Lecteur

caractérise par la recherche du dépaysement comme l'exotisme ou encore le mysticisme. D'autre part, il se caractérise par son côté dépressif dont certains lecteurs font le reproche. En effet, ils critiquent les auteurs romantiques comme LaMartine, chateaubriand ou encore Musset d'avoir un penchant pour une forme d'angoisse, de nostalgie. Ainsi, les lecteurs se tournent vers d'autres courant considérés comme plus attirant et beaucoup moins torturés. Mais d'une façon plus générale, est-il possible de dire

comportement que va avoir le personnage intrus est minimiser car le lecteur, absorbé par le dialogue ne prendra plus en compte le 3eme personnage. Ensuite, La gestuelle, ou les expressions du visage du personnage caché sont invisibles. Le lecteur pourrait ressentir une certaine frustration du non-dit comme par exemple dans L'extrait de Tartuffe ou Orgon, même après le toussotement de Elmire ne sort pas de sa cachette, et encore une fois, le lecteur ne peut pas comprendre la situation car il ne perçoit pas

« Un poème est un mystère dont le lecteur doit chercher la clé » La poésie, plus que tout autre genre littéraire est d’abord la rencontre entre celui qui par ses mots se livre, se dévoile et dévoile son monde et celui qui reçoit et partage ce dévoilement. Entre le poète et le récepteur, il y a des cultures, des valeurs, des modes de fonctionnement différents, qui peuvent laisser place à des manières de penser et donc à des interprétations différentes. Stéphane Mallarmé, poète français de la

oublier au lecteur que ses personnages sont fictifs ? Stendhal disait que le roman était un « miroir que l’on promenait le long du chemin ». Par la métaphore du miroir, il montrait la dimension réaliste principale, selon lui, dans le roman. Cependant, Stendhal à aussi été le premier à ponctuer ses romans d’intrusions d’auteur afin de se moquer de ses personnages et d’anéantire l’illusion du réel. Par conséquent, on peut se demander si, « un roman doit chercher à faire oublier au lecteur que ses

Correction de la dissertation : Dans quelle mesure la fiction littéraire est-elle capable de convaincre et de persuader le lecteur ? Vous répondrez à cette question en prenant appui sur le corpus et sur vos lectures personnelles. Pour éduquer les enfants, on recourt souvent à des histoires fîctives et à leurs personnages inventés, souvent destinés à forger leur vision de la vie ou à leur donner un message moral. L'âge adulte oublie ce goût du recit et préËre des genres argumentatifs, cependant des

être révolté et insoumis pour plaire au lecteur ? Notre personnage, notre héros qui va à l'encontre des conventions sociales et le conformisme a-t-il une obligation à plaire au lecteur ? Nous allons débattre donc sur la réception de l'oeuvre par le lecteur. Que recherche le lecteur dans un héros ? Qu'est-ce-qui doit l'intéresser ? Dans un premier temps nous verrons que le personnage révolté et insoumis peut plaire au lecteur, ensuite nous verrons que le lecteur cherche un héros mythique et légendaire

se focalise sur lui, tout comme l’attention du lecteur. Achille, Hercule, Robin des Bois, Jeanne d’Arc sont tous des exemples d’ héros de la littérature, ils se distinguent par leur courage extraordinaire, et par leur exploits remarquables mais est-il nécessaire que les personnages d’un roman soient tous des surhommes pour être appelé héros ? Et aussi pour captiver l’attention du lecteur ? Un héros de roman doit-il être le voisin, l’égal du lecteur ? Pour répondre à cela je vais utiliser un plan

l'auteur de communiquer avec son audience, alors on peut se demander, quel est le genre littéraire qui s'agit plus fortement sur le lecteur. Il existe beaucoup de différents genres littéraires mais certains sont plus connus pour agir sur son public, par exemple, le théâtre et les romans. Certaines personnes dissent que c'est le théâtre à cause de la proximité entre les lecteurs et les personnages, et on a beaucoup plus souvent un narrateur. Mais dans les romans on a une perspective plus large et on peut

les sons, c’est l’âme du lecteur. » Ainsi, on peut se questionner sur l’influence du roman sur le lecteur voire même sur ses aspirations. Par exemple, peut-on reprocher au roman d’entretenir les rêves et illusions du lecteur ? Apparemment non, pourtant on peut trouver de nombreuses œuvres romanesques qui montrent que le roman peut entretenir, voire alimenter les rêves et illusions de ce dernier. Apparemment, le roman n’entretient pas les rêves et illusions du lecteur. En effet, on peut noter

être ainsi lié à notre seconde thèse. Thèse 2:Ainsi d'autres romans proposent un divertissement susceptible de permettre au lecteur d'échapper à la réalité A. En premier lieu nous verrons lee roman d’aventures qui est un type de roman populaire qui met particulièrement l'accent sur l'action en multipliant les péripéties plutôt violentes, dans lequel le lecteur, plutôt masculin et jeune, s'identifie à des héros, en général positifs. Par exemple Gargantua de François Rabelais qui utilise