Le Relativisme Moral

Est-il naïf d’être pacifiste? Philosophes Friedrich Nietzsche et Karl Otto Apel Est-il naïf d’être pacifiste? D’abord, on doit comprendre la vraie nature de l’être humain. Certains disent que l’homme a un penchant naturel pour l’agression et que la morale chrétienne affaiblit l’humain et lui fait ressentir de la culpabilité au lieu de respecter sa nature créatrice. Par contre, d’autres croient que la discussion permet de s’entendre et d’éviter la guerre. Donc, faut-il laisser agir la nature humaine

les dangers de cet "acceptation de tout appellé " relativisme culturel" et aussi que ce n'est pas toujours aussi simples et que certaines pratiques de certaines cultures peuvent amener au rejets de celles-ci et même jusqu'à la haine entre cultures appellé "éthnocentrisme" . Et enfin dans une dernière partie nous essairons de trouver des solutions pour que les différentes cultures puissent vivre ensemble sans pour autant tomber dans ce "relativisme" qui pourrait amener à l'extinction de la diversité

SUR LA MORALE D'un côté, on peut considérer que la morale est d'origine sociale et donc relative à une culture particulière. Toutefois, la morale est souvent considérée comme un instinct ou une connaissance rationnelle innée et universelle. Finalement, il existe un lien très étroit entre la liberté et la morale : l'homme peut choisir entre le bien et le mal parce qu'il est libre. Sa liberté lui confère donc une responsabilité morale indéniable. I- Une morale sociale et relative A- Une morale liée

existent. On appelle relativisme culturel l’attitude qui consiste à s’interdire de faire des jugements de valeurs sur une culture, partant du principe que les cultures sont différentes et que ces différences n'ont pas d'échelle hiérarchique mais expriment une forme d’adaptation spécifique à un milieu naturel. Or, avec un tel relativisme, il devient impossible de penser l'idée d'une humanité, puisque chaque idée que l'on pourrait envisager serait relative à une culture. Selon le relativisme, on ne pourrait

volonté *C’est un être doué de liberté possédant la capacité de s’orienter en fonction de différentes valeurs morales. C’est grâce à la culture que l’homme apprend à se soumettre aux valeurs morales. Mais chaque culture va être porteuse de valeurs spécifiques. On peut aussi opposer à l’Homme ou à l’humain, l’être qui, en dépit de son identité physique, ne semble pas posséder les qualités morales ou intellectuelles nécessaires à la définition de l’Homme : l’inhumain, le sauvage, le barbare. Problème

Peut-on se fier à la conscience ? La conscience se traduit par le savoir de ce que l'on est en train de vivre, mais elle ne s'applique pas pour toutes choses. Elle peut être morale principalement, c'est d'ailleurs cette conscience morale qui fait l'humanité d'un homme. Elle lui donne certains avantages comme la liberté, un libre-arbitre ne se basant pas toujours sur le déterminisme, mais aussi des inconvénients comme l'illusion que nous donne la conscience, qui peut être une faiblesse à certains

désacralise la méthode scientifique. Dans le développement des sciences, il y a de l'irrationnel : la recherche scientifique est toujours encadrée par des passions, des idéologies, des préjugés qui motivent plus ou moins. III. Le relativisme de Feyerabend. Le relativisme n'admet pas de critère absolu de vérité. En science, cela signifie que l'on met tout sur le même plan. Il n'y aurait pas de vérité absolue en science. En science, peu importe les moyens, seul le résultat compte : tout cela fonctionne

C'est l'unité des valeurs humaines qui est en jeu ici, unité menacée par le relativisme moral (l'expression est importante). Il est vrai que d'un continent à l'autre, d'un pays à l'autre, pourquoi pas, même, d'une maison à l'autre, les principes moraux peuvent diverger. Les causes sont effectivement culturelles. Mais ne devons-nous pas postuler l'existence de valeurs qui dépassent ces différences ? Si la manière dont on punit le vol ou l'assassinat dans telle culture diverge des habitudes d'une autre

« sauvage » et « barbare » sont-elles différentes ? Qu’est-ce que le paradoxe du relativisme culturel ? L’ethnocentrisme est le thème principal de cet extrait. D’une façon générale ceci est l’habitude psychologique ou mentale qui consiste à considérer ma culture comme une valeur absolue. En effet Claude Lévi-Strauss est contre cette idée de « répudier purement et simplement les formes culturelles : morales, religieuse, sociales, esthétique, qui sont les plus éloignées de celles auxquelles

1.1 Suite à une lecture approfondie du texte intitulé Philo Relativiste, nous avons décidé d’évaluer si la théorie sur le relativisme est valide en faisant l’analyse des différentes prémisses établies par l’auteur. 1.2 Nous en sommes venu à la conclusion que sa thèse ne tient pas debout. Cependant,ces deux arguments possèdent des failles. Premièrement, ils sont principalement basés sur un sophisme : l’appel à la société. Deuxièmement, le deuxième argument du texte est totalement invalidepuisqu’il