Le Rire Langage Universel

hommes et les incite à se corriger. Pour susciter le rire, elle met en œuvre des procédés comiques variés. LES DIFFERENTS PROCEDES COMIQUES Même combinés au sein d'une même œuvre, on peut distinguer différents types de comiques. LE COMIQUE DE MOTS  Il exploite les ressources du langage : répétitions, jeux de mots, calembours, déformations, recours au jargon, aux dialectes. LE COMIQUE DE GESTES  C'est l'ensemble des jeux de scènes qui provoquent le rire : coups, gifles, bastonnades, chutes... LE COMIQUE

blondes. Il existe même un humour pornographique, cinématographique, et même mathématicien. Cultivé par des écrivains, poètes, dessinateurs, réalisateurs, musiciens, chansonniers, enfants de la balle, hommes politiques et bien sûr humoristes, il est langage, moyen d’expression porteur de messages et peut prendre la forme de blagues, histoires drôles, sketches, gags. Il peut utiliser différents supports : livres, BD, dessins, films, publicité et bien sûr internet où de nombreux sites à vocation humoristique

Le comique a pour but de faire sourire ou rire, amuser, souvent dans un but critique (caricature). Ses principaux procédés sont ; Les procédés de répétition, les effets de contraste et de décalage, le comique de geste, le comique de mots (jeu sur les niveaux de langage), l'absurde. Le satirique fait rire et fait part de la moquerie. Portrait caricatural, description d'un époque mettant en évidence ses défauts.Il a pour but de se railler, de se moquer d'un type de personne ou d'une institution

«...tous ces blessés á mort, avec quelle science on les soigne» (Beckett. Fin de partie, pag. 108). UN RIRE INQUIETANT. En lisant les piéces de thatre de Beckett et de Ionesco on a ri. On a ri de ce rire étranglé et amer des vieux des CHAISES ou de ce rire piteux et monstrueux de Nagg se vautrant dans le fumier de l'existence et constatant que «rien n'est plus dr8le que le malheur». Ce rire qui est tant8t l'avorton des larmes, tant8t l'éjaculation d'un plaisir raté devant le pénible spectacle de

inquiétudes sont similaires des nôtres, dont les personnages ne cessent de nous rappeler nos propres plaisirs et nos propres peurs. Parce que justement le théâtre met en scène des thèmes universels. L’identification recherchée par le spectateur est aussi possible par les comédies, elles sont un excellent moyen de rire de nos propres défauts. Par exemple dans la pièce l’Avare de Molière nous rions de notre avarice, dans rhinocéros d’Ionesco nous rions et réfléchissons sur notre agression et notre monstruosité

Le Rire, Bergson. Jusque là, 2 traditions ds la considération du rire : Jugement du rire en terme moral, le rire étant condamné comme manifestation d’orgueil. Selon le traité de la nature humaine de Hobbes, celui qui rit se pense ds une situation de supériorité par rapport à celui dt il rit. On rit avec les autres ms tj aux dépends de qqn ; ce qui ft rire c’est de voir l’autre subir un sort auquel soi mm on échappe. Rire accroit alors sa propre valeur car en voyant les autres ridicules ou

appelés à triompher des obstacles qui se dressent sur leur chemin. Écrite dans un langage élégant et mesuré, elle sera conforme à la bienséance requise par la bonne société et obéira aux règles de la vraisemblance, qui imposent le respect des unités de temps, d’action et de lieu : car le but du théâtre est de figurer le monde, par les moyens d’une illusion qui a sa logique propre. Dans une telle définition, notons-le, le rire ne figure pas : il s’agit essentiellement de divertir et de plaire, en restant

qui ait étudié le langage non verbal ou langage corporel, c’est Darwin - le Darwin de l’évolution des espèces. Mais depuis, de nombreux autres anthropologues et ethnologues ont découvert que ce langage comprend des expressions innées. Un clin d’œil fait à notre voisin de table, ou un geste grossier au chauffeur de la voiture d’à côté sont des gestes appris ; Le raclement de gorge, le fait de rougir sont des gestes involontaires, innés ; et puis il y a des signaux mixtes, comme rire ou pleurer ou hausser

autre réalité qui est une réalité spirituelle. Ainsi Hegel procède en trois étapes pour défendre sa thèse. Tout d'abord, il dresse une analogie entre le langage et l'art. Pour lui ces 2 notions sont une création de l'esprit. Dans un second temps il nuance cette similitude en disant en quoi l'art et le langage sont différents. En effet, le langage se limite à mettre sur des idées des mots. L'art, quand à lui, délivre à des idées une existence sensible émotif et perceptif. Pour finir, Hegel définit

communication[->0] utilisant le verbe[->1], la voix[->2] humaine. Le langage[->3] articulé est une forme de la communication verbale; la communication verbale est sans doute aussi une forme de langage mais elle ne se réduit pas, ni ne s'assimile au langage. Elle est faite de signes linguistiques. Ces signes confèrent un corpus appelé langue, ou plus généralement langage, mais les linguistes viennent à distinguer langue et langage. L'écriture, la langue des signes, la voix, sont des médias, des moyens