des Pouvoirs Publics ainsi que la continuité de l'Etat. Arbitrage par nomination du 1er Ministre, par son droit de dissolution. Rôle de garant : Il est garant de l'intégrité du respect des traités. Art. 15 et 16 garant de l'indépendance de l'autorité judiciaire. B/. Les attributions du PDR.

Exemple : Législateur, parlement légifère le pouvoir législatif, ça mission étant d’organiser les lois, on arrive donc à l’idée de la séparation des pouvoirs. L’institution judiciaire/L’ordre juridictionnel ( Organe étatique ) est divisé en trois partis : La cour de cassation, l’administrative conseil d’Etat ( Juge les affaires de l’a. ) et le conseil constitutionnel ( Contrôle la conformité des lois en fonction de la constitution ). L’A. a un énorme pouvoir, leur mission en son soumis à un droit spécifique

Droit administratif cour n°2 : §2) Les fonctions du pouvoir exécutif : Toutes les attributions n’expriment pas une seule fonction, pour la raison principale qui est que tout les actes pris par des organes exécutifs soumis en cas de litige à la compétence législative. De même les actes pris par le chef de l’état, recours au référendum, les actes de la diplomatie, conclure un traité internationale, tous ces actes ne sont pas des actes administratifs. Le juge administratif est incompétent car