Le Rire Descartes

........30 Le cri d’horreur.......................................................................32 Une recette qui désarçonnera votre interlocuteur................................... .......32 2 ©MMXI International Authors Bureau Ltd. Rire aux larmes.......................................................................33 Envoyez le non-négociable à la fin de la négociation............34 Le point non transigible.......................................................................

Populaire Direction Christian Schiaretti 8 place Lazare-Goujon 69627 Villeurbanne cedex Tél. 04 78 03 30 00 www.tnp-villeurbanne.com 4 Vie de Molière René Baubourdolle 7 L’homme vrai Jacques Copeau 8 L’école buissonnière Alfred Simon 11 La soif du rire Mikhaïl Boulgakov 15 La farce, les femmes, la troupe Antoine Vitez 19 La guerre des ordres Gérald Garutti 28 Grilles et verrous… Paul Bénichou 32 Sganarelle Alfred Simon 36 L’École des maris Roger Duchène 39 Les Précieuses ridicules Ramon

tour une interrogation sur l’homme. La question philosophique et sa complexité : le texte nous invite à nous poser la question : qu’est-ce qu’un homme ? - La réponse de la science prétendant maîtriser l’univers, conception occidentale depuis Descartes (XVIIè siècle) qui donne tout pouvoir à la raison : « Même les esprits forts, qui prétendent ne croire à rien…. » - L’interrogation « primitive » ou questionnement métaphysique : … ils se sont demandés ce qu’il y a au ciel, ou ailleurs, dans la

Paris - Recueil de Berne - Recueil de Berlin Une soixantaine des contes sont écris « fabliaux » dans le titre. Le problème c’est qu’au Moyen Age on a appliqué le nom « fabliaux » à des produits littéraires qui n’étaient pas des contes à rire. Comme des poèmes allégoriques, des romans de chevaliers ou débats. Les vrais fabliaux sont appelés « fables » ou « romans ». En dépit de toutes ces complications terminologiques, nous avons des traits caractéristiques. Quant à la structure, la

grâce Averti : qui connaît bien, qui est au courant Avisé : qui agit avec à propos et intelligence après avoir mûrement réfléchi Avorton : personne petite, faible que tu hais B Badiner : plaisanter avec engouement Badin : qui plaisante, aime à rire Bafouer : traiter avec un mépris outrageant Baquet : cuve en bois Baroque : qui est d’une irrégularité bizarre = biscornu, étrange, excentrique Baroud : combat. Un baroud d’honneur : dernier combat pour l’honneur avant de se rendre Batardeau :

. 73 6.2. Perspectives .............................................................................................................. 74 PARTIE 5 - Les réunions professionnelles d'auxiliaires de vie sociale: espace de parole, de dialogue et de rire ..................................................................................... 75 1. Un espace de parole, un espace de dialogue .................................................... 75 1.1. L'observateur interpellé .......................

que la production précède l'existence. Lorsque nous concevons un Dieu créateur, ce Dieu est assimilé la plupart du temps à un artisan supérieur; et quelle que soit la doctrine que nous considérions, qu'il s'agisse d'une doctrine comme celle de Descartes ou de la doctrine de Leibniz, nous admettons toujours que la volonté suit plus ou moins l'entendement ou, tout au moins, l'accompagne, et que Dieu, lorsqu'il crée, sait précisément ce qu'il crée. Ainsi, le concept d'homme, dans l'esprit de Dieu,

science et les monstres) : Les monstres artificiels par manipulation génétique réel ou imaginaire. La science donne à l’homme la capacité de produire des monstres en se prenant pour Dieu. La science ne va-t-elle pas faire de l’humain un monstre ? Descartes parle de la science : « nous rendre comme maitres et possesseurs de la nature » La science a la possibilité de créer ses propres monstres. Les monstres imaginés : Les monstres merveilleux, ils ne sont pas représentatifs. Est-ce que l’imagination

1, p. 18. 5. luigi pirandello a vraisemblablement lu Les Causes du rire et la Théorie scientifique de la sensibilité, dont il s’inspire clairement dans certains passages de son livre sur l’humour : L’Umorismo, in Saggi e interventi, milan, mondadori, 2006, pp. 809, 822-823, 907-909 et 948. les développements de la seconde partie (pp. 905-948) contiennent plusieurs évocations d’un thème cher à dumont dans Les Causes du rire : le sentiment et son caractère contradictoire dans le risible. 6. les

d'étrange. L'auteur nous fait vivre tout cela au travers ses écrits, comme lorsqu'elle nous explique qu' « à chaque visite, il y a un détail qui me bouleverse, focalise l'horreur. Quand elle rit, c'est toujours la même femme qu'avant » (p.98). Ce rire justement, est probablement la seule chose qui ne change pas chez une personne, même en vieillissant. L'importance de cette voix qui fait exister l'autre malgré les changements : « il y a pour moi toujours sa voix. Tout est dans la voix. La mort, c'est