Le Travail Qu Une Contrainte

l’aliénation du travail. Il entend ici par « travail » le travail social et technologique moderne. L’« aliénation » est considérée comme un état de toute personne devenue étrangère à elle-même, c’est-à-dire que ses actes ne lui appartiennent plus mais sont accidentels et ne reflètent pas son esprit ni son être véritable. L’aliénation est une sorte de soumission inéluctable au désir d’autrui. Dans son développement, Marx donne trois pistes de réponses, la première montrant que le travail est aliéné lorsqu’il

PSYCHOLOGIE DU TRAVAIL ET DES ORGANISATIONS Les significations du travail Ce qu'évoque le terme travail Tripalium, la torture, l'idée d'une contrainte, de pénibilité de la condition humaine (que ce soit pour l'activité salariale, l'accouchement, le deuil, de travail sur soi...). --> C'est aussi une capacité, une force. On retrouve aussi la notion d'oeuvre dans ses dérivés employés pour le travail : ouvrier et opérateur. --> Notion de savoir-faire de compétences. Définition du travail : effort ;

Le mot « travail » vient du latin populaire tripalium, «machine à trois pieux » destinée à immobiliser les chevaux pour les ferrer, d'où « instrument de torture ». Toute activité visant à la production d'une oeuvre utile. Spécialement, ensemble des activités accomplies par l'homme pour produire des biens et des services en contrepartie desquels il est rémunéré. * Le travail est souvent associe a la peine et a la souffrance. Dans la Bible d'ailleurs, Dieu punit le premier péché en chassant Adam du

MANAGEMENT 1 STG – CHAPITRE 1 : LES OBJECTIFS ET LES CONTRAINTES DE L’ACTION COLLECTIVE 1. QU’EST-CE QUE L’ACTION COLLECTIVE ? Lorsque l’action est menée par plusieurs personnes et qu’elle atteint une certaine complexité, il s’agit d’une action collective, nécessairement organisée. L’action collective peut avoir 2 types d’objectifs : - Lucratif : réaliser un profit (vendre plus pour réaliser plus de bénéfices, par ex.) - Non lucratif : il n’y a pas de recherche de profit

Le travail nous rend-il plus humain?Le travail nous rend-il plus humains ? Dans la tradition judéo-chrétienne le travail est une punition presque une malédiction, « Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front. » suite à leur désobéissance, Adam et Eve sont déchus et renvoyés du paradis, ils sont en terre inconnue, réduit au statut de mortel, de simple humain obligé de travailler pour pouvoir survivre. Dans la question “le travaille nous rend-il plus humains ?” Le terme “humain” est ici un adjectif

Le travail fait-il perdre ou gagner sa vie ? Définir le travail pourrait se résumer à l’idée d’une activité entreprise par l’homme se distinguant des loisirs. Dans l’antiquité, les grecs estimaient que l’homme n’était pas fait pour travailler, et que cette tâche était alors réservée aux esclaves. Mais au fil des siècles, le travail est apparu comme une activité indispensable pour l’homme et est aujourd’hui considéré comme une valeur fondamentale dans les sociétés occidentales modernes. Ce caractère

Mai 2004 - N° 19.2 LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES SENIORS Les travailleurs âgés jugent leurs conditions de travail plus favorablement que leurs cadets : leurs horaires sont plus prévisibles, ils disposent de plus d'autonomie, subissent moins de pénibilités physiques et mentales. Toutefois, de 1984 à 1998, l'intensité de leur travail a augmenté et leurs conditions de travail se sont dégradées, autant que pour les salariés plus jeunes. En 1998, le travail des salariés est aussi pénible physiquement

Le travail comme libération Le travail est certes le seul moyen que l'homme ait d'assurer sa survie : si nous travaillons, c'est donc bien par nécessité, et même par une nécessité qui est naturelle avant d'être sociale. C'est alors la liberté humaine qui se trouve, semble-t-il, compromise. Pourtant, ainsi que le montre Hegel, mon humanité n'est pas un bien donné ou un bien acquis pour toujours : elle ne m'est accordée que si autrui consent à la reconnaître. Ce que chacun recherche, c'est donc la

Peut-on abolir le travail ? Le travail apparaît comme une contrainte imposée : « Le propre du travail, c'est d'être forcé » disait Alain. Pour Marx, « Le domaine de la liberté commence là où cesse le travail », le travail s'opposerait donc à la liberté, d'où une incompatibilité entre travail et liberté. Le travail est considéré comme nécessaire car contraint et donc il est distant de tout plaisir, il peut même être dégradant, avilissant, asservissant. En outre, la place qu'il occupe est centrale

(coûts, quantités et qualité demandées, délais..) Cette flexibilité peut s’illustrer au sein de la stratégie des RH à 3 niveaux : 2 Flexibilité du temps de travail : adapter les hommes aux variations de la demande en privilégiant une organisation souple du volume horaire .Exemples négociation d’annualisation du temps de travail pour les sous traitants, recours quasi général au temps partiel pour les entreprises de prêt à porter… Flexibilité des coûts : l’entreprise sera d’autant plus compétitive