Le Tartuffe Attaque T Il La Religion

les plus grands auteurs vont durant le XVIIème siècle se disputer pour créer des règles bien définîtes. Ce sont les règles de bienséance. Ces règles ont pour but d’apporter de la clarté aux pièces de théâtre et de créer une identité, une sorte de religion hiérarchisée où les règles seraient la bible et les auteurs seraient les apôtres ayant pour mission de faire respecter la loi. La Bienséance puisqu’il en est question comprend la règle des trois unités : L’unité d’action, représentant la clarté

scène du discours d’Acis permet-elle la critique d’un certain usage de la langue ?· Comment par le mélange des discours, rapportés ou non, La Bruyère invite-t-il son lecteur à réfléchir sur l’intelligence véritable ?· Comment La Bruyère parvient-il à attaquer le courtisan tout en respectant la bienséance ?· Comment La Bruyère dresse -t-il un portrait satirique des Précieux ? · Mouvement : ( les références de lignes renvoient à votre édition) Proposition n°1 :1)

dramatiques. Elle commence par écrire des « comédies » ou « moralités » sacrées dans la tradition des Mystères. Destinées à la représentation (cour ou cercle encore plus restreint). Suivent 7 comédies « profanes » (1535-1549) traitant d’amour et de religion. Utilisation de personnages proches de l’allégorie. Explore souvent le monde du « pur amour » (expérience quasi mystique d’abandon à l’amour du Christ, en marge de toute sagesse pragmatique ou de spéculation théologique). La Comédie de Mont-de-Marsan (1548):

gesellschaftliches Kuriositätenkabinett .............................. 31 » L'École des femmes«: grande comédie und Literaturskandal......................... 32 Molières Replik in der » Critique de l'École des femmes« ................................. 35 »Le Tartuffe«: der fast vollkommene Triumph des Heuchlers............................ 43 »Dom Juan ou le Festin de Pierre«: Libertinage als Surrogat des funktionslos gewordenen Feudaladels............................................................... 58 Das

Présentation de l'extrait à commenter : Dom Juan est une pièce de Molière, auteur de pièces de théâtre du XVIIe siècle. Molière a écrit essentiellement des comédies ( l'Avare, Le Tartuffe, Les femmes savantes.. ; Les Précieuses ridicules ; Le Médecin malgré lui.). Cette pièce a été proposée au public suite à l’interdiction de sa pièce Tartuffe Nous allons commenter la scène 1 de l'acte 1 selon deux axes de lecture. (si c’est possible en fonction de la question posée, sinon organisz la réponse autrement)

servir son entreprise d’affirmation identitaire et de rejet de l’autre. Le rire raciste ne vise pas un défaut accidentel comme dans le rire analysé jusqu’à présent. Ce n’est le choix de personne de naître anglais, arabe ou polonais. Le rire raciste attaque des défauts qu’il juge essentiels aux autres : l’Anglais est perfide, l’Arabe voleur, le Polonais alcoolique. Les préjugés passent alors pour des certitudes et la frontière entre le rieur et le risible se superpose aux frontières nationales, régionales

ponctuation : exclamation, question de rhétorique. Registre pathétique essentiellement traduit par l’animalisation de l’être humain ou dans le texte 2 violences exercées contre le peuple. Enfin insistance voire hyperboles traduisant le fait que l’on attaque les plus innocents, honnêtes. Finalement ces procédés construisent le tableau de la misère= l’hypotypose. II) Dissertation= Convaincre/Persuader/Délibérer    Sujet : Par quels moyens spécifiques la littérature peut-elle se révéler efficace

consignes officielles, il est rappelé que la concertation préalable entre professeurs correcteurs est un devoir et une nécessité absolue. Propositions de travaux sur le thème Rire : pour quoi faire ? 1° proposition : Séquence d'entrée dans le thème : Attaques contre le rire et défense d'un rire humaniste A partir de l'extrait de la problématique officielle du thème : Le rire : pour quoi faire. "N'y a-t-il dans le rire rien de sérieux, de sensé, aucune intention ?" Objectifs généraux : – Saisir les

pourtant de placer là cette allusion aux faux dévots, tant ce genre de raillerie que l’on rencontre avec quelque surprise jusque dans les sermons et les légendes, était naturel au moyen-âge, surtout en France. Papelardie est la grand’mère du bon M. Tartufe; elle dit comme lui ma haire et ma discipline : Et si avoit vestu la haire. Guillaume de Lorris, arrivé au pied du mur où les images sont peintes en or et en azur comme dans les vignettes d’un missel, entend d’innombrables oiseaux chanter derrière

mêlent si judicieusement les deux genres qu'il est difficile de s'y retrouver. Shakespeare et Molière se souciaient si peu de ces genres (et c'est tant mieux !) qu'ils nous ont donné des pièces ambiguës comme "Mesure pour Mesure", "Le misanthrope" ou "Tartuffe". Avec son "Topaze", Pagnol nous pose le même problème. Les œuvres du 20° siècle se sont employées avec une belle énergie à brouiller toutes les pistes et nombre d'entre elles sont inclassables si on ne considère que ces deux genres. De nos jours