Le Travail Deshumanise

Xavier Tessier Écriture et littérature 601-101 MQ, gr. 2005Compte rendu de lecture sous forme d’exposé oral Travail présenté àLine Prévost-LevacDépartement de français Cégep Limoilou Le 25 octobre 2022 Bonjour, aujourd’hui je vais vous parler du livre Royal qui a été écrit par Jean-Philippe Baril Guérard. Premièrement, je vais vous parler de l’auteur. Jean-Philippe est né à Plessisville au Canada en 1988. Il est donc âgé de 34 ans. En plus d’être un auteur, il est romancier, dramaturge

l’exposition Picasso qu’il visite déclenche en lui un choc esthétique. De retour à Londres en 1929, il travaille d’abord comme décorateur d’intérieur, puis il commence à peindre (aquarelles, huiles). En 1933, il passe au grand format en abordant le thème de la Crucifixion, qui restera central dans son œuvre – tout en s’éloignant des canons de la peinture religieuse. Cependant, il détruit en grande partie son travail : en 1944, il n’en reste qu’une dizaine de toiles. Les Trois Études de figures au pied d’une

fantastique (toutefois avec des connotations réelles) donne aux jeunes lecteurs un goût de la lecture et une habitude qui lui permettra plus tard de s’attaquer à des genres plus difficiles, comme la poésie, le théâtre ou bien l’essai. De plus le roman travaille proche du réelle. Il permet une analyse de la société et de l’humanité. Ainsi, dans l’ensemble des œuvres romanesques, nombre d’auteurs incorporent du réel dans la fiction, ce qui permet d’augmenter la crédibilité du lecteur. Dans « L’empreinte

bon sujet car Nevski est le héros de cette époque, un héros national russe célèbre pour ses victoires militaires. Eisenstein est entouré de collaborateurs fidèles au Parti (Pavlenko et Vassiliev), chargés de l’aider, mais aussi de surveiller son travail de réalisateur, Les acteurs sont tous des membres du Parti Communiste. La menace finale affirme que l’URSS est prête à se défendre face à un envahisseur quelconque mais ils visent surtout les Allemands. Cette menace doit donc entraîner les soviétiques

-Au début, le cortège est décrit de façon objective comme s’il s’agissait d’un documentaire : « Les femmes avaient paru […], les hommes […] ».- Mais, au fur et à mesure, le tableau reflète le regard de l’auteur, puis celui, très subjectif, de ses « vrais » spectateurs : les bourgeois cachés derrière la porte d’une grange, implicitement désignés par le pronom impersonnel « on » (« on ne distinguait que… », « on voyait seulement… ») ; les termes péjoratifs qui qualifient les mineurs révèlent leur

conformisme de la littérature mais aussi des mœurs de la société des années 1930. Dans l’extrait que nous allons étudier, Ferdinand a été réformé et a accepté de partir travailler dans les colonies ; il arrive alors à Fort Gono où il rencontre le Directeur de la Compagnie Portuaire du Petit Congo pour laquelle il va travailler. La scène à laquelle le lecteur assiste relève d’une soumission totale des Africains face aux colons. On peut alors se demander de quelle façon le narrateur manifeste-t-il

jeunesse. Depuis 1989, il a publié quelques 45 titres. L’illustrateur, né en Flandres en 1969 Carll Cneut a suivi des cours de graphismes à l’institut des Beaux Arts Saint-Luc à Gand, où il vit encore aujourd’hui. Après ses études, il a commencé à travailler dans le monde de la publicité comme Art Director. Depuis fin 2000, Carll Cneut est à temps complet auteur-illustrateur. L’histoire s’ouvre sur la petite Marguerite, devenue Margot la folle. La marguerite du début est une petite fille comme toutes

laïciser. Par exemple, l’Eglise se mobilise particulièrement sur la question de l’école privée (l’école publique étant devenu laïque depuis 1880) et veut que l’Etat participe au financement de celle-ci. Pour l’Eglise, l’école doit prolonger le travail d’inculcation des normes catholiques. Au niveau politique, l’Eglise s’accommode de la « séparation à l’amiable » de l’Eglise et de l’Etat, suite à la loi de 1905, adoptée à l’initiative du député socialiste Aristide Briand. Elle proclame, entre 1945

disparition des fossescommunes. Même le mot « cadavre » disparaît du vocabulaire, les morts devenant des « figures ». Les victimes ne sont alors plus des humains mais des contours, des formes extérieures de l’Homme sans substance. Aussi, la violence déshumanise puisque l’ennemi n’est plus une personne en chair et en os mais « un objectif sans visage sur une carte, ou une lumière au bout d’une arme à une fenêtre, une ombre dans la nuit ». Les bourreaux sont inhumains de par leurs atrocités commises sans

1DELAFRAYE Anaïs TG4Baccalauréat blanc de philosophie : Le travail peut-il favoriser la liberté ? « Le domaine de la liberté commence seulement là ou cesse le travail qui est déterminé par la nécessité et la finalité extérieure », disait Karl Marx. Le travail se définit ainsi comme une activité productrice qui réclame des efforts inscrits dans le temps et qui incorpore nécessairement une dimension technique. Cela signifie que le travail n’est jamais un objectif en soi, qu’il est toujours en partie