Le Sublime Et Le Grotesque

fascinant, tend vers le surnaturel). * CONSTRUCTION LARGE (contre la symétrie, le parallélisme…), effet recherché = COLLER AU REEL, ce n’est plus VRAISEMBLANCE mais REEL BRUT. V.HUGO Préface de Cromwell théorisation du drame romantique : le SUBLIME est un fait du BAS, non plus du haut (mot très romantique ; d’étymologie : élevé = élévation – de l’âme – donc souvent esthétique et métaphysique, de l’âme vers Dieu) = renversement : * sur la nature : l’abime, le monstre, le gouffre, le difforme

littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, le théâtre, la peinture, la sculpture ainsi que dans la musique. A sa tête, il y a Victor Hugo. Ce mouvement se développe dans le sillage de

littéraire qui prône de laisser largement place à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse

transformations. Dans la même scène Lorenzo devient ainsi, dans une réplique du duc, « Lorenzetta ». Le prénom utilisé se veut ici ouvertement méprisant car Lorenzo a feint de s'évanouir devant une épée, pour mieux tromper le duc. À ces prénoms grotesques ou péjoratifs s'opposent des exemples plus positifs. La mère de Lorenzo évoque ainsi son fils en l'appelant « Renzo ». Ce diminutif semble ici lavé des connotations sombres et méprisantes : il est la trace de l'enfance du personnage, d'un passé

possibilités de l'art afin d'exprimer les extases et les tourments du cœur et de l'âme : il est ainsi une réaction du sentiment contre la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique, ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique

personnification: le peintre Rembrandt et le graveur Callot. -Rembrandt est désigné par le terme le philosophe -Callot est qualifié de fanfaron et grivois (à caractère sexuel) Il s’agit donc de deux figures contradictoire l’une plutôt noble et l’autre plutôt grotesque. I)Etude d’image -Rembrandt, philosophe (p186) On trouve un clair obscure avec la lumière dirigé sur le personnage principal. On trouve aussi un escalier en colimaçon qui peur symboliser la complexité de la pensée du philosophe. Le personnage

de soi même/critique du romantisme Introduction En 1827, Victor Hugo, dans la préface de Cromwell, remarqua : « Il y aurait, à notre avis, un livre bien nouveau à faire sur l’emploi du grotesque dans les arts.… Nous dirons seulement ici que, comme objectif auprès du sublime, comme moyen de contraste, le grotesque est, selon nous, la plus riche source que la nature puisse ouvrir à l’art. » Partie 1 :Comme dans une grande partie des œuvres romantique, ici aussi l’’amour impossible est un des thèmes

Oratore, II, 7) que Phidias, lorsqu’il réalisait le Zeus d’Olympie, ou l’Athéna du Parthénon, « considérait non un homme quelconque, c'est-à-dire réellement existant, qu’il aurait pu imiter, mais c’est en son esprit que résidait la représentation sublime de la beauté ». L’Idée est chez les Grecs une représentation de l’intellect (noûs) ; mais le modèle surnaturel peut encore être une vision mystique qui dépasse les limites de l’intelligence humaine. C’est ce vers quoi font signe ces icônes de Byzance

parallèle un mouvement artistique du même nom. Un exemple probant du réalisme en art est la peinture de Courbet L’après dîner à Ornans. Ce tableau fait grand bruit dans la société, parce qu’il montre une scène qui ne met pas en valeur des vertus ou le sublime, de plus sa taille est trop grande, trop choquante pour son époque, pour représenter une scène si commune. « Et notez que j’exècre ce qu’on est convenu d’appeler le " réalisme ", bien qu’on me fasse un de pontifes. » Dans une correspondance à George

distinction des genres et la noblesse du style sont rejetées. On attache désormais plus de prix à l’originalité qu’à la recherche du beau et de la perfection. L’imagination évince la raison ; aucun motif n’est exclu de l’esthétique moderne : on admet le grotesque, le trivial même le laid. -Le Cosmopolitisme : L’influence grecque et latine est abandonnée. D’autre part, le français, qui perd son universalité, se met à l’école des littératures étrangères et les limite parfois sans discrétion. Mme de Staël