Le Procès Eichmann

destruction/catastrophe en Hébreu 7200901892303 000 000 de morts exterminés en Pologne 003 000 000 de morts exterminés en Pologne Camps d’extermination : Auschwitz Birkenau 5187478767900 Le 20 janvier 1942 Conférence de Wannsee Procès de Eichmann : film « un spécialiste » Films : Anna Arendt : philosophe Film de Lanz Mann : Shoah 1945 Le mémorial de la Shoah à Paris créé par Klarsfeld. Film : Holocauste : téléfilm Film : le pianiste. Camps d’extermination : BELZAC-SOBIDOR-TREBLINKA-BIRKENAU-MAIDENAK

Chagrin et la Pitié sort en 1971 * Après le procès de Eichmann puis la guerre de Six Jours, les Juifs du monde entier commencent à retrouver une conscience communautaire de la catastrophe spécifique qui les a frappés et qu’on appellera après la sortie du film de Claude Lanzman « Shoah » ou « catastrophe » en hébreu. * Si certains peuvent d’inquiéter de la confusion des rôles entre les magistrats et les historiens, il est sur que les procès des années 1980 et 1990 ont été un vecteur essentiel

comment organiser le débat public. Esquisse d'une définition du politique : Hannah Arendt va nourrir une réflexion sur le totalitarisme, elle s'est exilée aux USA lorsque la montée du nazisme à débuté. C'est elle qui a couvert le procès d' EICHMANN dont elle va tirer un livre De la banalité du mal où elle explique que tout le monde peut devenir bourreau. (Qu'est ce que la politique ?(ouvrage) ) Hannah Arendt va partir d'un postulat qu'elle reprend d'un philosophe britannique : Thomas

de famille, pas de relations, pas d’argent ni métier ». b) Les conditions de la reconnaissance juive après 1961 - Le réveil d'une mémoire juive attachée à faire reconnaître la spécificité du génocide, réveil déclenché initialement par le procès Eichmann ( 1 ) qui s'est déroulé à Jérusalem en 1961. -Le terme négationnisme désigne, dans sa signification première, la négation de la réalité du génocide pratiqué par l’Allemagne nazie pendant la seconde guerre mondiale contre les Juifs, c’est à

part, la contribution propre des historiens à la transmission de cette mémoire. S’il faut choisir entre la Seconde Guerre mondiale et la guerre d’Algérie, certains recoupements pourront être fructueux, lorsqu’il s’agira d’évoquer, par exemple, le procès Papon, le rôle des « indigènes » dans la libération de la France ou le débat sur les « lois mémorielles ». Comment aborder l’histoire de la mémoire ? Henry Rousso propose de la définir comme « l’étude de l’évolution des représentations du

leurs mémoires → Les historiens collectent des témoignages, commencent à travailler pour établir des chiffres et reconnaître des responsabilités. • L'engagement pour rechercher les responsables En 1961, un des responsables de la Shoah, Adolf Eichmann, est arrêté et jugé en Israël. ( doc. 2 p.70) 111 témoins sont venus témoigner à la barre = c’est l’ère du témoin porteur d’histoire Cela montre que la mémoire et la justice peuvent être connectées et que les témoignages sont fondamentaux pour

démontre que le gouvernement de Vichy, loin d'avoir protégé les Français des nazis, ont collaboré au-delà de ce que les Allemands avaient exigé. La mémoire du génocide juif a été réactivée à partir de plusieurs événements symboliques comme le procès de Eichmann à Jérusalem, la diffusion en 1979 de la série télévisée américaine Holocauste qui relance la prise de conscience de l’ampleur du génocide. En 1990, la loi Gayssot stipule que la négation des crimes contre l'humanité est un délit. Les États-Unis

l’extermination des Juifs comme une politique du Reich. C’est pourquoi elle ne porte pas sur l’extermination massive mais bien sur les moyens à mettre en œuvre pour y parvenir. En effet, la Shoah a déjà débutée depuis plusieurs mois. Selon Adolph Eichmann, responsable de la logistique de la solution finale, onze millions de Juifs doivent être arrêtés et évacués vers l’Est pour y être exécutés. Le premier camp d’extermination est celui de Chelmno, créé dans le Wartheland au printemps 42, tandis que

en libérant les derniers prisonniers. Parallèlement, certains tentent de réhabiliter la mémoire de Vichy (brochure Pétain). A la mort de Pétain en 1951, l’Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain (ADMP) réclame la révision de son procès de 1945 (condamnation à mort commuée en prison à vie par de Gaulle) et le transfert de ses cendres à l’ossuaire de Douaumont, monument commémoratif de la bataille de Verdun. En 1954, l’historien Robert Aron publie une Histoire de Vichy dans laquelle

se faire entendre. → P 88-89 Autre forme de mémoire qui arrive à se faire entendre : les « malgré nous » → Alsaciens incorporés de force dans l'armée Allemande car Alsace-Lorraine appartient à l'Allemagne. Soldat Alsaciens condamné en 1953 au procès de Bordeaux pour le massacre du 10 juin 1944 à Oradour sur Glane. Population Alsacienne manifeste contre leur implication contre les Français. Ils se sentent abandonné par la France, donc victime de la guerre. Mais cette mobilisation des Alsaciens