Le Taux De Bancarisation

d’Attijariwafa bank, sa configuration récente a été caractérisée par de profondes mutations technologiques qui facilitent désormais l’innovation, l’amélioration de la qualité des services rendus aux clients, la baisse des tarifs, ainsi que la bancarisation croissante de la population consécutivement à la stratégie d’inclusion financière initiée par Bank Al-Maghrib à destination des populations à bas revenus. PRESENTATION DE LA BANQUE ATTIJARIWAFA BANK Le Groupe Attijariwafa bank, premier groupe

la clientèle constitue la principale richesse de la banque. Au fil des années, le client bancaire est devenu de moins en moins captif et dépendant d’un établissement principal, et a opté pour la multi bancarisation. Ainsi, la rentabilité bancaire s »en trouve affectée et cette multi bancarisation a progressivement incité les banques à développer des stratégies de fidélisation de leur clientèle. ► Les enjeux de la fidélisation Fidéliser se révèle particulièrement payant dans les secteurs d’activité

exclusion bancaire. En effet, elles constituent le degré le plus élevé des difficultés bancaires quand les personnes ne disposent d’ aucun service bancaire. Dans les pays anglo-saxons, terrains d’ étude de la majorité des travaux sur le sujet, le taux de bancarisation est relativement faible et les modes de consommation des produits bancaires conduisent les personnes qui rencontrent des difficultés dans l’ utilisation de leurs services à y renoncer. On comprend dès lors que les difficultés d’ accès soient

un ordre naturel ne serait fonctionner sans. ● La répartition du partage de la VA est essentiel au niveau de la demande effective. ● Les invtm varient en fonction des débouchés et des taux d’intérêts, c’est pourquoi il faut déboucher l’horizon économique. Dans une logique keynésienne on parle d’un taux d’intérêt d’une variable contrôlée et nationale. II. Les Moyens d’actions de la politique Keynésienne ● Multiplicateur et accélérateur keynésiens ● Politique conjoncturelle :

est largement dépendant de sa maîtrise du risque de crédit. L’exploitation des documents comptables de la Société Générale Algérie nous a permis d’obtenir des résultats affichant un accroissement de sa rentabilité dans une conjoncture de baisse des taux et d’augmentation des liquidités sur le marché monétaire, grâce à l’augmentation de son volume d’activité et ses conditions bancaires relativement chers par rapport à la concurrence. Sa meilleure gestion du risque de crédit lui procure la conservation

seraient prêts à changer de banque pour une offre mobile attractive. Mais, seules 4% des banques considèrent que le mobile puisse être un outil de conquête. Dans les pays émergents, le mobile banking peut être un accélérateur de bancarisation en raison du taux d’équipement en téléphone mobile pouvant palier l’absence de réseau bancaire physique. Avant tout la consultation des comptes puis la réception d’alerte et les paiements Alertes les plus souvent envoyées : - sur une dépense importante

marché de nature anticoncurrentiel, fortement réglementé et relevant de l'essentiel de la puissance publique, aussi bien en termes de détention du capital qu'en terme de fixation des règles de fonctionnement du marché, notamment en ce qui concerne les taux débiteurs et créditeurs, le prix des services bancaires, les quantités de crédits distribuées, l'entrée dans le secteur, le choix des clients...etc. Ces conditions permettaient d'assurer aux acteurs bancaires des revenus appréciables. Historiquement

de la concurrence accrue entre les différents établissements, dont figure Al Barid Bank qui représente le premier réseau bancaire au Maroc. Né de la transformation des services financiers de Barid Al Maghrib, ABB ambitionne d’améliorer le taux de bancarisation afin de permettre au Maroc de dépasser le seuil de 60% en 2013 tout en profitant de la notoriété de sa société mère. Étant donné que le secteur bancaire répond aux exigences de la formation de tout élève de l’Ecole Nationale de Commerce et

organismes financiers, non remboursés par les personnes ayant emprunté, ce qui concerne le rendement des capitaux s’est amélioré sur les trois dernières années pour les leaders du secteur. Sur un autre registre les banques bénéficient aussi de marges sur taux d’intérêt confortables (3,6% en 2006) malgré la forte compétition, le coût du risque était de 6,9% des revenus en 2006 contre 21,4% en 2003, Cette marge doit couvrir l'ensemble des frais généraux de la banque, le coût du risque (provisions sur clients

systémique de surendettement et entre ainsi dans la « décennie perdue » des années 1980, selon l’expression consacrée. La dette ne cessera de croitre depuis 1982 ; elle passe de 331 milliards de dollars en 1982 à 442 milliards en 1989. D’autre part, le taux d’investissement diminuera fortement de23-25% du produit intérieur brut dans les années 1970 à 16% à partir de 1983.[1] L’inflation augmentera et se généralisera dans presque tous les pays de la région, dans certains cas même, se traduira par de l’hyperinflation