Le Taux De Bancarisation

origines structurelles C hb an iM M oh a Les limites de la politique monétaire oh am >>les limites de la politique monétaire au Maroc m La politique monétaire au Maroc risque d'être freinée par plusieurs facteurs : >la sous-bancarisation de l'économie marocaine (certains ménages n'ont de compte bancaire!) >le poids de la dette extérieure (la dévaluation du dirham fait augmenter le poids de la dette extérieure!) >le poids de la facture énergétique (la dépendance du Maroc vis-à-vis

transferts électroniques… *De 21 banques en 2000, le Maroc n’en compte plus que 17 aujourd’hui. La concurrence apparaît dans le secteur et les banques connaissent, depuis le début des années 90, une forte * concentration. *Au Maroc le taux de bancarisation ne concerne que le quart de la population totale, mais aussi la majorité de la population urbaine. Le tiers du réseau bancaire est concentré sur la vil*le de Casa qui détient 47% de ce réseau en forte croissance. -Des filiales françaises

l’échelle internationale. La Caisse d’Epargne Nationale (CEN) Il s’agit d’un compte d’épargne sur livret qui procure à son titulaire un intérêt sur le capital déposé. Les dépôts à la CEN sont considérés actuellement comme étant des dépôts à vue. Les taux d’intérêts sont déterminés semestriellement par le ministère chargé des finances. Les Transferts de Fonds Ils intègrent aussi bien les mandats ordinaires nationaux et internationaux que le mandat électronique national et international. Ces derniers

tels que l’assistance et l’aide à domicile, l’entretien de la maison, la garde d'enfants ou les services liés à l'éducation. * La conception de comptes, dont le taux de rémunération varie avec le montant des avoirs en épargne (assurance vie et titres) du client participe également à la fidélisation de la clientèle. * Les taux boostés sur livrets sont aussi des axes de fidélisation, encourageant ainsi l’épargne du client. * D’autres services innovants sont également susceptibles d’émerger

l’entreprise et stratégie marketing : Dans le cadre de sa stratégie de diversification, la bancarisation reste un pilier central, un programme d’actions cible l’organisation et le marketing. Objectif: le renforcement de la position de la banque au sein d’un marché marqué par une dynamique du secteur de l’immobilier et d’une concurrence acharnée entre les grandes banques de la place. Le développement de la bancarisation figure parmi les piliers centraux de la nouvelle stratégie (ou la

marocain n’a pas connu de véritable évolution. Or, de profondes mutations se sont senties sur le plan technologique, facilitant ainsi l’innovation et donnant lieu á l´amélioration des qualités de services rendus aux clients : baisse des tarifs, bancarisation croissante de la population ainsi que l’intégration de la population á bas revenus. La déréglementation qu’a connue le secteur a également impacté la concurrence et en a fait une des préoccupations majeures des pouvoirs publics. De ce fait, les

c- La sousbancarisation d- Fiscalité peu encourageante 4- Forces et Opportunités du secteur : a- Faiblesse du taux de couverture b- Multiplicité des fournisseurs c- Développement de la bancassurance d- Faiblesse du taux de remplacement Chapitre III: Rôles des acteurs de développement de la retraite complémentaire A- compagnies d’Assurances a- Caractéristiques des produits de

ou l’agence de la banque Absence ou limitation des avantages fiscaux Densité bancaire et taux de bancarisation relativement faibles Sensibilisation à l’assurance et son importance relativement faible 8 Modèles de bancassurance plus intégrés Une approche multicanaux à la bancassurance Des avantages fiscaux importants liés à l’assurance vie (Italie, Espagne, France) Densité bancaire et taux de bancarisation relativement élevés Sensibilisation à l’assurance et son importance relativement élevée

touché par la crise financière mondiale ? Cinquante ans après sa création, le secteur bancaire marocain joue pleinement son rôle de développement et d’accompagnement de l’économie. L’industrie bancaire marocaine est loin d’être consolidée (taux de bancarisation dépassant à peine les 40%) et a encore de beaux jours devant elle. Les efforts des différents acteurs de ce secteur ont porté leurs fruits et hissent l’industrie bancaire marocaine au premier rang en Afrique du Nord et au Maghreb. Aujourd’hui

2011 2011 2011 2011 2011 31,5% 57,8% 57,8% 2005 2008 24,0% 60% 1990 50% 1990 1996 1999 2002 2005 2008 Consommation finale des ménages en % du PIB 61,4% Taux d'investissement (FBCF % PIB) % Consommation finale des ménages 2005 du PIB en 1996 1999 2002 2008 Taux d'investissement (FBCF % PIB) Consommation finale des ménages en % du PIB Taux d'investissement (FBCF % PIB) 2011 20% 10% 2011 57,8% 15% 10% 1990 1993 1996 1999 2002 2005 2008 2011 Consommation finale des ménages