Légitimité

subjectifs et droits objectifs et son intérêt. Dans un deuxième temps, vous montrerez d'où vient la légitimité du droit. Accroche 0,5 point : Une société pourrait-elle vivre si elle n'était pas organisée par des règles de droit ? Annonce du sujet 0,5 point : Quels sont les buts des règles de droit ? Dans cette perspective pourquoi distinguer droits subjectifs et droit objectif ? D'où vient la légitimité du droit ? Définition du terme principal du sujet 0,5 point Le droit est constitué par l'ensemble

pouvoir politique au bénéfices du roi comme la collecte des impôts pour l’armée. L’État dit moderne est caractériser par un système de bureaucratie cette idée vient de Max Weber selon lui l’État bureaucrate est la forme étatique qui voit s’imposer la légitimité. Chez Weber la bureaucratie est une réalité historique mais aussi un idéaltype c’est un point culminant pour atteindre une institutionnalisation du pouvoir politique c’est aussi l’aboutissement du processus d’autonomisation selon lui, la bureaucratisation

Pourquoi est-ce qu’aujourd’hui elle s’incarne presque exclusivement dans l’Etat ? Comment en est-on arrivé à cette situation ? - Quels sont les rapports entre autorité & violence ? - Pourquoi ce soumet-on à l’autorité de l’Etat ? La notion de légitimité - L’obéissance est-elle un bien ? Une pathologie ? Une menace ? – est-ce que l’on doit différencier en fonction du régime ? Eléments de correction exposé 1 + texte : * Un exposé qui demande des bonnes définitions d’Etat et de politique,

anticipées ont lieu en Novembre : victoire du clan Gaulliste et reconduction de Pompidou comme premier ministre. Critiques : Peut on qualifié cela de coup d’état ? Quels conséquences sur la force/légitimité de son projet de loi? Référence a la séance de TD 2 Le Générale De Gaulle perd-il en légitimité en contournant l’article 89 par l’article 11. Cela ne témoigne t-il pas de son incapacité a collaborer avec le Parlement ? Faire passer cette modification comme un projet de loi qui modifie au final

d’institutions ambigües et de changements contradictoires. La force, la loi, la norme Du côté européen, on semble considérer l’ONU comme l’arbitre unique ou du moins suprême, de l’usage de la force. Les américains ne reconnaîtraient d’autre légitimité que celle qui vient de leur Constituions et de leur peuple. Ils ont néanmoins parfois tendance à refuser aux autres Etats ce même privilège. D’où le droit qu’ils s’arrogent de juger les autres, et d’exécutés leur sentence sans être jugés eux-mêmes

2 Les types de légitimité du chef - légitimité légale : l’autorité pour s’exercer s’appuie sur des règles. Dans l’entreprise elle suppose que les droits, devoirs, responsabilités de chacun soit bien établi, le plus souvent formalisé en termes hiérarchiques. - légitimité charismatique et d’expertise : l’autorité s’exerce parce que les membres du groupe croient soit aux qualités exceptionnelles, soit aux compétences professionnelles (techniques, managériales). - légitimité fondée sur les usages

la dialectique entre la légitimité et l’effectivité. En d’autres termes, l gouvernement de l’etat pour être reconnu comme tel au niveau international doit-il être pourvu d’une légitimité notamment démocratique ou alors lui suffit-il d’exercer effectivement son autorité et d’être obéit par la population. De manière classique, il suffisait au gouvernement d’être effectif pour être reconnu mais aujourd’hui le droit international impose de plus en plus des critères de légitimité politique à l’exemple de

bref historique des acquis sociaux témoigne du long parcours de la lutte sociale et de la préciosité des droits acquis. Cela met également en évidence une certaine légitimité des syndicats puisque ceux-ci sont les investigateurs de ces acquis sociaux et des valeurs accordées au travail. Nous allons maintenant nous demander si cette légitimité des syndicats s’étend à tous. Au sein d’une entreprise, le syndicat occupe une place importante. C’est lui qui régule les litiges entre patron et salariés

avoir acquis la légitimité requise au préalable pour ce rôle universel. Certes, ils ont la légitimité économique et militaire mais pour que les différents peuples acceptent l’hégémonie d’un gouvernement et de s’insérer dans une civilisation planétaire, le tout doit se dérouler dans un processus d’équité qui prônerait le respect mutuel et la dignité partagée. Sans cela les populations feront appel à la résistance et à la violence. II. Les légitimités égarées Une légitimité non légitime

politique se définit comme un pouvoir légitime qui s’exerce sur un territoire en recourant éventuellement a la contrainte. Autorité : pouvoir auquel est accordé une légitimité Légitimité : reconnaissance et acceptation d’un pouvoir par ceux qui s’y soumettent et lui confèrent ainsi le caractère d’autorité. On peut distinguer 3 types de légitimité : * Charismatique : fondée sur la reconnaissance de la société du caractère exceptionnels e chef * Traditionnelle : fondée sur le respect de la coutume