Le Rire Paradoxal

rêve, puis une dernière partie étudiera l’état de confusion vécue par le rêveur. Il semblerait que le rêve soit déclenché par des éléments de notre environnement ou encore par nos sens. En effet, Pour le philosophe Henry Bergson, , auteur de « Le rire », le monde extérieur est un outil qui permet de matérialiser l’imagination. Il peut s’agir d’un bruit ou d’une couleur qui, une fois perçu, sera approprié par le rêveur et transformé par son inconscient en une idée, une vision. C’est d’ailleurs ce

gestuelle paradoxale du guerier ce qui rend comique et risible la situation. Puis, nous remarquons également la présence de gestes ridicules « un homme portant un bouclier à visage de Gorgone entrain d'acheter des merlans » p58 ou encore « Un homme à crinière, un commandant de cavalerie sur son cheval, se faisant verser dans son casque de la purée de légumes » ce qui créer un contexte radicalement opposé entre « heros et réalité du quotidien » qui est très burlesque et de ce fait donne à rire. En des

sommeil qui ont permis de cerner les fonctions plus subtiles du sommeil. Ainsi sommeil lent et sommeil paradoxal n’ont pas la même fonction. Le sommeil profond est plus spécifiquement impliqué dans la croissance, la récupération des réserves énergétiques du cerveau ou des muscles, et dans certaines formes de mémoire dite déclarative (rappel de liste de mots, d’un itinéraire…). Le sommeil paradoxal est quand à lui plus impliqué dans la maturation du système nerveux, son adaptation à l’environnement

l’activité 1. Correction : - Le comique de caractère ou de personnage : il réside dans la personnalité, les manières, le phrasé, les défauts et les manies des personnages. - Le comique de situation : il réside dans la situation incongrue ou paradoxale et repose sur des quiproquos, des malentendus, ou des conjonctions d'événements. - Le comique de mots ou de phrases : il réside dans les jeux de mots, les défauts de prononciation, mais aussi d'images amusantes, de double sens... - Le comique

TABLE DES MATIERES INTRODUCTION 2 I. LA LIBERTE ABSOLUE DE L’ACTEUR : UNE NOUVELLE ESTHETIQUE DE L’ART 2 A. L’autonomie du jeu et de l’acteur 2 B. Le masque vecteur paradoxal de la libre expression 3 C. Une approche novatrice de la conception théâtrale 3 II. L’ENVERS DU DECOR : LA TECHNICITE DU JEU 4 A. Une dramaturgie de l’effet 4 B. Une improvisation maitrisée 4 C. La commedia dell’arte : un « concept industriel » 5 III. L’ART DU METIER DE COMEDIEN :

gladiateurs. Aujourd'hui encore, ces divertissements, pièces de théâtre et matchs, sont très prisés. Ainsi, Ionesco, auteur dramatique contemporain, sans doute soucieux d'attirer à nouveau le public dans les salles, établit une analogie qui peut paraître paradoxale entre une pièce de théâtre et un match. En quoi ces deux phénomènes se ressemblent-ils ? La comparaison, un peu provocatrice, n'a-t-elle pas des limites, définies par les spécificités du genre théâtral ? Au fond, pièce et match n'ont-ils pas des

Molière. Un mariage arrangé, des amours contrariées, une belle-mère cupide et un bourgeois abusé par des imposteurs : tous les ingrédients d'une comédie réussie. Molière y dénonce l’imposture de la médecine à travers un personnage principal paradoxal : un malade en bonne santé, qui tyrannise les siens en s’enfermant dans son obsession. Enfer familial. La mort est présente partout. Il n’est pas un personnage qui ne l’évoque à un moment ou à un autre. A la quatrième représentation, Molière

l'objectif poursuivit. L'utilisation du ressort comique a pour seul objet de distraire. Le rire constitue une fin en soi. Le discours comique vise l'affectif plus que le cognitif dont il ne peut faire l'économie. La publicité ne peut se satisfaire, ni se contenter du seul discours comique, le risque de sombrer dans le vulgaire étant fort. La publicité doit expliquer au consommateur pourquoi on veut le faire rire, et recentrer le discours sur le produit ou la marque. L'affectif au service du cognitif

cache-t-il ?... ». Les phrases exclamatives expriment une vive émotion, le désespoir, le désarroi, l’angoisse, l’épouvante, les phrases interrogatives l’incertitude, l’affolement. On remarquera l'invocation à Dieu ("Justice, juste ciel !") qui est plutôt paradoxale dans la mesure où l'avarice est considérée comme un "péché capital". I/5) Les lignes 1970 -1976 s’adressent directement au public : « Que de gens assemblés ! Je ne jette mes regards sur personne qui ne me donne des soupçons et tout me semble

suivant aveuglement un instinct ambitieux : « Déjà des hommes grimpaient le long des troncs à écailles pour faire tomber d’un coup de sabre les choux palmistes », (lignes 7-8). Une description d’un comportement irrationnel commence : « on entendait le rire de ceux qui poursuivaient les chèvres à la course » (ligne 9), une activité qui, en principe, n’a rien de comique. La description du comportement des marins devient de plus en plus méprisable au fur et à mesure que la narration avance : « cette bande