Le Roi Justicier

des évêques de la province ecclésiastique de Reims, mais aussi le comte Baudoin II de Flandre ne désarment pas tout de suite et proposent la couronne occidentale à Arnulf qui les éconduit. Il faut compter aussi avec les autres grands : Richard le Justicier dans la partie occidentale de la Bourgogne intégrée au royaume de Francie occidentale (le futur duché de Bourgogne) qui préféra se contenter de ce titre, Guillaume le Pieux, comte d'Auvergne et marquis de Gothie mais dont la sphère d'action est lointaine

1902 et se trouve aujourd’hui au Louvres. On y trouve des lois et un bas relief sur lequel est représenté le dieu soleil (Shamash) qui dicte les lois a Hammurabi qui indique que ce sont des droits religieux, ce n’est pas la volonté du peuple ni du roi mais d’un dieu. Ces droits sont donc immuables, on ne peut y toucher. Mais les droits mésopotamiens sont un droit religieux et non pas une loi religieuse. La loi religieuse essaye de donner un comportement moral a l’homme vers la pureté tandis que

suzerain n’est pas le seigneur de tout le monde : il commanda à ses vassaux qui commandent à leur tour à leurs vassaux (« le vassal de mon vassal n’est pas mon vassal »). Le roi utilise le droit féodal (la commise) et le droit privé. Il acquiert du territoire : -Soit par voie de testament : la Provence est entrée dans le domaine du roi, « pourvu qu’il ne touche à rien » (attributions, droit, fiscalité, etc.). -Soit par apanage (Bourgogne à la mort de Charles Téméraire en 1470). -Soit par confiscation

ravage tout entier." Du côté de la détermination humaine, il évoque l'injustice (mort indigne et sans gloire) subie par son père : "J'aurais voulu que sous Ilion tu meures déchiré, mon père, par une lance lycienne. Léguant ta gloire à ton palais" "un roi privé de sa cité, privé de ses lamentations, tu [Clytemnestre] as osé ensevelir sans une larme ton époux." (Electre) "Elle [Clytemnestre] a coupé ses mains, ses pieds. Sache qu'elle voulait enterrer un corps mutilé pour accabler ta vie d'un poids insupportable

qu'il doit adresser aux âmes défuntes: -Le Coryphée … et contre les coupables -Electre: Que dois-je demander? Instruis mon ignorance. - Le Coryphée: Demande que surgisse enfin, dieu ou mortel... -Electre: qu'ajouterai-je? Un juge ou bien un justicier? - Le Coryphée: Ah! Dis-le sans détour: un meurtrier comme eux. - Electre: Et pour les dieux ce voeu ne serait point impie? -Le Coryphée: C'est piété de payer le crime par le crime Electre invoque alors Hermès le messager infernal et l'âme de

Fort MadelinGiroux EstherCuny ClarisseL’affaire Dreyfus vieille de plus d’un siècle a fait couler beaucoup d’encre. A l’origine une simple affaire militaire et judiciaire, le scandale Dreyfus entraîne une des plus grave crise politique de la Troisième République. En effet, depuis la défaite de 1871 face à la Prusse, il règne en France un “esprit de revanche” de plus l'Alsace est allemande depuis 1871 .Dans ce contexte, marqué par un antisémitisme croissant, la culpabilité de Dreyfus

* Influence germanique : pouvoir incarné dans la personne du roi => pouvoir de commandement d’un peuple mais pas d’un territoire. La notion de publique n’existe pas => privatisation du pouvoir par le roi * Influence romaine : contacts entre barbares et romains => admiration de la civilisation romaine donc préservation des institutions romaines => titre du roi REX + prérogatives de l’état romain dans la personne du roi => rendre justice + battre la monnaie + droit de guerre et

Macbeth, retenue d’assouvir sa pulsion de meurtre, rationnalisée, par le tabou du parricide : « s’il n’avait ressemblé à mon père quand il dormait, je l’aurais [tué] » (II,2, v.664-665, p.64). Les remords de Macbeth, conscient de l’iniquité du meurtre de roi bon et retenu de se battre contre Macduff par le poids de la culpabilité du massacre des innocents, attestent de cette morale naturelle, dont Rousseau affirme l’existence au cœur de l’homme social « va-t-en, car mon âme est beaucoup trop chargée/ Avec

premier code connu est le code Ur-Namu qui apparait dans les civilisations mésopotamiennes qui est le code d’un roi qui l’est de 2112 à 2095 avant notre ère. Il ne nous est connu que partiellement et donne une démonstration d’un constat évident, le droit pénal est la première préoccupation de ce roi et plus précisément le souci de la paix civile dans sa communauté. Dès le prologue le roi qui associe à son œuvre le dieu lune décrète l’équité dans tout son pays qui passe par l’édiction de règles pénales

familles d’institutions. -Pendant 3000 ans : Asie : héritage sumérien. 2. La division des communautés -Conflits sanglants et récurant jalonnant histoire de l’OA. -Peuples attirés par la richesse du croissant fertile = pas de paix. -Attribution du roi = chef de guerre. Section 2 : Le contexte historique -2 constantes : *Absence de frontières naturelles à l’intérieur de l’OA. Une cité-état tentera de dominer les cités voisines. Construction de royaumes puis des empires puis empire universel