Le Principe De Catholicité

prérogatives royales puisqu’il a déjà reçu l’onction du sacre. Jusqu’à la fin du 12e siècle, tous les rois font ainsi sacrer de leur vivant leur fils, jusqu’à Philippe Auguste4, qui juge inutile d’en faire autant à l’égard de son fils unique puisque le principe électif a désormais tout à fait cédé la place à l’hérédité. (L’electio subsiste pour la forme, lorsque l’archevêque de Reims « élit » le roi durant la cérémonie du sacre). 2. Aînesse ou primogéniture 4 Lequel accède au trône en 1185, le… 14 juillet

dire qu'il existait des normes constitutionnelles sous l'Ancien Régime (docs. 1 à 5) ? Quels étaient leur titre et leur forme juridique ? Vous en dresserez une liste, en essayant de les classer par thématique (pouvoir royal, pouvoir judiciaire, principes de législation, droit pénal, etc .). Le pouvoir royal, en réalité, était-il aussi « absolu » qu'on le dit généralement (docs. 3, 4 et 16) ? Nous pouvons affirmer que durant

droit est un droit exclusivement oral formé d usage propre aux groupes familiaux. La tradition ajoute à ces coutumes un certain nombre de loi attribuée au premier roi de Rome ( comme Romulus ). En réalité ces lois sont plus certainement des anciens principes coutumiers qui concernent la religion et la disciple familiale et qui ont été, à l’époque républicaine, qualifiés de lois. b) Un droit secret Parce que le droit est dit par les D, c’est donc aux autorités religieuses qu’il appartient de révéler

la monarchie de droit divin" 















































 En réalité cet absolutisme royal rencontre des limites représentées par les lois fondamentales du royaume qui sont au nombre de 5 : lois de masculinité, de catholicité, d’instantanéité de la succession, d’indisponibilité de la couronne, et d’inaliénabilité du royaume. Le caractère sacré de la personne royale ainsi que l’absolutisme royal vont être fortement critiqués par les Lumières au nom de la séparation des

demander dans quelle mesure le roman de Rabelais intitulé « Gargantua » peut être considéré comme une oeuvre humaniste. Pour répondre à cette question, nous allons d'abord montrer que comme les autres humanistes, Rabelais s'attaque violemment à la catholicité et notamment au clergé et au pape d'une part, puis aux théologiens d'autre part. Puis nous démontrerons que Rabelais prône une éducation et une philosophie au sujet de la nature humaine conforme à l'idéal humaniste. Tout au long du roman

de publier en 1831 Notre-Dame de Paris dont le prodigieux succès popularise la cause des cathédrales, Hugo déclare en 1825 la guerre aux démolisseurs, ceux de la « bande noire » qui sévit alors dans le dépeçage des monuments anciens, et énonce le principe selon lequel il y a deux choses dans un édifice : son usage et sa beauté. Son usage appartient au propriétaire, sa beauté à tout le monde. C’est donc dépasser son droit que de le détruire. Convaincu que la sauvegarde de leurs grands monuments civils

participation aux affaires de l’Etat. Bien entendu, l’abus de ces juridictions  est sévèrement dénoncé par Louis XV : « je n’aurais pas d’autre réponse à faire à tant de remontrances [à cause de] leur réunion, l’indécence du style, la témérité des principes les plus erronés » l.11 à l.14 §2. En conséquence, il semble pertinent d’estimer que ce texte met en exergue les rivalités récurrentes entre les principaux acteurs politiques de l’Ancien Régime, travesties sous de fallacieux prétextes

est que l’on va éviter que le royaume tombe dans des mains étrangères (évite la transmission car la femme se marie à un étranger). • La catholicité du roi : Cette règle est apparue plus tardivement. C’est un principe qui va être posé au XVIe siècle. Jusque là, on ne se pose pas la question de savoir si le roi est catholique ou pas puisque chrétienté = catholicité. Mais au XVIe siècle apparaît les guerres de religion (rupture des Protestants avec les Catholiques). La question de la religion du roi

souveraine, c’est à moi seul qu’appartient le pvr législatif sans dépendance et sans partage ». Louis XV a régné au 18°, c’est l’arrière petit-fils de Louis XIV qui a régné lui au 17°, Louis XVI c’est le petit-fils de Louis XV. - On voit apparaître les 3 principes qui définissent l’absolutisme.§ 1 La pleine puissance du roi- Le roi n’a de compte à rendre à personne sauf à Dieu. Il n’y a pas de contrôle sur les actes du roi, pour autant on ne parle pas ici de tyrannie car cette pleine puissance s’inscrit dans

INTRODUCTIONHISTOIRE DU DROIT ET DES INSTITUTIONSL’histoire du droit correspond à l’étude du droit et des institutionsintérêts : · Apprendre que le droit doit être contextualiser, parce qu’il est toujours l’expression des principes directeurs d’une époque et d’une culture. · Comprendre le droit public actuel, le droit français est l’héritier des expériences passées· Prendre de la hauteur sur le droit et avoir un esprit critiquePortalis : « jamais vous ne saurez le code civil si vous n’apprenez que