Le Rire Mecanique

« inattendu » et la curiosité « mystérieuse opération » → il s’agit d’un faux rire, qui ressemble plutôt à une horrible grimace : « ce rictus » ou « « deux convulsions de la bouche »= description objective du rire 2)Un être déshumanisé → certains mots ne le désignent pas comme un homme : « sa face », mot repris à la l.15 pour désigner un masque et même le mot « apparition » qui lui donne un côté surnaturel → il ressemble à une machine « rire automatique » ; la réification est reprise par « pétrifié » = pierre

Champs lexicaux du sacrifice et de la mort, de la fatalité et du désespoir ← Comique : -Faire rire ou sourire .Jeux sur les mots, calembours .Effets de la chute, de rupture, de décalage .Répétitions mécaniques de mots ou de situations .Mise à distance (ironie) .Imitation burlesque (sujet sérieux dans un style bas) ← Satirique : -Se moquer, dénoncer des défauts pour rire .Antiphrases .Caricature : figures de l’exagération (hyperboles,…) .Naïveté feinte ou éloge paradoxal

l’intrigue n’est pas dévoilée et le spectateur remarque que le personnage éponyme de la pièce (la cantatrice chauve) n’est pas sur scène. La scène d’exposition devrait donner les éléments qui vont fournir l’intrigue ; or, c’est une mécanique qui tourne à vide, un déferlement d’informations mais qui ne seront strictement d’aucune utilité dans la suite et qui en plus ne font que se répéter. Par exemple, les considérations sur l’épicier n’ont aucune espèce d’intérêt ; on n’en entendra pas

entre crochets ne sont qu'une aide à la lecture et ne doivent pas figurer dans votre rédaction. [Introduction] Rabelais écrit dans l'Avis au lecteur de Gargantua que « rire est le propre de l'homme », mais peut-être aurait-il pu écrire encore plus justement «le propre des hommes », pour mieux marquer que ce phénomène complexe qu'est le rire (pourquoi riton? de qui? de quoi?) est avant tout un phénomène social: on ne rit pas seul mais en groupe. C'est pourquoi le théâtre, divertissement social et collectif

jeu des portraits lui offre une position de domnination, elle donne le ton de la conversation et ceux qui refusent de la suivre par le rire sont menacé d'exclusion sociale. C'est le problème d'Alceste. 3. Le jeu des portraits : Un fonctionnement social ambigu Jeu relatif à la collectivité : il créé une conivence au sein de l'assemblée qui se manifeste par le rire et l'éloge des marquis (v.649). Ainsi, le jeu est un facteur d'identification et d'unification au sein de la collectivité. Néammoins

scène 6 De "ARLEQUIN, à part. Préparons un peu cette affaire-là..." à "j'entre en confusion de ma misère !" Introduction Cet extrait du Jeu de L'amour et du hasard illustre le génie comique de Marivaux. C'est d'abord la situation qui prêt a rire : du quiproquo (=Méprise qui fait prendre une chose, une parole ou une personne pour une autre) à l'aveu, Arlequin introduit des retards qui traduisent son embarras. En parlant, il libère Lisette de ses propres scrupules et la scène s'achève sur un

sur le sac, où s'est dissimuler son maître. Il s'agira ici donc d'étudier le comique de cette scène. En quoi le comique de cette scène, qui est centré sur la vengance de Scapin, nous prête à rire ? Nous allons voir dans un premier temps le comique effectué par Scapin, personnage qui se prête au rire, et dans une seconde partie le comique de scène du à la relation maître/valet. Comédie en trois actes et en prose de Molière, pseudonyme de Jean-Baptiste Poquelin (1622-1673), Les Fourberies de

noires. » L’ouverture de la pièce ne répond pas aux attentes de la scène d’exposition classique. Fin de partie semble redéfinir « la règle du jeu » d’un autre théâtre. La longue didascalie inaugurale fixe et fige un univers aux gestes arrêtés ou mécaniques, un monde clos et gris. Exposition paradoxale « La règle du jeu » Les questions : où ? quand ? qui ? sont caduques ici : la fonction informative de la scène d’exposition est niée : nulle indication de lieu, de temps, d’identité des personnages.

à première vu comique à faire accédée au lecteur le haus sens du texte.Rabelais décrédibilise totalement l’éducation donnée par les théologiens de la sorbonne ou les sophistes de l’époque. Leur éducation est basée essentiellement sur la mémoire mécanique avec un apprentissage par cœur. Elle ne fait pas appelée à la réflexion. Cette éducation scolastique est ancrée dans le moyen âge. Cette vision est très visible dans le chapitre 14 où son maitre sophiste Thubal (confusion) Holopherme, lui apprend

précis sur l’art du rebondissement, Feydeau tient son spectateur en haleine et décuple ainsi son plaisir . Le chaos ambiant transforme cette signature de contrat à l’origine très sérieuse en véritable scène de farce, totalement absurde puisque la mécanique des personnages semble être déréglée. Tous subissent les évènements qui s’enchainent et les entrainent dans des réactions surprenantes qu’ils ne maîtrisent plus faisant sauter le vernis social et les rendant ridicules : certains parce qu’ils ne comprennent