Le Souverain Bien Aristote

pour que ces règles soient appliquées ? Cela suppose une mise en action, une pratique. Toute pratique vise à une fin. Quel est le but de tout ce système ? La fin de cette organisation c’est le bien vivre en commun. La politique serait l’ensemble des pratiques auxquelles se livrent les hommes pour pouvoir bien vivre ensemble à l’intérieur d’une société. Tout ceci reste une théorie, qui doit être doublée d’une pratique. Il y a des difficultés dans cet écart entre la théorie et la pratique. Faire de la

dissertation consiste à vous démontrer quelle définition l’auteur donne-t-il à la vie politique dans un régime monarchique. Initialement en répondant à ce qu’est «la bonne vie» selon monsieur Machiavel je vais explorer la fidélité du peuple envers le souverain. Par la suite en questionnant quel est «la meilleure forme politique», toujours selon l’auteur, j’aborderai les différents moyens pour acquérir et conserver le pouvoir qui se basent sur le portrait idéal que devrait adopter le prince ainsi que sur

légitime ou pas, c.a.d si elle est fondé sur la raison. Si cela peut être accepter universellement. 2ème caractéristique : Prendre conscience de son ignorance, rejeter toute opinions. Philosopher s’accompagne d’un sentiment d’émerveillement. ( Aristote soulignera l’étonnement. ) Un philosophe doit être capable d’utiliser sa raison en la confrontant à d’autres thèses. 3ème caractéristique : La philosophie doit procurer, un étonnement, une joie, un émerveillement profonde lorsque la raison lève

pensée comme telle au Moyen Age. •SOCRATE et le concept de la Maïeutique : Socrate prétend que sa vocation est d’accoucher les âmes (= la psyché). Sa méthode repose sur le dialogue. Par un jeu de questions, il aide la personne à trier ce qui est bien fondé, de ce qui ne l’est pas et donc il aide à formuler progressivement la pensée des gens. Ainsi, Socrate est à la fois l’ancêtre de la psychanalyse, de la pédagogie et du concept de non-directivité. Pour Socrate, l’intégration du social est primordial

en fonction des attentes, des espoirs et des ambitions d’une personne singulière. La loi morale définit alors le rapport aux autres et qui est dirigée vers la recherche d’un état de bien-être personnel. Le bonheur lui correspond à une aspiration personnelle qui définit l’orientation de notre propre existence. Le bonheur et l’obéissance aux lois sont alors souvent en contradiction. On peut toutefois se demander si le mépris qu’un

soit d’abord de l’ordre du sentir, du ressentir, c’est-à-dire du sentiment. En effet, face au mal, face à un tort subi ou commis par autrui, nous ressentons qu’il y a là une injustice. De même, lorsque nous assistons à un acte visant le bien d’autrui ou notre bien, nous sentons que cela est juste. Ces expériences communes attestent ainsi de l’existence en nous d’une faculté de sentir ce qui est juste et ce qui est injuste. Ainsi, selon Rousseau « il est donc au fond des âmes un principe inné de justice

ARISTOTE, GALILÉE ET DESCARTES Si les interactions entre le sacré, la philosophie et la science ont toujours existées, et ce depuis l’antiquité, elles se sont transformées au fil du temps. Ce sont les mœurs et idéaux des sociétés les appliquant qui on fait évoluer ces rapports. Ils sont les reflets des jeux de pouvoirs reposant sur les groupes sociaux de l’époque. Ainsi pour comprendre le discours dont l’un fait l’apologie, il faut d’abord s’atteler à comprendre l’époque qui a vu naître ces penseurs

esclaves des particuliers L’esclavage pour dettes a été supprimé par Solon 3 § 3: L´organisation des pouvoirs L’on retrouve les trois organes de la cité aristocratique (assemblée, conseil, magistrats) mais c’est ici l’organe populaire qui est souverain. A- L´assemblée ou "ecclésia." - organe de gouvernement direct (possible à cause du faible nombre des citoyens et de l´étendue relativement modeste de la cité) - tous les citoyens (hommes de plus de dix-huit ans, nés de parents athéniens, peuvent

justice Justice commutative : Chez Aristote : justice qui attribue qui chacun ce qui lui est dû suivant un strict principe d’équivalence. C’est la justice qui prévaut dans les échanges commerciaux et dans les litiges (justice pénale) Justice distributive : Chez Aristote, justice qui obéit à un principe inégalitaire, puisqu’elle distribue à chacun des avantages et des responsabilités variables suivant les talents, les compétences etc.. On ne doit pas, dit Aristote, attribuer la meilleure flûte à

hasard favorable, une chance que tous les hommes recherchent et désirent ardemment dans le but de rendre leur vie meilleure. Mais aspirer au bonheur est une chose et l’atteindre en est une autre. Pour les philosophes le bonheur est le « Souverain Bien », c’est-à-dire le bien suprême qui commande tous les autres. Tout hommes peut connaître le bonheur et le vivre mais dans un autre temps cela nous rends étranger à la faculté de désirer. Chacun développe une ambition individuelle au bonheur. Mais sans vie