Le Signe Linguistique Chez Les Sophistes

spécificité fondamentale Le langage : moyen de penser et de communiquer Comment et quand la parole est elle apparue ? Encore difficile de répondre Les premières représentations Des représentation plus ou moins abstraites La transformation d’un signe permet de faire passer un message c’est une phase transitoire d’expression L’abstraction comme difficulté L’histoire de la production et de la diffusion des connaissances sera aussi l’histoire d’une augmentation de l’abstraction. Un obstacle

notamment de Lévi-Strauss, du statut de pensée pré-philosophique à celui de mode de pensée à part entière, gardienne et témoin, selon Gilbert Durand, du fond anthropologique commun de l’imaginaire. L’apparition d’un mythe dans un texte ferait donc signe vers cet imaginaire et constituerait une matrice génératrice de sens. Mais la mythocritique durandienne met de plus l’accent sur la narrativité du mythe, qui le constituerait en modèle originel de tout récit : « La mythocritique […] pose que tout “récit”

perspective. Elle va réduire en théories communicationnelles des théories des ces autres sciences. • le schéma de Saussure (signifiant-signifié): en communication, on peut l'employer pour le cinéma alors que pour Saussure on l'employait dans la linguistique. 1. Engouement et incertitude à l'égard d'une interdiscipline. Il y a une fascination communicationnelle, la communication est partout/omniprésente. Elle est partout, mais pas de la même manière ! Il y a une ambiguité, une complexité dans

chose publique). C’est une abstraction du pouvoir, ils vont poser la notion d’Etat en réfléchissant à la notion de « res-publica ». Ce concept de « res-publica » dégagé, constitue une des raisons pouvant expliquer la force de Rome. La cité est née chez les grecs. Un individu s’insère au sein à la fois de la famille et de la cité La cité s’inscrit dans un ensemble géographiquement déterminé, mais aussi elle apparaît dans une structure nécessaire. * La cité un ensemble géographiquement circonscrit

2. Sujet Le signifiant SAUSSURE Vient de la linguistique structurelle. Maintenant associé à la psychanalyse. = un fragment de langage. Ça peut être un morceau d’un mot, ou un morceau de plusieurs mots. La définition vient de Saussure (psycholinguiste). Freud a travaillé sans la structure linguistique de Saussure, mais Lacan oui. Saussure : définition du signifiant dans un concept différent. C’est le signe (élément de base du langage). Le signe est composé d’un côté du signifié, et d’un côté

donne deux axiomes qui sont des principes logiques qui sont bien donnés comme vrais et indémontrables. - Le premier est le principe de contradiction ou également appelé de non contradiction ; on ne peut pas affirmer qu'une proposition (au sens linguistique du terme, dénoncé susceptible de recevoir une valeur de vérité) est à la fois vraie et fausse, on ne peut pas dire à la fois qu'un porte est ouverte et qu'elle n'est pas ouverte ou qu'une personne est présente et qu'elle n'est pas présente. Ce

tel patient, singulier, dont il fait l’expérience concrète comme un cas individuel. De même l’expérience existentielle de la liberté est toujours singulière et concrète. Antilogie : Ensemble de deux propositions contradictoires utilisé par les sophistes de l’antiquité pour paralyser la pensée, en la rendant incapable de trancher. Antinomie : Du grec antinomia, contradiction dans leur application pratique entre des lois. Dans le criticisme kantien, contradiction entre deux propositions dans laquelle

années du règne, avant le durcissement moral de la cour (installation à Versailles en 1682) et les nouvelles inflexions religieuses (Révocation de l’édit de Nantes, 1685). La querelle des Anciens et des Modernes serait l’ultime épisode du siècle, signe avant-coureur des choix esthétiques et philosophiques du siècle suivant. C’est certes clair, mais il faut éviter de « réduire » sociologiquement la vie des formes et des textes, et rendre au « Parnasse » la part de liberté qu’il revendique. L’histoire

tourne vers la recherche de ce qui est vraiment utile, de ce qui importe, de ce qui est réellement, des essences ou Idées auxquelles les phénomènes participent, ce qui les sauve en leur donnant un sens. L'apport de Platon , en dépit de nos modernes sophistes,est immense au point que beaucoup le considèrent comme l'inventeur de la philosophie, comme un conquérant qui chemine vers les idées, ces trois éclats du Bien ,(le Vrai, le Juste, le Beau) , le Bien, ce qui ne manque de rien. "Prends, par exemple

non nécessaires. L’argent, la gloire sont méprisés par les épicuriens. * La vertu des épicuriens est la Compassion. * Ces 4 étiques s’arrangent assez bien avec le christianisme. B / Les éthiques marginales 1.     Les Sophistes Pour les sophistes, le bien conduit au Bonheur et le bonheur conduit à la réussite. Le Bonheur, c’est avoir ce que l’on veut. C’est une étique pragmatique : les choses qui marchent sont bien et celles qui échouent sont males. La vertu est l’ambition. 2